Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

31 mai 2010

Adieu, retrouvailles et nostalgie

Pilotes, mécaniciens et passionnés de la BA 132 se sont retrouvés, samedi et dimanche, dans le cadre de l’exposition annuelle des maquettistes de Guebwiller dont le thème était « la base de Colmar-Meyenheim ».

Tout au long de ce week-end, le Cercle à Buhl s’est transformé en « piste d’atterrissage » annexe, pour modèles réduits, de la BA 132 de Colmar-Meyenheim, l’année même où cette dernière est démantelée. 2010 est effectivement l’année de l’adieu, mais par le billet du club des maquettistes buhlois, comprenant des anciens de la base, le souvenir est resté des plus présents, tout au long du week-end, aussi bien par le biais des vitrines proposées que par la présence des anciens, pilotes et mécaniciens. « Un travail fantastique, une superbe exposition ! » C’est l’éloge formulé par Yves Coquelle l’adjoint, président de l’OMSC.

L’événement a permis à deux pilotes sur le F86K, Jean-Marie Dieudonné et Patrice Bériot, de se retrouver après un demi-siècle. « J’étais à l’ouverture de la base, en arrivant d’Allemagne avec la 13 e escadre de chasse en 1957, avec mon ami Patrice Bériot. Nous avions le plus bel avion, le F86K », se remémore Jean-Marie Dieudonné. Pour son ami Patrice Bériot, « lle souvenir est quelque chose qui se vit tout le temps. Nous avions une chance exceptionnelle et c’est formidable de se retrouver aujourd’hui. » Pour Jean-Pierre Peuvion, également pilote du F86K, « la 13 e escadre est mon meilleur souvenir de l’armée. Par la suite, j’ai regretté cet avion de chasse de celle qui était, à l’époque, la seule escadre tout temps. Et quelle ambiance ! »

En coulisse, ils ont aussi évoqué leur mascotte, Néness, un sanglier qui fut ramené d’une mission en Algérie et qui a atterri au zoo de Mulhouse. Ils ont également pu échanger les souvenirs avec les anciens mécaniciens, tels Serge Pezet ou Michel Bertrand, grâce au travail d’un autre passionné de cette époque, Christophe Gasztych, l’historien qui a consacré un livre au F86K.

Des retrouvailles, des regrets, de la nostalgie certes, mais aussi les souvenirs remémorés grâce à la diversité des vitrines proposées par le club des maquettistes du président Raphaël Jacob, qui ont su rassembler, grâce à des collections privées, d’anciens de la BA 132 : insignes, casques, instrument de mirages, douilles de 30, avions de combats et de liaisons.

L’expo des maquettistes buhlois était des plus vivantes en cette année 2010.

( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

30 mai 2010

Rêves en minatures


Le Maquet' club de Buhl organise tout au long de ce week-end la « maquet' expo n°11 ». Un rendez-vous pour les passionnés des modèles réduits qui a pour thématique, cette année, la Base Aérienne 132 de Colmar-Meyenheim. Des reproductions aussi vraies que nature. Dans la salle, ces passionnés qui peuvent parler des heures durant de leurs voitures, bateaux, avions ou autres véhicules fait à l'échelle réduite, à l'image de Pascal Forni, président du Maquette Club de Grussenheim, qui s'est déplacé une nouvelle fois pour l'occasion. « Cela fait 20 ans que je suis dans ce milieu. Il y règne une ambiance très agréable, un bon esprit de camaraderie. Il n'y a pas d'échelle sociale et on peut croiser des gens de tous milieux.

C'est en fait un milieu d'échange et on s'aide tous du mieux que nous pouvons, il n'y a pas de compétition. On fait de tout, bateaux, voitures, avions etc. et on rajoute une touche personnelle c'est très important. Sinon, on ne compte pas les heures, je dirais même que nous n'avons aucune notion de temps, ici à Buhl, j'ai emmené une maquette que j'ai démarré en 2008 et qui n'est pas encore terminée.

Ca prend du temps, mais il faut savoir être patient ». Pour l'un des animateurs de l'exposition, Raphaël Jacob, cette année à été un peu particulière, « on n'a jamais eu autant d'exposants qui ont répondu aussi facilement à l'appel. On dénombre plus d'une dizaine de clubs de maquettistes et en tout une vingtaine d'exposants ». Hormis les modèles réduits, il sera possible d'admirer des voitures anciennes, réelles celles-ci. La Maquet'expo n°11 se déroule encore ce dimanche et est ouverte au public de 10 à 18h.



(  Dernières Nouvelles D'alsace,    P.P. )

29 mai 2010

Championnat d’Alsace des écoles de cyclisme


 
Dimanche 30 mai, place du marché à Buhl, la section cycliste de la MJC soutenu par l’OMSC (Office municipal des sports et de la culture) de Buhl accueillera les championnats d’Alsace des écoles de cyclisme.

Des prélicenciés aux minimes, ils seront plus d’une centaine de 4 à 14 ans à participer à ce rendez-vous régional pour défendre les couleurs de leur club.

Les différentes épreuves se dérouleront toute la journée avec au programme la course dans les rues du village, le matin pour toutes les catégories.

Pour les pupilles, benjamins et minimes, un questionnaire sur la sécurité routière sera proposé et rentrera en ligne de compte pour le classement général. Il y aura également une épreuve de sprint, par série éliminatoire de six coureurs sur une distance de 60 à 250 m selon l’âge.

Des jeux d’adresses avec slalom, passage sous barre, passage étroit, planche à bascules sont proposés, tandis que le cyclo-cross ne concerne que les plus grands.

L’ensemble des épreuves déterminera le vainqueur garçon et fille dans chaque catégorie, mais le titre de champion d’Alsace sera décerné au club.

Dimanche, la circulation sera perturbée sur le parcours de la course, dans les rues de l’École, de la Paroisse, de la Forêt, du Breuel, du Florival, de la Scierie, du Cordonnier, Sainte-Catherine et la place de l’Église.

Les riverains des rues concernées pourront être autorisés à circuler.

L’accès aux commerces la Gloriette Fleurie, la pâtisserie Stein, la presse, Buhl’Café et le caveau au Soleil d’Or sera possible.

( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

La passion des miniatures


La MJC de Buhl organise ce samedi 29 et dimanche 30 mai sa 11e exposition de maquettes et de voitures de collection. Petits et grands « bijoux » rouleront des mécaniques pour séduire les visiteurs.

C'est parti pour un week-end de folie dans le petit monde de la miniature et des modèles réduits. De très belles collections seront présentées dans la grande salle du Cercle et dans son dojo. Toutes les disciplines du maquettisme seront représentées à Buhl et, tout spécialement pour cette édition 2010, une vitrine thématique mettra les pleins feux sur la « Base aérienne 132 ». En salle, Christophe Gastych dédicacera son livre le 3F86K » en compagnie de Jean-Marie Dieudonne, ancien pilote de cet avion et un des premiers pilotes de la 13e escadre. A l'extérieur, les visiteurs pourront découvrir des voitures anciennes et d'exception (grandeur nature, on l'aura compris). Alpine V6, Citroën 2CV, B2 Coupé Docteur, C4 Torpedo, DS23 Pallas, Mehari, Rosalie, Traction, Hotchkiss Anjou (1951), Peugeot 201, 302, Renault R4 (1969), Buggy Buffalo Sarra, Rosengart, Saab 900 II R Turbo 205 ch, Triumph TR3 , TR4 , VW Coccinelle, mais aussi véhicules militaires (Jeep Dodge GMC) et tracteurs anciens ( Deutz, Farmall), tous ces véhicules ont une âme, un parfum d'hier et suscitent incontestablement la fascination.

A noter encore que Christophe Sutter fera une démonstration de pin striping (ou paint striping), si la météo est favorable - La Musique Harmonie soulignera l'ambiance de quelques airs entraînants. Il faudra être sur place dimanche vers 11h afin de profiter de l'aubade.

Maquet'expo à Buhl dans la grande salle du Cercle (4, rue du 5 février) ce samedi de 14 h à 19 h et dimanche de 10 h à 18 h.



( Source Dernières Nouvelles D'alsace  )

28 mai 2010

Les jeunes roulent leur bosse


Dimanche prochain, les rues de Buhl seront envahies par des dizaines de petits cyclistes venus disputer le TRJC (Trophée Régional du Jeune Cycliste), organisé par la MJC. Petit guide pour ne pas perdre les pédales.

New-look. Le TRJC, c'est l'ancien championnat d'Alsace des écoles de cyclisme, ces dernières ayant été elles-mêmes récemment rebaptisées écoles de vélo. Si l'appellation change, le contenu reste identique.

Les participants. Le TRJC s'adresse aux jeunes licenciés de la FFC (Fédération Française de Cyclisme), filles et garçons de 4 à 14 ans, répartis en 5 catégories : pré-licenciés (pl/4-6 ans), poussins (po/7-8 ans), pupilles (pu/9-10 ans), benjamins (be/11-12 ans), minimes (mi/13-14 ans). En milieu de semaine, les organisateurs de la MJCB avaient reçu l'engagement de 77 concurrents. A cette date, manquaient à l'appel les Bas-Rhinois du VC Eckwersheim, tenants du titre, et du VCU Schwenheim. Difficile de croire qu'ils seront absents.

Les classements. Le TRJC est une compétition par équipes et le titre régional est attribué au club ayant marqué le plus de points par ses huit meilleurs coureurs (2 po, 2 pu, 2 be, 2 mi). Les pré-licenciés ne sont pas considérés comme des compétiteurs. Des classements individuels (sans titre à la clé) récompensent les meilleurs de chaque catégorie.

Les épreuves. Deux d'entre elles (la vitesse et la course) sont communes à toutes les catégories. Les plus petits (pl et po) se mesureront aussi dans des jeux d'adresse, tandis que les autres auront droit à un cyclo-cross et à un questionnaire à choix multiples sur la réglementation, la sécurité routière, la mécanique, la diététique et la culture générale cycliste.

