Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

24 avril 2015

Tentinabul : le rendez-vous de l’imaginaire au Rimlishof

Le Rimlishof, à Buhl, va accueillir dès le 4 mai un nouveau festival, Tentinabul. Grâce au conteur Stéphane Herrada et à « l’archéologue de l’imaginaire » Laurent Lévy, le public va découvrir Mickerla et le monde des êtres de la forêt.

 
Stéphane Herrada, le conteur, et Laurent Levy, « l’imaginateur », vont emmener le public – petits et grands – dans un univers féerique peuplé de lutins malicieux, qui savent se montrer à ceux qui veulent bien voir…Photo  L’Alsace/ Bernard Erhard
 
 
Tentinabul, un festival pour rêver au cœur du Florival, est né de la rencontre d’artistes et de l’équipe du Rimlishof. « Notre idée était de créer une manifestation culturelle dans le cadre naturel du vallon du Rimlishof, avec pour objectifs d’amener le public, par la porte de l’imaginaire, à une approche sensible de la montagne et de la forêt ; de proposer une offre culturelle en milieu rural et en particulier du spectacle vivant ; de toucher des publics familiaux et scolaires » , résume Alain Nussbaumer, le directeur du Rimlishof. Et de préciser : « Les spectacles sélectionnés, en lien avec la magie du site, la forêt, la montagne, prendront place en extérieur ou dans les lieux intégrés dans le milieu, des tentes ou une yourte par exemple. »

Sous la yourte avec Mickerla



Le conteur Stéphane Herrada proposera un mélange de contes et de marionnettes, pour le plaisir des yeux dse petits et des grands. Il va retrouver pour l’occasion Mickerla, un lutin légendaire et farceur qui vivait autrefois dans les vallées du Florival et de la Thur. Mickerla aime vivre avec les paysans en leur jouant des tours. Mais il est chassé et, ne sachant plus où aller, il erre dans la montagne. Là commence un périple semé d’embûches qui conduira le lutin à faire des rencontres extraordinaires, un voyage initiatique dans le monde féerique du petit peuple des montagnes. Le spectacle sous yourte, après une petite balade en forêt, concerne uniquement les familles (voir ci dessous).
Autour du spectacle, c’est en famille ou entre amis, que parents et enfants auront la possibilité de découvrir le swing-golf, que l’on peut situer entre le minigolf et le golf. Un loisir de pleine nature, simple et convivial, qui se joue sur des terrains rustiques, avec un seul club et une balle souple. Accessible à tous, le swing-golf permet l’accès immédiat au terrain après une initiation rapide et gratuite.

Déambulation sur la colline



Le public, plus précisément les enfants des classes des écoles primaires, sera également invité à prendre connaissance d’une découverte exceptionnelle en rencontrant Laurent Levy, « l’archéologue de l’imaginaire ».
L’homme a mené de nombreux travaux de recherches ; ses découvertes permettront peut-être de faire la preuve de l’existence de nombreux petits peuples des forêts du monde entier : lutins, gnomes, trolls et autres korrigans. Toujours discrets, malicieux ou bienveillants, les êtres de la forêt occupent les journées sans laisser de trace… malgré leurs jeux éphémères, fragiles, multicolores et multiformes.


En famille, au mois de mai : uniquement le spectacle sous yourte « le lutin Mickerla »

Dates : les 4, 5, 6, 8, 9, 10, 14, 16, 17, 23, 24, 30 et 31 mai à 15 h.

À partir de 4 ans. Durée : 1 h 15 (balade et spectacle). Tarifs : 8 €/5 € moins de 16 ans.
Renseignements et réservations en téléphonant au 06.86.42.24.12 (nombre de places limité).
Le swing-golf sera ouvert aux mêmes dates que le spectacle, de 15 h à 18 h 30. Matériel : balle 2 €, club et tee prêtés. Tarifs : 6 €/4 € moins de 16 ans.
Pour les écoles au mois de juin :
Le spectacle sous yourte « le lutin Mickerla » avec ou sans « l’archéologue de l’imaginaire »
Une animation (1/2 journée) : 6 €
Forfait 2 animations (journée) : 10 €.
Gratuité pour les accompagnateurs : 1 adulte pour 8 enfants pour les 3 – 6 ans ; un adulte pour 15 enfants pour les 6 – 12 ans.
Renseignements et réservations auprès d’Anne Mathys, Tél. 03.89.76.82.10.