Les circuits course. Un petit de 950 m (rue de l'Ecole - rue de la Paroisse - rue du Florival - rue de l'Ecole) à parcourir aux 3/4 (750 m/pl) ou 3 fois (2,9 km/po). Un grand de 1440 m (rue de l'Ecole - rue de la Paroisse en montée vers la place de l'Eglise - rue de la Forêt - rue du Breuel - rue de l'Eglise - rue du Florival - rue de l'Ecole) à boucler 5 fois (7,2 km/pu), 8 fois (11,6 km/be) ou 12 fois (17,4 km/mi).

La vitesse. Sous forme de sprint, départ arrêté, en ligne droite, rue de l'Ecole, sur 60 m (pl) et 80 m (po), ou rue du Florival ( 250 m entre les rues Ste-Catherine et de l'Eglise) pour les autres.

Le cyclo-cross. Un circuit de 650 m dans un pré à côté de l'école Koechlin sur 2 tours et 10 mn de course (pu), 4 t. et 18 mn (be) ou 6 t. et 25 mn (mi).

Les chances buhloises. Les coureurs du club organisateur viseront une place sur le podium et compteront plus particulièrement sur Floriane Barberio (be), Valentin Schultz (mi), Xavier Fischer (pu) et Elian Fourest (po).

Les horaires. Dimanche 30 mai 2010 - 8h dossards place du Marché - 8h30 réunion responsables clubs, salle de Gymnastique - 9h bouclage des circuits course et reconnaissance libre - 9h30 à 11h20 courses (mi, be, pu, po, pl) - 11h à 11h20 questionnaire (mi, be, pu), salle de Gymnastique - 11h30 repas - 13h réunion responsables clubs - 13h bouclage rues du Florival et de l'Ecole et essais libres sprints - 13h30 début des séries sprints - 14h place du Marché, essais libres jeux d'adresse (pl et po) - 14h30 début jeux d'adresse - 15h reconnaissance circuit cyclo-cross - 15h30 à 16h cyclo-cross (pu,be,mi) - 17h remise prix et podium place du Marché.



( Dernières Nouvelles D'alsace,     G.G.    )

Bollwiller - Buhl, le derby des « petits »


Lors de la troisième journée de championnat par équipes, Bollwiller a accueilli Buhl pour un derby convivial où le fait de jouer reste primordial pour des rencontres où l’ambiance est de mise sur et autour des courts.


Ces deux équipes du secteur ont bien des points communs : les deux clubs sont sur la brèche depuis pratiquement le même nombre d’année, Bollwiller a vu le jour en 1984, Buhl en 1986 ; les deux clubs ont des présidents compétiteurs qui assument la marche depuis plusieurs années, pour Bollwiller Bernard Matzig et pour Buhl Aldo Pedetti. Tous les deux ont présenté deux équipes pour ce championnat, deux équipes de copains qui ont envie de se faire plaisir et les deux comptent une trentaine de membres. Il y a cependant une petite différence, cette année Bollwiller, avec Michel Foehrle, Edmond Seeberger, Gérard Grimbuhler et Fabrice Probst visent la montée en 2 e division. « L’an passé, nous avons laissé la première place de la poule et l’accession à des jeunes, mais, cette année, nous jouons la montée, pour des rencontres plus équilibrées. Encore faudra-t-il s’imposer à Guebwiller, l’autre équipe invaincue de notre poule », précise Bernard Mätzig. Pour Aldo Pedetti, en s’inclinant à Bollwiller, la montée est jouée, mais avec ses équipiers, Stéphane Gaechter, Didier Tabet et Fabien Seidl, il tentera de sauver l’honneur dans sa poule.


( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

Premières portes ouvertes au collège de Buhl


Ouvert à la rentrée, le collège de Buhl va vivre ses premières portes ouvertes samedi 29 mai. L’occasion pour les élèves de CM2 du secteur et leurs parents de découvrir l’établissement.

Rentrer en 6 e, c’est une aventure. Afin que le passage se fasse bien entre le CM2 et le collège, une visite du futur établissement s’impose, qui peut rassurer les futurs élèves et leurs parents. C’est ce que propose pour la première fois le collège de Buhl, qui a ouvert ses portes en septembre dernier.

Toute l’équipe pédagogique, sous la direction de Frédéric Brugger, principal du collège, accueillera les visiteurs samedi 29 mai, de 9 h à 14 h. Pour rendre cette découverte plus vivante, élèves et enseignants ont mis sur pied des animations. Au programme : des expositions de travaux d’élèves en arts plastiques ou des photos des voyages à l’étranger, l’utilisation du tableau blanc interactif en mathématiques ou en langues, la fabrication de dragsters en technologie, des expériences en sciences, des démonstrations de différents sports pratiqués dans le cadre de l’UNSS (au gymnase), un concours en allemand ou en mathématiques, du théâtre proposé par les latinistes ou en anglais, une émission présentée par les élèves du cours d’espagnol ou encore un lâcher de parachute et du cassage de piñata géante.

Toutes les matières et toutes les options sont concernées afin de montrer la vie au collège. Le programme complet a été transmis à tous les élèves de CM2 de l’aire de recrutement du collège.

À noter qu’une petite restauration sera proposée sur place, au profit des projets du foyer socio-éducatif.

Enfin, « The Bananas killers », le groupe de rock créé par des élèves du collège, se produira toute la matinée dans le hall de l’établissement.



Source L'Alsace     Élise Guilloteau  )

Deux nationales de course d’orientation à Buhl


Le COBF (Course d’orientation Buhl Florival) organise, ce week-end, deux nationales en course d’orientation VTT comptant pour la coupe de France. Trois circuits seront aménagés pour les débutants tout âge.


Une première course longue distance emmènera les compétiteurs, samedi 29 juin, sur les chemins du massif du Schimberg et dans les vignobles de Guebwiller, Bergholtz et Bergholtz-Zell.

Dimanche, la course moyenne distance se déroulera dans le secteur du Péternit avec arrivée au château du Hugstein. Le COBF attend plus d’une centaine de participants aux deux épreuves. Celle de samedi proposera cinq circuits de 30 km pour les élites à 5 km pour les petits dans la catégorie des moins de 12 ans et débutants. Les circuits de dimanche s’étaleront de 20 km à 5 km.

Les couleurs locales seront défendues par trois championnes de France moyenne distance, titres conquis lors du week-end de l’Ascension à Vesoul. Ariane Sutter (D 20), Nicole Hueber (D 18) et Florence Hanauer (D 12) sont fin prêtes pour confirmer leur titre national.

Comme lors de chaque course d’orientation, le COBF propose trois circuits, les deux jours, pour les jeunes et moins jeunes qui aimeraient s’essayer à cette discipline. Pour cela, il suffit de se rendre au terrain de foot à Orschwihr, samedi, à partir de 13 h, et au collège de Buhl, dimanche, à partir de 8 h, avec son VTT et un casque.

( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

La BA 132 s’expose


La section des maquettistes de la MJC de Buhl propose ce week-end son exposition annuelle au Cercle à Buhl. Elle est ouverte au public le samedi 29 mai de 14 h à 18 h et le dimanche de 30 mai de 10 h à 18 h.

« Cette année, nous abordons pour la 5 e fois un thème qui a eu les suffrages des maquettistes : la base aérienne 132 de Colmar-Meyenheim, un sujet d’actualité l’année même où la base est entièrement démantelée et remplacée cet été par le régiment de marche du Tchad. Cette thématique sera illustrée par de nombreuses réalisations que les maquettistes présenteront sur l’estrade du Cercle », dévoile Raphaël Jacob, le président du Maquet’Club.

Présentation du F86K

Pour cette exposition, Jean-Claude Bonneau, que « la passion de la maquette amène à être historien », a tenu à présenter le F86K, un avion de combat qui était de la 13 e escadre de chasse installé au départ sur la base aérienne de Lahr, en Allemagne, et rapatrié sur la base 132 de Meyenheim le 1 er avril 1957. Cet appareil de combat, au bilan de sécurité incomparable (aucun pilote de cet avion ne s’est tué à ses commandes), y a été opérationnel jusqu’à l’arrivée, en 1962, des premiers Mirage IIIC. « Reproduire exactement un modèle à une époque donnée, n’est pas simple, puisque, dans le commerce, ce modèle n’existe pas.

Aussi j’ai été contraint de me reposer sur la maquette d’un F86D. Mais, surtout, j’ai été obligé de me documenter, de chercher les différences pour pouvoir le reproduire ». C’est ainsi que Jean-Claude Bonneau a découvert le livre de Christophe Gasztych, « Sabre sur l’Alsace », avec une très bonne documentation intitulée : le F-86K en service dans l’armée de l’air du 13 e escadron de chasse, unité affectée à la base de Meyenheim. « J’ai pu réaliser cet ouvrage grâce à une importante documentation, aux témoignages des anciens et aux photos qu’ils m’ont remises. Mes recherches se poursuivent car je m’efforce d’apporter un maximum de précisions à Jean-Claude Bonneau », glisse Christophe Gasztych dont le rêve d’enfance était de devenir pilote, une passion qui lui est restée.

Dédicace

Christophe Gasztych dédicacera son livre « Sabre sur l’Alsace » en compagnie de Jean-Marie Dieudonné, ancien pilote de cet avion et un des premiers pilotes de la 13 e escadre.

Voitures de collections, tracteurs anciens et démonstration de pin striping ainsi que l’aubade par la musique Harmonie de Buhl compléteront le programme de ce 11 e rendez-vous.



Y ALLER Samedi 29 mai, de 14 h à 18 h, et dimanche 30 mai, de 10 h à 18 h, au Cercle de Buhl.



( Source L'Alsace )

23 mai 2010

L’école primaire Koechlin fête ses cent ans


Vendredi après midi, élus, inspecteurs, directeurs, enseignants, parents, anciens élèves et élèves actuels ont fêté dignement le siècle d’existence de l’école primaire dédiée à Maurice Koechlin de Buhl.


« Celui qui fait toujours ce qu’il veut, fait rarement ce qu’il doit. » De cette phrase écrite au tableau le vendredi 21 mai 1930, lors d’une leçon de morale dans une classe reconstituée du début du siècle dernier, aux paroles de Jean-Marc Schreiber ce vendredi 21 mai 2010 : « Aujourd’hui, quand la jeunesse manque de repères ; aujourd’hui, quand violences, drogues, vandalismes, cité de non droits se répandent ; aujourd’hui, quand la famille, l’église, l’école éclatent, se décomposent, disparaissent : il faut relever le gant », cent ans se sont écoulés et la morale reste toujours d’actualité.

Mais au travers de multiples recherches, les élèves et les enseignants de l’école Maurice Koechlin ont pu s’imprégner d’un siècle d’histoire et de son incroyable évolution dans tous les domaines.

Après les cours, la population buhloise s’est fortement mobilisée pour ce centenaire de l’école Maurice Koechlin, suivant avec attention les sketches, chants et saynètes proposés par les élèves avant de s’élancer dans les couloirs de l’imposante bâtisse, de style wilhelmien, solidement ancrée dans le sol buhlois au centre du village et qui avait été baptisée école Maurice Koechlin en 1985.

Des bancs avec des encriers

Les parents se sont ensuite attardés devant les photos de classe, recherchant leurs camarades d’enfance, remettant le nom sur visage ou l’autre, tout en se remémorant bien des souvenirs à l’exemple de la classe 57 d’Aldo Pedetti.

Ils ont également apprécié la reconstitution d’une classe avec ses tableaux Rossignol, ses bancs avec les encriers et le siège à bascule, les livres anciens dans les différentes disciplines, les punitions et l’épiscope entre autres.

Les productions d’élèves dans différentes techniques ont également interpellé les visiteurs à l’exemple de la tour (Eiffel) décliné sous toutes ses formes.

Le directeur Denis Berviller a accueilli et remercié les nombreuses personnalités en ouvrant la partie officielle. Le maire Fernand Doll a expliqué que « bien que Buhlois de naissance, je n’ai pas eu l’occasion de fréquenter cette école. Je l’ai approché en 1973 par mes fonctions professionnelles (Jeu nesse et sports) et le contact a été instantané. En 1985, sous l’égide du directeur Jean-Marc Schreiber, la mise en place du temps de l’enfant a marqué le couronnement d’une réflexion et d’un engagement entre plusieurs partenaires. Une constante marque le fil conducteur de cette école : le bien être et la progression de l’enfant ».

Sous le signe du changement

Pour l’ancien directeur Jean-Marc Schreiber, l’école a été placée sous le signe du changement : changement dans la dénomination, changement dans sa structure et changement dans son fonctionnement avec une « ATS (Aménagement du temps scolaire) en avance sur son temps, une première en France, une école désignée site pilote ».

François Grunenberger, directeur de l’école de 1991 à 2003, a été séduit par un système très pertinent pour l’ouverture sur le monde tandis que Gilbert Nuss soulignait que « L’école Maurice Koechlin reste un lieu de recueils où les activités ont su évoluer et s’adapter aux modes successifs ».

(Source L'Alsace. Photo Bernard Erhard )

22 mai 2010

Un centenaire haut en couleur


L'école Maurice-Koechlin de Buhl aura sans doute rarement connu pareille affluence. Mieux qu'une rentrée des classes, ce sont plusieurs générations qui ont répondu à l'invitation de l'équipe pédagogique de l'établissement à l'occasion de la journée dédiée au centenaire de l'école. Les sceptiques pourront toujours répéter à l'envi que l'inauguration a eu lieu en 1911, selon le directeur, c'est bien cette année que doit être commémoré le centenaire de l'école : « sur le fronton, nous avons vu la date 1910 ». L'essentiel est de toute façon ailleurs. Depuis plusieurs semaines, les écoliers ont travaillé d'arrache-pied pour proposer une véritable journée souvenirs aux parents et visiteurs. « Leur travail entre dans le cadre de l'organisation de ce centenaire mais aussi du projet école qui est l'histoire. Une classe a d'abord été au Bioscope pour "l'école d'antan", tandis qu'un autre groupe s'est rendu dans les Hautes-Pyrénées pour aller à la rencontre de libérateurs », raconte ainsi Denis Berviller, l'heureux directeur de l'école centenaire.


Mais surtout, ce sont eux, les élèves qui ont monté leur journée du centenaire. En effet, toutes les peintures ou les collages ont été créés par leurs soins, et outre les divers spectacles proposés, ils ont guidé les visiteurs à travers les couloirs de l'école à la découverte d'une exposition retraçant 100 ans d'histoire et où les plus grands n'ont pas manqué de se retrouver sur les photos.

Nous reviendrons sur le centenaire de l'école lors d'une prochaine édition.



( Dernières Nouvelles D'alsace   R.L.G.  )

21 mai 2010

Des élèves voyagent au coeur de l’histoire


Du 2 au 8 mai, la classe de CM2 de l’école Maurice-Koechlin de Buhl s’est rendue dans les Hautes-Pyrénées pour rencontrer ses correspondants de Castelnau-Magnoac.


Ce grand voyage dans l’espace et le temps, préparé depuis la rentrée de septembre, a permis aux enfants du CM2 de Buhl de plonger aux racines de l’histoire avec les grottes préhistoriques de Gargas, célèbres pour leurs empreintes de mains vieilles de 27 000 ans, la nécropole et la basilique Saint-Just de Valcabrère, la cité antique de Saint-Bertrand de Comminges avec ses vestiges gallo-romains et sa cathédrale, ainsi que le château d’Henri IV à Pau.

Mais le véritable temps fort de cette histoire partagée a été la rencontre avec les vétérans du Corps Franc Pommiès (CFP), cette unité de résistants béarnais qui libéra le Haut-Florival le 5 février 1945 après avoir traversé toute la France, des Pyrénées aux Vosges. Après la visite guidée du musée, les élèves buhlois ont participé à une émouvante cérémonie du souvenir au Mémorial du CFP, avec levée des couleurs, ravivage de la flamme, dépôt de roses et discours officiels.

Ils se sont ensuite entretenus avec Georges Campistron, Ernest Daujan, André Moncassin, Jean Soules, Georges Trey, Julien Vasquez et Jean Albert Vidou, tous anciens maquisards de la campagne des Vosges, désormais âgés de 83 à 92 ans. Les vétérans leur ont confié leurs motivations, leurs convictions, leurs espoirs, leurs émotions mais aussi leurs peurs et leurs souffrances.

Portes ouvertes ce soir

Avant le départ, Bernard Verdier, maire et conseiller général de Castelnau Magnoac, a offert à chaque jeune Alsacien un panier garni de spécialités du terroir.

Du 14 au 18 juin, les écoliers de Buhl accueilleront leurs correspondants et une délégation de libérateurs. Ensemble, ils sillonneront l’itinéraire parcouru jadis, en cette mémorable journée du 5 février 1945, par deux mètres de neige et sous la menace des mines. Ils visiteront également quelques lieux symboliques de l’histoire et de la mémoire de l’Alsace.

Il sera également question de ce premier déplacement, ce soir, vendredi 21 mai, lors des portes ouvertes organisées à partir de 16h, pour fêter le centenaire de l’école élémentaire de Buhl.

(Source L'Alsace. Photo DR)

Formés aux premiers secours


L’association florivalienne de secourisme s’est mobilisée vendredi et samedi derniers pour une formation PSC 1 (Prévention et secours civiques de niveau 1) dans ses locaux buhlois.


Ce stage, fait à la demande, a réuni neuf personnes venues du Florival et de la Vallée Noble qui ont toutes obtenu leur diplôme, diplôme souvent souhaité, voire obligatoire dans le monde associatif.

Les deux instructeurs Prisca Meister et Aldo Bernou ont remis le diplôme à Nathalie Schentzel, René Sengelen, Olivier Barmas, Joséphine Agelas, Lorine Le Levier, Nathanaël Pialat, Julia Courtin, Le Du Nour et Philippe Soudrain

(Source L'Alsace. Photo Bernard Erhard      )

18 mai 2010

La diagonale de l'Histoire et de la Mémoire


Depuis 2007, l'école Maurice-Koechlin de Buhl mène un projet d'école axé sur l'éducation à la citoyenneté. C'est dans ce cadre que la classe du CM2 s'est rendue, du 2 au 8 mai, dans les Hautes-Pyrénées pour rencontrer ses correspondants de Castelnau Magnoac (65).


Ce grand voyage en diagonale entre les Vosges et les Pyrénées est préparé activement depuis la rentrée de septembre. Il a permis aux enfants de parcourir différentes étapes du passé avec les grottes préhistoriques de Gargas, célèbres pour leurs 200 empreintes de mains datant de 27 000 ans (Paléolithique supérieur), la nécropole et la basilique Saint Just de Valcabrère, la cité antique de Saint Bertrand de Comminges avec ses vestiges gallo-romains et sa cathédrale Sainte Marie, ainsi que le château d'Henri IV à Pau (avec une exposition inédite de grands maîtres florentins à l'occasion du 400e anniversaire de l'assassinat du roi par Ravaillac, le 14 mai 1610). Les écoliers ont aussi retrouvé près de leur lieu de séjour le souvenir de deux médecins alsaciens célèbres : Albert Schweitzer, interné en 1917 dans l'ancien séminaire de Garaison, et Adélaïde Hautval, résistante et déportée, psychiatre au centre d'internement de Lannemezan (1942).