 

 


( Source L'Alsace )

19 avril 2015

Les mains vertes récompensées

Les lauréats du fleurissement 2014 ont été mis à l’honneur, samedi, à Buhl. L’occasion de féliciter ceux qui contribuent à l’embellissement de la commune et d’annoncer la Fête des fleurs pour le 9 mai prochain.

 
Les lauréats du fleurissement 2014.  Photo L’Alsace/Bernard Erhard
 
 
Les lauréats du fleurissement 2014 ont été mis à l’honneur hier matin au Cercle à Buhl. Le maire Fernand Doll les a remerciés de leur présence, saluant tout particulièrement la nouvelle conseillère départementale : Karine Pagliarulo. « Merci à vous qui embellissez notre village, qui donnez un cachet important à notre commune pour le tourisme économique. » Et le maire de rappeler les atouts touristiques avec le Hugstein, l’église et son retable, avec pour objectif cette année l’embellissement de la place de l’église.

Pour l’adjointe Marianne Loewert, responsable de la commission fleurissement, les remerciements sont allés aux services techniques, aux partenaires du fleurissement, mais surtout « à ceux et celles que nous mettons à l’honneur ce jour et qui perpétuent depuis des décennies le fleurissement de leur habitat pour eux-mêmes et pour l’embellissement de la commune ».
Et de citer Paul Claudel : « La fleur est courte, mais la joie qu’elle a donnée une minute n’est pas de ces choses qui ont commencement ou fin ».

L’adjointe a reparlé de l’opération déchets des fleurs estivales en octobre dernier, certifiant que pour 2015 elle sera reconduite. Elle a également souligné que deux candidats proposés par la commune ont été retenus pour les prix départementaux : les familles Jean-Marie Erny et Rocco Nuzzo. Le prochain rendez-vous concernant le fleurissement aura lieu le samedi 9 mai de 7 h 30 à 13 h à l’occasion de la 30e Fête des fleurs place du marché avec la remise des prix aux lauréats du fleurissement du Florival.

 La conseillère départementale a déclaré : « vous les acteurs du fleurissement vous êtes la cheville ouvrière de notre département. L’attrait du fleurissement et du patrimoine est un atout qu’il faut consolider ».

Palmarès



Maisons avec jardins : Rosario Anastasi, Henri Pierobon, Daniel Ritter, Jean-Marie Erny, Rade Petrovic, Jean-Luc Humbel, Étienne Blonde, Denis Hetsch, Pierre Engel (père), Fernand Braun, Paul Humbel, Louis Munschy, René Schuller, Michelle Lacaze, Antoine Vaccaro, Marguerite Rimelin, Pierre Muller, Pierre Reiff, Odile Hossenlopp, André Lechleiter, Paul Hartmann, Jean-Jacques Langolf, Pierre Ritter, Lucien Heinrich, Yvette Fretz, Hubert Reich, Georges Fabian, Albert Kehl, Armand Fahrer, Albert Grundler.
Façades : Raymond Riethmuller, Pascal Babula, Louise Ritter, Christophe Schirmer.
Balcons : Dominique Meyer, Fernand Strobel.
Collectif : Michel Wiedemann, Jean-Marc Simonklein, Charles Bachmann, Gérard Fedry.
Encouragements : Bruno – Virginie/Barbe-Vancon, Claude Kauffmann, Doris Rochette, Alain Erny, Raymond Pequignot, Franck Muller, Nadine Fischer, Jean-Pierre Russo et Sylvain Dorland.

( Source L'Alsace )



 

18 avril 2015

Un ex-patron alsacien condamné pour fraude fiscale

À la tête d’un « mini empire du biscuit » implanté notamment à Stosswihr, Buhl, voire Cernay avant sa liquidation judiciaire, un chef d’entreprise a été condamné pour fraude fiscale, hier par le tribunal de Colmar.