Rencontre avec des résistants

Mais le véritable temps fort de cette histoire partagée a été la rencontre avec les anciens libérateurs du Corps Franc Pommiès (CFP), cette unité de maquisards béarnais qui libéra le Haut-Florival le 5 février 1945 au terme de leur traversée du pays. Après la visite du musée, guidés par son concepteur Pierre Roger, les élèves buhlois ont participé à une émouvante cérémonie du souvenir au Mémorial du CFP, avec levée des couleurs, ravivage de la flamme, dépôt de roses et discours officiels. Ils se sont ensuite entretenus avec Georges Campistron, Ernest Daujan, André Moncassin, Jean Soules, Georges Trey, Julien Vasquez et Jean Albert Vidou, tous anciens résistants et combattants de la campagne des Vosges, désormais âgés de 83 à 92 ans. Les vétérans leur ont confié leurs motivations, leurs convictions, leurs espoirs, leurs émotions mais aussi leurs peurs et leurs souffrances. Avant le départ, Bernard Verdier, maire et conseiller général de Castelnau Magnoac, a offert à chaque jeune alsacien un panier généreusement garni de délicieuses spécialités gastronomiques du terroir.

Du 14 au 18 juin, les écoliers de Buhl accueilleront leurs correspondants et une délégation de libérateurs. Ensemble, ils visiteront quelques lieux symboliques de l'histoire et de la mémoire de l'Alsace. Mais ils mettront surtout leurs pas dans les traces des anciens, sur ces sentiers forestiers que ceux-ci parcoururent jadis, en cette mémorable journée du 5 février 1945, par deux mètres de neige et sous la menace des mines.


( Source Dernières Nouvelles D'alsace )

17 mai 2010

Portes ouvertes chez l’artiste Pierre Matter


Ce week-end, Pierre Matter, sculpteur ferrailleur buhlois, a ouvert ses portes, rue Saint-Gangolph à Buhl. Un hall d’exposition et plusieurs ateliers constituent son univers au quotidien. Un univers d’où naissent ses œuvres, d’où découlent des amas de ferraille et de métaux entreposés çà et là, ses nombreuses créations, amalgames de l’univers technologique et mythologique.

Gigantesques ou minuscules, ses créations conjuguent la vie, l’avenir, l’amour, les conflits. « La matière est l’extension de moi, de mes idées, de mes sentiments. Je les traduis dans mes pièces, la sculpture étant l’extension de moi-même, des conflits mais également de la réconciliation. Pour l’art, c’est saisir l’insaisissable.

 Longtemps j’ai cru à l’inutilité de l’art et enfin j’ai compris que l’art va au-delà de l’utile et que c’est principalement ce qui différencie l’homme de l’animal. ». Artiste presque inconnu des Alsaciens, Pierre Matter reste un géant de part le monde avec notamment des sculptures au Japon pour le mondial de 2002, à Pékin, pour les Jeux Olympiques et à Shanghai en précurseur il y a quelques années par l’exposition universelle.



( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

16 mai 2010

Les mains vertes du Florival récompensées


La Fête des fleurs qui s’est déroulée, hier, à Buhl, a rassemblé tous les acteurs de l’embellissement floral de la vallée.


Samedi, les lauréats du fleurissement du Florival, ainsi que l’ensemble des acteurs de l’opération « Fleurir le Florival », se sont retrouvés, place du Marché, à Buhl, pour la 25 e édition du marché aux géraniums, dénommée désormais « Fête des fleurs ».

L’an passé, au mois d’août, la commission du fleurissement florivalien comprenant des élus des communes de Linthal, Lautenbach-Zell-Sengern, Lautenbach-Schweighouse, Buhl, Murbach et Guebwiller, avait parcouru le Florival pour visiter 153 sites en vue des notations.

Samedi, les lauréats ont été récompensés en présence des maires de la vallée et des adjoints responsables du cadre de vie. Après quelques notes jouées par la fanfare des sapeurs-pompiers de Buhl, sous la direction de Franck Solinas, c’est René Gross, le maire de Murbach, commune d’accueil du fleurissement, qui a salué ses collègues ainsi que les responsables des commissions. Et de remercier les lauréats : « Vous égayer vos maisons et jardins pour rendre les communes attrayantes. Les touristes apprécient. » René Gross a également rappelé l’engagement financier des six communes qui permet de récompenser les lauréats.


La palme à Lautenbach-Zell


Christian Cherey, l’adjoint buhlois, a ensuite proclamé le palmarès (lire l’article ci-contre). On peut d’ailleurs constater que, sur les 64 primés, la palme revient toujours à Lautenbach-Zell avec 30 % des lauréats toutes catégories confondues. La commune est surtout bien placée en catégorie maisons, façades et balcons, alors que Buhl dans cette catégorie n’a pas été primé. Pour Guebwiller, la satisfaction vient essentiellement des maisons avec jardins, car la ville est presque à égalité avec Lautenbach-Zell, à 7 primés contre 8.


Le palmarès 2009


Maisons - Façades - Balcons : 1e Edmond Kuster (Lautenbach-Zell), 2e M. Woerner (Guebwiller), 3e Jean Henry (Guebwiller), 4e Gérard Richert (Lautenbach-Zell), 5e Étienne Remtschek (Lautenbach), 6e Fernand Hueber (Lautenbach), 7e Marc Lichtlé (Lautenbach-Zell), 8e Jean-Claude Tschudy (Lautenbach), 9e Patrick Werner (Lautenbach), 10e Denis Fischer (Lautenbach-Zell) ; et aussi René Simonklein (Lautenbach-Zell), François Kuster (Lautenbach-Zell), Roger Haller (Linthal), Nathalie Parmentier (Lautenbach), Eric Brengard (Lautenbach-Zell), Richard Still (Lautenbach), Yves Preiss (Lautenbach-Zell), Martine Strobel (Guebwiller), Joseph Rotolo (Guebwiller), Michel Galliath (Lautenbach-Zell), Fabien Longhino (Murbach), Fernand Wunderly (Guebwiller) et Hubert Baum (Lautenbach-Zell).

Maisons avec jardin : 1e Frédéric Roeder (Linthal), 2e Philippe Schliffer (Lautenbach-Zell), 3e Odile Schilling (Lautenbach), 4e Patrick Welter (Guebwiller), 5e Édith Boos (Guebwiller), 6e Jean Vogel (Lautenbach-Zell), 7e Alice Gasperment (Lautenbach-Zell), 8e Anne-Catherine Cousin et Léa Romain (Guebwiller), 9e Thierry Bartsch (Buhl), 10e Guy Emter (Linthal) ; et aussi Fernand Lantz (Lautenbach-Zell), Denis Hetsch (Buhl), Fernand Preiss (Lautenbach-Zell), Werhlen Kuster (Linthal), René Rietmuller (Lautenbach-Zell), Gertrude Werhlen (Lautenbach-Zell), Pascal Jumeau (Lautenbach), Jacqueline Fedorenko (Guebwiller), Yvan Schlachter (Murbach), Jacques Bauer (Lautenbach), Pierre Etterlen (Guebwiller), Daniel Stocker (Guebwiller), Rosario Anastasi (Buhl), Léon Heyer (Guebwiller), René Holtzheyer (Lautenbach) et Pierrette Arnold (Lautenbach-Zell).

Commerces : 1e Le Schaeferhof (Murbach), 2e Tabac Chambard (Lautenbach-Zell), 3e Boucherie Peter (Buhl), 4e Le Bratzala (Guebwiller), 5e Le Barnabé (Buhl), ainsi que Brasserie du Chêne (Guebwiller), Super U (Guebwiller), Crédit mutuel Lautenbach, Copronet (Guebwiller) et Crédit mutuel Linthal.

Collectifs : 1e Jean-Marc Simonklein (Buhl), 2e Gérard Fedry (Buhl), 3e Résidence Alsatia (Guebwiller), 4e Marie Risser (Guebwiller), 5e Jeannette Beck (Guebwiller).


( Source  L'Alsace )

Château du Hugstein : Sentiers des châteaux forts


Sous l'égide de la communauté de communes de la région de Guebwiller, un guide de randonnées historiques vient d'être édité.

« Sentiers des châteaux forts, 5 circuits pédestres » se présente sous la forme d'un topoguide de format 10 / 21, comportant cinq feuillets plastifiés (un par itinéraire) avec carte IGN, courte présentation historique et signalétique de l'itinéraire.

Fruit d'une collaboration entre l'association Pro-Hugstein, le Club vosgien de Guebwiller et Châteaux forts et villes fortifiées d'Alsace, ce guide s'inscrit dans les actions autour du label Pays d'art et d'histoire et propose aux randonneurs, par des circuits de 3 à 5 heures de marche, de découvrir le patrimoine castral important de la région : le Freundstein et le Schlossbuckel au départ de Rimbach-Zell ; le Strohberg et le Ruhenfels en partant du Boenlesgrab ; le Stettenberg, et le château d'Orschwihr depuis Guebwiller ; Murbach et le Hugstein à partir de Buhl et le Husenbourg en commençant par le monument Brun.

Pour la présentation de cet opuscule et l'inauguration des circuits, Nicole Erny, vice-présidente de la communauté des communes en charges des affaires culturelles, a organisé hier matin un petit déjeuner symbolique aux pieds du Hugstein.

Vendu au prix de 3 €, le topoguide est disponible dans les OT de Soultz et de Guebwiller, à la communauté de communes et dans de nombreuses mairies.


( Source Dernières Nouvelles D'alsace )

15 mai 2010

La MJC souffre du manque d’une vraie maison


Malgré des problèmes de locaux, la MJC de Buhl se porte bien et enregistre de nouveaux adhérents. Le comité se renforce également avec l’arrivée de Didier Mathiot et Fabien Vieljus.


Dernièrement, le président de la MJC de Buhl, Christophe Peter, avait convié les présidents des différentes sections à l’occasion de l’assemblée générale qui s’est tenue dans le préfabriqué dans la cour du Cercle. Il a remercié de leur présence les représentants des sections, saluant également la présence de l’adjoint au maire, Yves Coquelle, président de l’office municipal des sports et de la culture.

Rappelons que pour des raisons de sécurité, le bâtiment de la MCJ a dû être fermé en automne 2008. Un manque et un véritable problème pour les membres de la MJC. « Une structure associative comprend une animation, des actions et des projets, mais se développe aussi grâce à un état d’esprit, une chaleur humaine entre ses membres, une convivialité : des qualités qui nécessitent un lieu commun », a relevé dans son rapport le président, qui a cependant remercié la municipalité pour la mise à disposition du préfabriqué fin 2009.

Dispersion des activités

Ce manque de lieu commun aux différentes sections entraîne également une dispersion des activités. Il faut souligner que certaines sections sont logées à bonne enseigne, telle la section du tir à l’arc qui, avec la salle de sport du collège, a trouvé des conditions d’entraînement optimales. Mais le président met en garde : « Veillons à ce que cette dispersion ne transforme pas les activités à des potentats individualistes, qui auraient l’illusion de pouvoir fonctionner en vase clos, oubliant l’attachement à la base commune. »

Fin 2009, la MJC de Buhl compte 183 membres, soit une progression de 7 membres. Les sections qui comptent le plus d’adhérents sont la relaxation bio énergie, le cyclisme, le tir à l’arc, les maquettes. Elles devancent, dans l’ordre, le tennis de table, l’éveil musical, l’animation et le judo.

On notera également que l’archer Didier Mathiot et le maquettiste Fabien Vieljus sont rentrés au comité
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( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

Une tondeuse autoportée pour un gain de temps


Dans le cadre d’une nouvelle politique environnementale, les Services techniques de la commune de Buhl se sont dotés d’une tondeuse autoportée. En effet, les surfaces à traiter dans la commune sont importantes entre les stades et les espaces verts, et l’ancienne tondeuse n’était plus adaptée puisqu’elle datait de 1995.


Aussi, un nouveau véhicule indépendant complète depuis peu le parc des véhicules des Services techniques. La tondeuse homologuée est à coupe frontale, avec un bac de ramassage de 550 litres et permet un gain très important en heures de travail. Le coup de ce véhicule s’élève à 20 000 €. Il est sous la responsabilité de Roger Meyer.

Récemment, aux ateliers municipaux, l’adjoint Francis Munsch a remis à Michel Trasmundi, le responsable des Services techniques, les clés du véhicule.

( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

14 mai 2010

Quand la musique est bonne



L'assemblée générale passée, les Schlappabader de Buhl font les comptes d'une année riche en événements. En tout cas, la Gugga a été très présente cette année que ce soit dans le Haut-Rhin et dans les départements avoisinants.


En 2007, ils étaient 25 musiciens et ce chiffre est passé à 52 en 2010. La Guggamusik de Buhl n'a pas chômé lors de la dernière saison carnavalesque. La formation est sortie 14 fois dont quatre fois hors de la Région. Que ce soit à Baccarat, Agondange, Gandrange ou Besançon, les moines en chaussons se sont montrés à chacune de leurs sorties. « A Baccarat, plus de 30 personnes attendaient notre arrivée », commente Thierry Patou, Vice-président de l'association, « ce fut un très bel accueil. Lors de notre assemblée générale, Yves Coquelle nous a félicités et remerciés pour avoir joué au carnaval de Buhl bien qu'il ait eu été reporté à cause des conditions climatiques. Ce dernier soutient la gugga depuis sa création et est content de son évolution malgré la conjoncture actuelle », indique la présidente Carole Fabacher. Mais la Gugga ne pourrait jouir d'une si bonne réputation sans assiduité des musiciens aux répétitions et aux manifestations. « On a fait pratiquement toutes les répétitions et carnavals au complet. Je félicite les jeunes pour les progrès qu'ils ont fait ainsi que le reste des musiciens pour leurs efforts tout au long de l'année », commente Thierry Patou.

Un élan de solidarité

La jeune troupe n'en a néanmoins pas fini de jouer car il sera possible de voir les musiciens le 12 juin sur le stade du FC Buhl lors d'un concours inter-associations buhloises, et le 21 juin, lors de la fête de la musique à Schweighouse et Buhl. Outre le fait que la vocation première des Schlappabader est de jouer de la musique, la gugga a aussi su faire preuve de solidarité : « deux musiciens de chez nous, Christelle et Mickaël, ont perdu leur maison suite à un incendie. Une chaîne de solidarité a été mise en place relayée aussi par les pompiers de Soultz. Beaucoup de personnes ont répondu à l'appel, et aujourd'hui le couple et leurs cinq enfants ont retrouvé un logement. Merci à tout le monde ». La saison prochaine se voudra tout autant animée selon les voeux de Carole Fabacher et de Thierry Patou. « On organisera une soirée anniversaire à la salle de gymnastique de Buhl, qui est aussi notre salle de répétition, le 18 septembre prochain. Elle remplacera la soirée paella qui aura lieu le premier week-end de février pour lancer la saison carnavalesque. Cette soirée s'inscrira dans un registre soirée déguisée et ce sera Jean-Paul Hurth qui animera. Puis, pour les prochains défilés, nous auront de nouveaux costumes : un manteau rouge avec une capeline noire que l'on a pu s'offrir grâce à une subvention exceptionnelle accordée par la municipalité. Ceci dit, question habillement, on voudrait aussi remercier nos sponsors, Isola Bella pour les t-shirts, Pascal Babula et le Caveau Au soleil d'or pour les k-way, ainsi qu'Aspach uniform pour les sweet shirts », affirme ce dernier, « je voudrais aussi indiquer que les effectifs de la troupe ne sont pas bridés et que tous musiciens est le bienvenu ».

 
( Source Dernières Nouvelles D'alsace )
 
 

13 mai 2010

Les fleurs à la fête


Dans le cadre de l’opération « Fleurir le Florival », Buhl accueille, ce samedi 15 mai, la 25 e édition du marché aux géraniums, aujourd’hui appelé Fête des fleurs. Les communes de Linthal, Lautenbach-Zell – Sengern, Lautenbach – Schweighouse, Murbach, Buhl et Guebwiller s’associent à nouveau à cet événement qui aura lieu ce samedi 15 mai, de 7 h 30 à 13 h, place du Marché à Buhl.


Les Florivaliens désireux de contribuer à l’embellissement floral de la vallée pourront rencontrer et s’informer auprès des professionnels de la région, horticulteurs et paysagistes. Ils trouveront comme par le passé des stands artisanaux : plantes séchées, peintures, minéraux, exposition de matériel de jardinage… Tous contribueront ainsi à la décoration florale de la vallée, fleurissement hautement apprécié par les touristes, mais aussi par les autochtones pour un cadre de vie des plus agréables.

Sont également associés à cette fête les exposants pour les énergies renouvelables (filières bois, photovoltaïque, solarium), la coordinatrice pour la protection des eaux : conseils jardinage au naturel et la Communauté de communes de la région de Gueb-willer pour les biodéchets.

Ce marché reste avant tout celui de la convivialité où se retrouvent les lauréats du fleurissement 2009, qui seront mis à l’honneur. L’apéritif concert sera animé par la fanfare des sapeurs-pompiers de Buhl.


( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

Saint- Gangolphe: « Redonner vie à ce lieu remarquable »


Il est le nouveau propriétaire d'une grande partie du site du Saint - Gangolphe. A la tête de plusieurs entreprises, Alain Rombaux est tombé, il y a plusieurs mois déjà, « amoureux du lieu ». Depuis, il veut lui « redonner vie ». Mais regrette « de ne pas toujours être compris ». Nous l'avons rencontré.


Il n'est pas de Lautenbach, moins encore de Schweighouse, et il le reconnaît. Ce qui ne l'a pas empêché d'être, aux dernières municipales, candidats aux élections municipales d'une commune pour laquelle il dit sa passion presque au quotidien : « j'aime ce village » souligne t -il à notre intention. Et pourtant, Alain Rombaux a l'impression de « ne pas être compris dans sa démarche », la seule volonté de « permettre au Saint - Gangolphe de retrouver l'aura qui fut la sienne il y a quelques années de cela ». Selon lui, il se pourrait bien que la « difficulté du dialogue pourrait bien avoir son origine à ces municipales passées... ». Pourtant, il estime qu'aujourd'hui « il faut aller de l'avant... ».

« Je suis réputé pour mes actions de sauvegarde et d'embellissement de sites anciens de ce type » relève celui qui dirige quatre entreprises spécialisées dans ce domaine, « et j'ai régulièrement des offres en provenance d'autres communes », rappelant notamment son travail mené au Drouot, à Mulhouse, qui a généré la création de 80 emplois et l'aménagement de 200 logements ou encore un travail en cours avec la mairie de Besançon.

Sur le site, Alain Rombaux a tenu à nous montrer un de ces sujets qui, visiblement, fâchent... La grille en fer forgée, « réalisée par un artisan du cru », destiné « à protéger la fontaine « historique » de Saint- Gangolphe... ». « La fontaine est sur ma propriété. J'ai estimé nécessaire, pour la protéger, de mettre ces grilles, avec, aussi, deux portillons... Lors de manifestations, de fêtes ou autres moments exceptionnels, il est clair que l'accès en sera ouvert. Mais ce que je ne veux pas, c'est être responsable, un jour, d'accidents qui pourraient arriver ». Et Alain Rombaux de désigner, par exemple, un câble ( électrique ) qui passe sous le ruisselet qui arrive à la source...

« Ce que je veux, c'est rendre ce lieu extra -ordinaire » poursuit notre interlocuteur, qui projette, pour la fontaine « un éclairage et un aménagement extérieur », à l'image de l'aménagement projeté pour le bâtiment attenant, qui pourrait devenir « un petit gîte où le cuisinier du restaurant voisin pourrait éventuellement s'installer en cas de besoin... »

« La préservation du site »

« L'autorisation de clôturer le terrain à hauteur de la fontaine, je l'ai eu, en août dernier, de l'ancienne propriétaire du terrain, Mme Bordmann. Qui était, à l'époque, encore propriétaire du chemin d'accès, depuis cédé à la commune... »

« Pour moi, il était normal que ce chemin soit communal » commente Alain Rombaux, « ce d'autant qu'il permet aux pêcheurs de l'AAPPMA de rejoindre les étangs, ce qu'ils ne peuvent plus faire théoriquement en venant de Buhl ».