 
Continental Biscuits (CB),
 
L’affaire examinée le 2 avril dernier par le tribunal de Colmar concernait l’industriel Didier Chervin (47 ans), établi pendant des années à Stosswihr, dans la vallée de Munster. Alors à la tête d’une holding familiale regroupant une quinzaine de sociétés, employant plus de 700 personnes en Europe, il habite aujourd’hui en Haute-Normandie et se trouve en faillite personnelle.

Mais c’est pour fraude fiscale en 2008 et 2009 qu’il a comparu voilà quinze jours, en tant que dirigeant d’entreprises alsaciennes spécialisées dans les biscuits fourrés : Continental Biscuits (CB), située à Buhl, et Mondial Biscuits (MB), basée juridiquement à Stosswihr puisqu’une unité de production, prévue à Cernay, n’a finalement jamais rien produit.

« Où est le mobile ? »


Didier Chervin a contesté l’ensemble des faits reprochés, c’est-à-dire trois opérations relatives au paiement de la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) au « fisc », la direction générale des finances publiques (DGFiP).
 
Didier Chervin

Pour comprendre, il faut savoir que Mondial Biscuits avait commandé un four industriel à la filiale française d’une société allemande (d’où une déduction de 360 000 € de TVA), mais ce four n’étant finalement jamais livré, MB s’était tourné vers la maison-mère outre-Rhin pour commander à nouveau cet outil de production de 70 mètres de long. Qu’est devenue la première commande ? « Je soutiens qu’elle a été résiliée, comme en témoi-gne un accord de compensation ; la TVA déduite pour cette première commande aurait donc dû être reversée à la fin de l’année 2007 » , a indiqué le procureur de Colmar, Bernard Lebeau.

Ce n’était pas l’avis de Me Renaud Bettcher, l’avocat de la défense, qui a fait le parallèle avec l’achat  d’une voiture allemande : « Il est naturel de se tourner vers le concessionnaire du coin avant de contacter le siège allemand en cas de problème ! Qu’est-ce que cette histoire de résiliation de contrat ? Où est le mobile du crime ? » , ironise-t-il, puisque la fraude fiscale est en fait un délit.
 
 
617 000 € à verser au fisc
 
 
Le deuxième épisode fait suite à un violent incendie à l’usine Continental Biscuits (CB) de Buhl, en mai 2008. Pour permettre à ce véritable « moteur » du groupe de tourner, MB a alors revendu en septembre 2008 le fameux four – enfin livré – à sa « société-soeur » CB. « Mais la deuxième commande du four ayant été financée via un crédit-bail, MB n’était pas propriétaire mais locataire de cet outil, donc CB ne pouvait pas déduire à son tour les 360 000 € de TVA ! » , a pointé le procureur.
Et le représentant du parquet d’expliquer la troisième et dernière opération reprochée : « En octobre 2009, à quelques mois de sa liquidation judiciaire, pour ne pas qu’un créancier se serve, en particulier la société allemande qui avait fourni le four, la biscuiterie CB de Buhl a cédé des actifs à la holding familiale. Une vente fictive, du moins pour CB qui n’a pas déclaré la TVA collectée devant être reversée à l’État, alors que la holding a déduit quelque 600 000 € de TVA, une demande finalement rejetée par le fisc. » Un an de prison dont la moitié ferme ont été requis. « Mais de quoi accuse-t-on cet homme, d’autant que toute la TVA avait été déclarée lors de la vente à CB, selon le commissaire aux comptes ? Enfin, on nous laisse croire qu’il y avait un deuxième four fictif » , a plaidé Me Bettcher.

Dans son délibéré rendu hier, le tribunal correctionnel de Colmar a prononcé une relaxe pour les faits reprochés en 2008, c’est-à-dire pour les deux premières opérations. Mais pour soustraction frauduleuse du paiement de l’impôt fin 2009, lors de la cession d’actifs à la holding, la juridiction a fixé la peine à 10 000 € d’amende dont la moitié avec sursis. Par ailleurs, Didier Chervin et la société Continental Biscuits devront verser solidairement 617 000 € dûs au fisc.