« J'estime qu'il est dans l'intérêt de tous de préserver ce site exceptionnel, qui ne pourra qu'être un atout touristique supplémentaire pour Lautenbach, Schweighouse et toute la région » ajoute Alain Rombaux, d'ailleurs contacté par l'émission célèbre « Des racines et des Ailes » pour parler de ses motivations, de son engagement, aussi. « Je veux agir pour le bien de la collectivité », regrettant que « tout ne soit pas aussi idyllique dans ce lieu ». Alors, il a décidé, aussi, de tout mettre en oeuvre pour que les lieux redeviennent « agréables à l'oeil », « pointant » quelques caravanes qui, il est vrai, ne cadrent pas trop dans le paysage : « j'ai même proposé à l'occupante des lieux de pouvoir occuper un mobil - home qui aurait été financé par quelques chefs d'entreprise et des bénévoles... En vain... ».

S'il ne manque pas de projets, ou de rêves, pour le site, Alain Rombaux a déjà à son actif quelques réalisations concrète. La rénovation du bâtiment - restaurant, par exemple, avec ce qu'il appelle « un clin d'oeil esthétique », ces volets au style « un peu autrichien »... « J'ai voulu apporter cette touche de couleur » explique notre interlocuteur. « Mais aussi suggérer à nos concitoyens, qui prennent plaisir à aller prendre le café l'après -midi outre - Rhin, qu'ils peuvent aussi trouver des lieux chaleureux chez nous... »

« Le respect de l'environnement »

Plus sérieusement, la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller, a fait installer, également sur le site des pompes de relevage pour l'évacuation des eaux usées, fruit d'une concertation « efficace avec Marc Jung, son président », ajoute Alain Rombaux... « Cela n'existait pas. J'estime qu'il faut aussi être respectueux de l'environnement » terminait -il, rappelant qu'avant ces eaux usées partaient... dans la nature.

Aujourd'hui, Alain Rombaux aimerait bien que « tout le monde se mette autour d'une table, qu'on mette les choses à plat ». « J'ai toujours joué cartes sur tables » ajoute t - il, rappelant la réunion publique qu'il avait organisé à Lautenbach à l'époque de l'achat du terrain. « Je voudrais que nous puissions travailler tous ensemble, sereinement »... Un peu dans l'esprit qui soufflait lors de l'office marquant la fête de Saint- Gangolphe dimanche : « un pèlerinage, c'est toujours un chemin à parcourir, en allant avec et vers les autres » avait déclaré l'abbé François Juncker qui célébrait la messe... « Il ne faut pas penser pour parler, mais agir en conséquence » disait encore le prêtre, appelant « à la rencontre », celle des fidèles, mais peut - être, aussi, en sous -entendu, celle des hommes et des femmes appelés à co - habiter sur le site...

Sera t - il entendu ? « Je suis prêt à rencontre madame le maire » nous déclarait, en tous les cas, Alain Rombaux, désireux avant tout de « dépasser ce qu'un homme politique aurait appelé « un clapoti » », et qu'il classerait bien dans les histoires « clochemerlesques »...



(     Dernières Nouvelles D'alsace    R.B.     )

La fontaine du Saint-Gangolph au centre des débats


A l'occasion de la traditionnelle fête du Saint-Gangolph, la fontaine représentative de ce haut lieu de pélerinage ne sera pas accessible. Hier soir, le propriétaire des lieux, Alain Rombaux, a décidé de cloturer cette espace riche en légendes. « C'est avant tout pour préserver le site. Il faut savoir qu'il y a eu pas mal de détériorations. On a, par exemple, retrouvé des cotons tiges dans la fontaine et celle-ci a été bouchée », explique-t-il, tandis qu'au niveau de la municipalité, la tendance s'inverse : « il n'y a pas eu d'autorisation de travaux de déposée à temps alors que nous l'avions prévenu. A partir de là, ces travaux doivent cesser ». Aujourd'hui, les liens semblent rompus entre les deux parties et tous s'accordent à dire que l'unique issue sera celle de la justice. Une issue qui ne fait pas trembler Alain Rombaux : « j'ai un document de madame Boardmann qui m'a cédé les lieux m'autorisant à cloturer cette fontaine. J'aime profondément le site, et c'est pour le protéger que j'ai décidé de cloturer cette fontaine ».


( Source Dernières Nouvelles D'alsace )

Karl et Isabelle à la tête du Saint-Gangolphe


Depuis quelques jours, le restaurant du Saint-Gangolphe a un nouveau patron : Karl Jacquot et son épouse Isabelle entendent exploiter à fond les ressources touristiques de ce lieu très prisé, à la fois lieu de pèlerinage et de promenade. Ce sont de vrais professionnels et pour réussir leur projet, ils ont mis tous les atouts de leur côté.


Karl est avant tout sommelier. Il a fait ses armes comme tel au « Rendez-vous de chasse », le restaurant de l’hôtel Bristol, à Colmar, puis au « Fer rouge », toujours à Colmar et au « Chambard », à Kaysersberg, tous trois étoilés Michelin. En 1997, il a été finaliste du concours du meilleur sommelier de France où il s’est finalement classé cinquième. Il a ensuite été directeur de l’hôtel d’Alsace à Guebwiller et directeur de la restauration à l’hôtel de l’Ange, toujours à Guebwiller. Marié avec Isabelle, il est père de quatre enfants.

Plat du jour à 7,50 €

Même s’il sait aussi très bien faire la cuisine, Karl sera essentiellement en salle avec son épouse, et c’est Kevin Garcia qui sera aux fourneaux. Kevin vient du restaurant Schillinger à Colmar, une référence.

Les deux ont décidé de privilégier la fraîcheur. La carte, volontairement réduite, mais appelée à changer régulièrement, est établie en fonction des saisons et du marché. Karl propose néanmoins un plat du jour à 7,50 € et, bientôt, s’y ajoutera une suggestion du jour, en fonction du marché. Le tout à des prix très abordables.

Panier de vins

L’originalité vient de ses vins. Le client fait son choix dans un panier rempli d’une sélection de vins de diverses régions et de divers millésimes. Prix unique pour la bouteille de 75 cl : 20 €. Et ce n’est pas fini. Karl et Isabelle ont encore plein de projets. Mais ils veulent d’abord prendre leurs marques et s’assurer une clientèle fidèle.

Dès les beaux jours, les clients pourront déjeuner au soleil sur la terrasse, à l’ombre des parasols. Hors saison ou par mauvais temps, ils pourront aussi s’installer à la salle de l’étage au-dessus du caveau. Karl et Isabelle se feront un plaisir d’accueillir banquets et repas de famille.

Le restaurant est ouvert du mardi au dimanche, et fermé le lundi.

(  Source L'Alsace  Jean-Marie Schreiber )

Chemin de croix et calvaires


Organisée par les Amis du Retable, le Maïbummel intitulé « Buhl et son petit patrimoine religieux » a permis aux participants d'ouvrir le deuxième volet d'un circuit débuté en 2009. Pour cette édition, la balade a suivi son cours côté adret. Plaisir d'une découverte historique et d'un magnifique panorama rehaussé par l'éveil de la végétation.


Tout était réuni en ce samedi 8 mai pour prendre un bon bol d'air et effectuer quelques pas en arrière et évoquer un passé toujours parlant de par ses vestiges. Côté parole, Daniel Haering et Christian Chéray se sont montrés éloquents en descriptions, commentaires et anecdotes devant la croix la plus ancienne de Buhl qui se trouve rue de la Carrière, devant le calvaire situé à côté du réservoir ou encore devant la chapelle des maquisards. Françoise Maurer a, quant à elle, ouvert une parenthèse intéressante sur l'histoire du vignoble buhlois. La balade de plus de trois heures a séduit les marcheurs et elle s'est conclue de façon fort sympathique autour d'un verre et de quelques gourmandises.


(  Source Dernières Nouvelles D'alsace  )

Douze titres régionaux pour le COBF


Le Club de course d’orientation Buhl Florival a marqué de son empreinte les récents championnats d’Alsace en course d’orientation longue distance, malgré l’absence des meilleurs éléments, qui participaient aux courses de sélections pour les championnats d’Europe, à savoir Nicole Hueber, Olivier Sutter et Victor Tardy. Parmi les lauréats, Julien Schnebelen, un adepte de la course d’orientation en VTT reconverti depuis trois ans à la course pédestre. Avec bonheur, puisqu’il s’est adjugé le titre régional.

Les résultats

Champions d’Alsace : Justin Renaud (H 10), Sébastien Hanauer (H 14), Nicolas Bachmann (H 20), Ludovic Peyron (H 21), Jean-Marie Hanauer (H 45), Bernard Dietsch (H 50), Florence Hanauer (D 12), Nathalie Korchak (D 14), Camille Coin (D 16), Julien Schnebelen (H 21 E), Mathias Dolci (H 20 E) et Ariane Sutter (D 20 E).

Podium également pour Joël Dietsch 3 e, Hugo Bilquez 2 e, Clément Colin 3 e, Maxime Bartisol 2 e, Jérôme Herling 2 e, François Hueber 2 e, Emilie Korchack 2 e, Mathilde Riethmuller 2 e, Stéphanie Morel 3 e, Luisa Dias 3 e, Lena Korchak 2 e, Évelyne Haury 3 e, Claudie Grevet 3 e et Diane Sutter 2 e.

( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

8 mai 2010

Une belle centenaire


Cent ans, c’est le bel âge. L’équipe enseignante de l’école Maurice-Koechlin a décidé de le fêter comme il se doit. Rendez-vous est d’ores et déjà donné le vendredi 21 mai, à partir de 16 h 10. « Tous les anciens élèves et collègues de l’école sont invités à participer à ces festivités », indique d’emblée Denis Berviller, le directeur de l’école. L’organisation de cette manifestation a toutefois soulevé une question : « La première pierre a été posée en 1910 mais l’école n’a été inaugurée qu’en 1911. Alors quelle année retenir ? Finalement, nous avons opté pour la première date car c’est elle qui est inscrite sur le fronton de l’école », explique le directeur.


Les Amis du Retable de Buhl se sont penchés sur l’histoire de ce bâtiment. Les grandes lignes seront données le 21 mai : à l’origine, seules les filles fréquentaient l’établissement, les garçons étant scolarisés dans l’école derrière la mairie. Le lieu a également subi une destruction partielle lors de la Première Guerre mondiale. Quant à son nom, il lui a été attribué en 1985. Enfin, quelques personnages célèbres y sont venus, curieux de découvrir l’organisation particulière de l’école. Ce fut le cas, par exemple, de Guy Drut, ministre de la Jeunesse et des Sports (le 28 octobre 1995), de Jacques Chirac, président de la République (21 janvier 1999), ou encore de Jean-Louis Debré, président de l’Assemblée nationale (4 mai 2006).

« Une école pour tous »

De nombreuses photos de classe seront exposées dans l’école le 21 mai. Les visiteurs pourront s’amuser à mettre des noms sur ces visages d’enfants, exhumés du passé. La salle de classe de l’Écomusée, visitée il y a peu par des élèves, sera transférée pour l’occasion à Buhl. Les visiteurs pourront également découvrir les travaux réalisés par les élèves en art plastique. Les enfants présenteront par ailleurs des chants et des danses scolaires traditionnelles. Enfin, un journal scolaire « spécial centenaire » vient d’être édité, qui rassemble tout ce que les élèves ont fait cette année en vue de cette journée. À noter aussi que la classe 57, rassemblée autour d’Aldo Pedretti, sera présente en nombre.

En cent ans, les locaux ont évidemment été adaptés. Ce qui représente des investissements toujours conséquents pour une commune. Néanmoins, ce n’est peut-être pas là que le changement est le plus visible. « Ce sont surtout les enfants qui ont changé », assure André Durand, enseignant depuis bientôt trente ans à Buhl. « Ils zappent davantage, ils sont moins attentifs. » Ce n’est pas tant une question de savoir que de comportement. En revanche, la demande des parents n’aurait pas tant évolué : « Ce qu’ils veulent, c’est que leur enfant réussisse, qu’il ait acquis les fondamentaux, comme lire, écrire et compter, et puisse suivre l’année suivante », souligne André Durand.

Du côté des enseignants, la pratique, elle, a subi de profondes transformations. Fini les bonnets d’âne ou les coups de règle sur les doigts, fini l’apprentissage des détails des grandes batailles de l’histoire, à la mode au début du siècle dernier. « Ces trente dernières années, nous avons été amenés à pratiquer de nouvelles activités, en particulier en sport, mais aussi à proposer une ouverture supplémentaire sur le monde. Les nouvelles technologies ont également fait leur apparition », rappelle l’enseignant. Des changements qui poussent à se former et à rester ouverts pour ne pas être en décalage avec les élèves.

Et l’école de demain ? Quel que soit l’âge du bâtiment « nous allons continuer à véhiculer un certain nombre de valeurs », insiste André Durand, qui rappelle que « l’école est une microsociété où on apprend à vivre ensemble ». Et Denis Berviller de poursuivre : « Ce n’est pas le bâtiment qui fait la dynamique d’une équipe. Notre rôle, c’est de préserver et renforcer l’idée d’une école pour tous. » Une idée largement présente dans l’histoire de l’école publique et toujours d’actualité.

( Source L'Alsace Élise Guilloteau )



De 16 h 10 à 17 h : spectacle proposé par les classes.

De 17 h à 18 h : école ouverte avec visite de l’exposition sur le thème du centenaire.

De 18 h à 18 h 30 : discours officiels, en particulier de Fernand Doll, maire, ainsi que de Jean-Marc Schreiber et de François Grunenberger, deux anciens directeurs de l’école.

Verre de l’amitié offert par la commune.

Petite restauration au profit de la coopérative scolaire.

7 mai 2010

Saint-Gangolph :A la fête du coucou, la chapelle reprend vie

Le conseil de fabrique de Lautenbach a entrepris des travaux d’aménagement aux abords de la chapelle de Saint-Gangolph pour en faciliter l’accès.

Le pèlerinage à la chapelle de Saint-Gangolph à Schweighouse Lautenbach se déroulera ce week-end des 9 et 10 mai.

Dès samedi soir, l’association des amis du Saint-Gangolph invite à la cinquième montée aux flambeaux pour rejoindre la chapelle du XVe siècle, ornée de fresques historiques rappelant la vie du saint. Un petit concert sera donné par le groupe vocal Crescendo et une projection permettra de découvrir la nouvelle brochure.

Dimanche, les fidèles du Florival fêteront saint Gangolph, martyr de la fidélité conjugale, qui a en effet été vénéré et l’est toujours comme patron des époux, qu’on venait aussi implorer pour trouver un mari ou une épouse. La grand-messe sera célébrée en plein air aux abords de la chapelle. Elle sera animée par l’Harmonie du Florival et les chorales des paroisses réunies.

À noter que cette journée est aussi baptisée « Fête du coucou ».

Si la coutume voulait que les forains, dans le passé, proposent des objets de piété, des chapelets et autres médailles, il subsiste néanmoins, ô ravissement de notre enfance, le petit coucou appelé en dialecte « Kütza » et les « Glutri » qui, remplis d’eau, produisaient lorsqu’on soufflait dedans, un bruit assez spécial dont la cacophonie constituait un concert suave aux oreilles enfantines. Les gargouillis des « Glutri » pouvaient suggérer le bruit accompagnant les paroles proférées par l’épouse infidèle. Pour la joie des petits et des grands, des poteries aux tendances modernes seront en vente comme tous les ans.

Suite à la donation de la famille Bordmann, le conseil de fabrique de Schweighouse étant propriétaire, l’association des Amis du Saint-Gangolph a entrepris des travaux d’aménagement aux abords de la chapelle : nivellement du terrain pour créer une petite esplanade et accès plus facile pour les personnes à mobilité réduite. Ces travaux ont été réalisés grâce aux bénévoles.

Ce printemps, un portail en fer forgé a été mis en place pour permettre l’aération de la chapelle et les peintures des boiseries extérieures ont été refaites.

Suite à la mise en place du ramassage des bio-déchets, l’association a également décidé lors de la fête, d’utiliser des assiettes compostables pour réduire le volume des poubelles.

( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

Le quartier de la porte de Buhl en fête



Samedi, les habitants de la porte de Buhl se sont retrouvés pour la fête du quartier.


Cette rencontre conviviale a rassemblé une centaine de voisins et voisines ainsi le premier magistrat de la commune, Fernand Doll, la doyenne, Colette Bischoff, à l’aube de son 80 e anniversaire, et le benjamin, Tom Mellinger, 3 ans. Rappelons que cette fête est à l’instigation du « Transalpin » Pierre Tome, qui, pour un tel événement avait été novateur dans le Florival en 1996.

 Aussi, pour cette 14 e édition, une surprise a été réservée aux habitants avec la venue de Tania Simon, miss Haut-Rhin 2008 et 1 re dauphine de miss Alsace.


( Source L'Alsace Photo Bernard Erhard )

Patrimoine religieux et renaissance du vignoble



Les Amis du retable de Buhl proposent, lors de leur sortie annuelle du 8 mai de découvrir des croix et la chapelle, rive gauche de la Lauch ainsi que le retour du vignoble dans la cité Saint-Jean.

L’an passé, croix et calvaires de la rive droite de la Lauch avaient été visités et commentés par l’association des Amis du retable de Buhl.

 Ce 8 mai, à 14 h, l’association propose de poursuivre cette découverte, mais sur la rive gauche avec la croix de chemin, la plus ancienne datant de 1675, le calvaire situé à l’origine dans l’oratoire du Rimlishof daté de 1854 et érigé dans les années 90 près du réservoir et la chapelle des maquisards.

 Ces trois stations constituent le final du nouveau parcours, réalisé en avril 2009 dans le cadre d’un projet culturel et touristique suite au recensement du patrimoine, effectué durant ces deux dernières années par le conseil communal des jeunes de Buhl.

Étant du côté du vignoble, c’est tout naturellement que les Amis du retable feront l’historique d’un ensemble qui s’étendait déjà en 1760 sur une surface totale de 60 ha. En 1900, elle a atteint son maximum de 63 ha, puis avec le déclin de l’industrie et du monde des ouvriers paysans, le vignoble est devenu une friche presque entièrement. Depuis une quinzaine d’années, ces jachères laissent place à la vigne grâce à quatre nouveaux exploitants qui tentent, avec courage, le pari du vignoble buhlois.


La chapelle des maquisards

L’édifice est presque inconnu des Florivaliens et même invisible de la rue du Roertal à Buhl. Située en bordure d’un verger entre deux maisons récentes, cette chapelle a été construite en 1961 par Thérèse Jecker (1897-1973), figure emblématique du village, grande résistante durant la Seconde Guerre mondiale. Cultivatrice dans le Trottberg, elle a hébergé et caché plusieurs réfractaires à l’incorporation de force. Elle était connue pour le port du béret et de l’écharpe de deuil. La population a gardé en mémoire l’image de sa carriole tirée par son âne passant au nez et à la barbe des Feldengendarmen. Les anciens racontaient qu’en passant devant l’hôtel de ville à Guebwiller, durant l’occupation, elle couvrait les yeux de son âne avec son chapeau. Et pourquoi? «J’évite qu’il ne braie Vive la France! »



Y ALLER Le départ est fixé à 14 h place du Marché à Buhl. Au retour de cette promenade découverte du patrimoine florivalien, les Amis du retable proposeront le verre de l’amitié à la salle de gymnastique à Buhl.

( Source L'Alsace  Photo Bernard Erhard     )

Il n’y a pas que la voiture pour aller à l’école


Toute la journée d’hier, parents, enfants et enseignants de Buhl ont été invités à ne pas prendre la voiture pour se rendre à l’école. Une initiative qui visait à renforcer la sécurité.

Hier matin, il faisait froid et pourtant… Émilie n’est pas venue à l’école en voiture mais à pied, Gaétan s’est rendu en classe sur les épaules de son papa, Hugo a pris son vélo pour venir avant de repartir en trottinette. Les enfants ont su faire preuve d’imagination pour cette première journée sans voitures aux abords de l’école maternelle de la place du Marché et de l’école Koechlin.

La population doit cette initiative à l’équipe en charge du périscolaire, menée par Caroline Boillot (notre édition du 30 avril). « Malgré l’information qui a été faite, certains ont été surpris par la fermeture de la rue. Nous avons discuté avec eux et ils ont compris notre démarche », indique Caroline Boillot, qui était aux côtés des agents de la Brigade verte, près des barrières qui bloquaient la rue. « Globalement, les parents et les enfants ont joué le jeu. » Pour le déjeuner, il faudra seulement compter 10 minutes pour conduire les enfants à la cantine, pas beaucoup plus qu’en bus en définitive.

Daniel Dagon et Caroline Devety, de la Brigade verte, font de la prévention : ils aident les enfants à s’engager sur la route et ils guident ceux qui sont perdus. « On garde le sourire et les tensions disparaissent », souligne Daniel Dagon.

Les élus étaient également présents. Pas seulement pour soutenir l’opération mais aussi pour commencer à évaluer les réactions des uns et des autres. Ils ont encouragé les personnes âgées qui habitent près des écoles, à s’engager une rue plus loin pour rentrer chez elles. « Bien sûr, tout changement étonne. Mais si on accompagne les choses, tout se passe bien », assure Francis Munsch, adjoint en charge de la sécurité. « C’est par les enfants qu’on arrive à faire passer des messages de sécurité. C’est pourquoi cette action est importante », poursuit son collègue Christian Cheray.

Malgré l’optimisme de rigueur affiché par les responsables de l’opération, certains parents s’interrogent, à l’image de Christelle, mère de deux enfants et qui travaille à Guebwiller. « Je ne comprends pas pourquoi certains parlent de problèmes de sécurité. Ici, il y a un grand parking et les gens roulent doucement. Ça n’a rien à voir avec Guebwiller où les enfants se retrouvent sur la rue quand on ouvre les portes de l’école. Quant aux parents qui ne respectent pas les lieux de stationnement, je pense qu’il faut les verbaliser. » À ses côtés, deux autres mamans vont dans le même sens.

« Je n’aime pas marcher sous la pluie »

Antonio, lui, estime que l’opération a tout son sens. Seulement, il est pressé : « Je viens rapidement chercher mes enfants, je les dépose chez la nounou pour le déjeuner et je pars aussitôt après au travail. » Avec de telles contraintes, se priver de la voiture, c’est forcément contraignant. « Mais c’est une question d’habitude. Si ça doit durer, on s’organisera. » En attendant, Gaétan, 3 ans, est ravi : son père l’a installé sur ses épaules pour aller plus vite. Quant à Émilie, 6 ans, elle a trouvé que « c’est rigolo de venir à l’école à pied même si papa, il court un peu. Mais je ne veux pas que ça soit tous les jours car je n’aime pas marcher sous la pluie ! »

Plus loin, Hugo, en CP, est tout sourire : ce matin, il est venu à vélo avec son père ; ce midi, il rentre avec sa sœur en trottinette. En septembre, si l’opération est reconduite, sûr qu’il ne manquera pas d’idée.



( Source L'Alsace       Élise Guilloteau   )

Les deux derniers-nés : Buhl, au pied du Hugstein


Les deux derniers-nés des collèges haut-rhinois bouclent dans moins de deux mois leur première année de service.


Comme celui de Burnhaupt-le-Haut, le collège de Buhl n’a pas encore de nom. Les propositions du conseil d’administration sont parties au conseil général, qui décidera. Ce qui est sûr (quoique…), c’est que ce ne sera pas « collège du Hugstein ». L’appellation, topographique et donc incontestable, aurait pourtant eu le mérite de désamorcer les passions suscitées par un choix toujours difficile. Elle aurait aussi eu le mérite de rappeler ce qui fait le cachet de cet établissement, adossé à la forêt et voulu, comme tous ceux de sa génération, « à taille humaine », avec ses 452 élèves (470 prévus à la rentrée 2010).

Un moindre mal finalement, comme les quelques problèmes résiduels d’accès pour les deux-roues et les piétons, que ne dramatise pas le principal Frédéric Brugger. Ce dernier se déclare en effet satisfait des prestations mises à la disposition des élèves issus de la vallée du Florival et du « haut de Guebwiller » : matériaux empruntant au concept de développement durable, très bonne isolation, équipements pédagogiques de pointe, du tableau blanc interactif au centre de documentation et d’information, lumineux et bien équipé en informatique. Et puis, toujours, cette vue imprenable sur la forêt et… les ruines du Hugstein.

Un collège où l’Éducation nationale sait prouver qu’elle partage avec le Département le souci du pragmatisme, quand le jeu des mutations le permet : M.Brugger venu, en voisin, de l’ex- « gros » collège de Guebwiller, connaissait dès la rentrée la plupart des élèves !

( Source L'Alsace   )

4 mai 2010

Les 85 ans d'Antoine Boffety


Aîné d'une famille de quatre enfants, Antoine Boffety est né le 4 mai 1925 à Roanne dans la Loire. Il va à l'école dans la même ville et passe avec succès le certificat d'études puis le brevet d'enseignement industriel comme ajusteur tourneur.

A 17 ans, en juillet 1942, il commence à travailler comme ajusteur fraiseur à l'usine Renou, fabricant de matériel de tuilerie et briqueterie. En 1947, il se marie avec Marie Stripoli qui est décédée en 1986 mais de cette union est née en 1967 Christiane, maman de Antonin et Thomas qui font de M. Boffety un heureux grand-père.

Quelques années après leur mariage, le couple Boffety vient s'installer en Alsace en janvier 1956 à Buhl et Antoine intègre la même année l'usine Schlumberger NSC où il est cadre, chef de service non textile sous-traitance en travaux extérieurs. Il y travaillera jusqu'en novembre 1982 date de son départ en retraite qui lui donne le temps et le plaisir d'aller au jardin, à la pêche au lac de la Lauch et de regarder les matchs de foot à la télé.

Au sympathique M. Boffety, Les Dernières Nouvelles d'Alsace souhaite un joyeux anniversaire.



( Source Dernières Nouvelles D'alsace   )

Hugstein : Retour au Moyen Âge


Le château du Hugstein à Guebwiller a été le théâtre d’une bataille dimanche après-midi.

Le tintement des épées, les cris rauques des combattants ont retenti et ont fait résonner les vieilles pierres. Nul retour dans le temps, mais une troupe de guerriers se battant pour le plus grand plaisir des visiteurs.

La troupe d’escrime de spectacle guebwilleroise « Lames d’en Temps » se devait de choisir ce château pour une séance de photos et d’entraînement sur le terrain. Pendant près de deux heures gentes dames, chevaliers, prêtre et gueux ont animé le site.

« Lames d’en Temps » fait partie du club d’escrime 1860 de Guebwiller et rassemble des passionnés d’histoire et de combats. Elle anime depuis quelques années les fêtes médiévales mais participe aussi à divers spectacles historiques où elle assure les cascades et les combats. On a ainsi pu la voir, entre autres, dans le premier Pouchkine à Soultz ainsi que lors des montées au Schlossberg dans la vallée de Thann. Elle s’adapte au siècle, par les armes et les costumes.

Depuis deux ans la troupe a étendu son activité : repas médiévaux, animations enfants (jeux médiévaux et armes adaptées), animations de rues, elle est équipée et entraînée pour répondre aux désirs des organisateurs. Toutes les propositions sont étudiées.

Le programme de cette année est varié avec une animation de classe transplantée, und kermesse d’école, une animation d’inauguration dans la rue de l’Ours (piétonne) à Colmar (Samedi après-midi 15 mai), la fête de la Sorcière à Rouffach le 17 juillet, la fête des rues de Chatillon sur Saône (70) le 1er août et d’autres dates et lieux à confirmer.

Pour étoffer ses spectacles, « Lames d’en Temps » cherche des musiciens et autres bateleurs.



SE RENSEIGNER Lors des entraînements le lundi soir 20 h au centre sportif du Florival, par téléphone au 03.89.74.31.84 ou par mail : lamesdentemps@orange.fr

( Source LAlsace Photo Bernard Erhard )

2 mai 2010

Des collégiens jouent les acteurs pour des écoliers


La classe de CM1-CM2 de Brigitte Metzger, enseignante à Schweighouse, a assisté à un spectacle imaginé par des collégiens de Buhl.


Un petit spectacle a été donné en avant-première au collège de Buhl pour la classe de CM1-CM2 de Brigitte Metzger, enseignante à Schweighouse, qui entretient des relations d’échange et de correspondance avec les élèves de Viviane Kourdifi, professeur de français. Cette dernière anime par ailleurs un petit club théâtre au collège où elle prépare depuis la rentrée une courte pièce, qu’elle a présenté vendredi devant les écoliers de Schweighouse.

C’est une bonne entrée en matière pour les élèves de CM2 qui rejoindront le collège en septembre prochain. Leurs camarades apprentis comédiens les ont promenés à l’issue du spectacle dans les différents espaces du collège.

Le spectacle d’une vingtaine de minutes mettait en scène neuf personnages de différentes époques, tous connus à travers les âges, qui se retrouvent à jouer les robinsons sur une île déserte où la fusée qui les transporte a échoué.

Ils y retrouvent les gestes essentiels pour survivre en communicant comme ils peuvent, en anglais pour la reine d’Angleterre, en latin pour Jules César, en français pour la jeune Jeanne d’Arc épée nouée à la ceinture, ou Napoléon coiffé de son bicorne.


Viviane Kourdifi mène actuellement l’échange avec sa collègue du primaire sur le thème du polar, leurs élèves vont prochainement mener une enquête criminelle en temps réel.




( Source   l'Alsace    Photo Geneviève Bader   )