( Source L'Alsace )

 
 

Prix de l’OMSC : Mission remplie

Samedi dernier, lors du Prix de l’OMSC, les (tout) jeunes cyclistes de la MJC Buhl se sont montrés à leur avantage, avec plusieurs victoires à leur actif.

 
Trois petits poussin (e) s buhlois au départ ! PHOTO DNA – GG
 
Cette épreuve, en fait un concours d’écoles de vélo, était réservée aux petites catégories, des prélicenciés aux minimes, soit les tranches d’âge de quatre à quatorze ans. Parmi les onze clubs représentés, la MJC Buhl, venue en force avec douze éléments, ce qui était normal vu qu’elle jouait à domicile, mais cela prouve aussi la vitalité de son école de cyclisme.

Après le passage chez les cadets des éléments qui, depuis près d’une décennie, avaient fait la force du groupe, on se posait légitimement la question de savoir si la relève serait à la hauteur. On peut être rassuré après la prestation plus que satisfaisante, l’autre samedi, des protégés de Thierry Fischer.
Premiers en lice, les poussins. Il n’était certes que deux, mais ça ne les a pas empêchés de jeter toute leur énergie dans la bataille. Le meilleur a été Loïc Resch, le fils de Jean-Marc, l’ancien président du club. Après avoir enlevé deux manches (course et sprint) sur trois, le bambin est premier aussi au général.

Trois heures plus tard, en clôture de la manifestation, Loïc Waldvogel a réalisé le score parfait dans la catégorie des minimes, gagnant successivement l’épreuve sur route, le sprint et le cyclo-cross. Le garçon est en forme, dès le lendemain, il confirmait à Erstein, enregistrant sa troisième victoire consécutive en une semaine (après son succès à Gueberschwihr le lundi de Pâques).
Pour leur part, Jonathan Santus est 2e chez les poussins (il est aussi 2e de ses trois manches) et Daniel Burger 3e chez les benjamins (avec une 2e place au cyclo-cross).

Deux anciens de la MJC Buhl se sont aussi mis en évidence et le club peut légitimement prétendre y être un peu pour quelque chose : Pierre Gautherat (Vélo Club Dôlois) qui a tout raflé chez les benjamins et Meiky Bickel (110 Illzach Cyclisme) monté sur la 3e marche du podium des minimes.

Les podiums



Pré-licenciés : 1) L.Resch (MJCB) ; 2) A.Brosed Otal (RT Val de Moder).
Poussins : 1) E.Brosed Otal (Val de Moder) ; 2) J.Santus (Buhl) ; 3) Claire Henrion (PE Haguenau).
Pupilles : 1) B.Rouxel (EC Stéphanois) ; 2) V.Schneider (UC Remiremont) ; 3) T.Deblock (Val de Moder).
Benjamins : 1) P.Gautherat (VC Dôlois) ; 2) T.Walliang (Illzach) ; 3) D.Burger (MJCB).
Minimes : 1) L.Waldvogel (MJCB) ; 2) N.Deschatres (UC Vendenheim) ; 3) M.Bickel (Illzach)


( Source DNA )
 

15 avril 2015

« La Perse » avec Connaissance du Monde

La dernière conférence Connaissance du Monde de la saison 2014-2015, programmée par la MJC de Buhl, aura lieu lundi 20 avril, à 20 h 30, au Cercle.

La Perse est à l’affiche de la dernière conférence à Buhl. DR


 À cette occasion, le film La Perse – au cœur de l’Iran sera projeté et présenté par son réalisateur, Robert-Emile Canat. Les récits enflammés des voyageurs de l’Antiquité excitent la curiosité… 9 000 ans de civilisation, une histoire fastueuse, une culture des plus raffinées ont patiemment façonné ce pays si mal connu, si étrange et fascinant qu’est l’Iran.

De villes impériales en caravansérails, des avenues encombrées de Téhéran aux déserts de sable et de sel, des montagnes du Kurdistan à la place royale d’Ispahan, de Bam à Persépolis, Robert-Emile Canat nous emmène à la découverte de sites légendaires, de lieux mythiques, à la rencontre de nomades, d’étudiants, d’artistes, de paysans, de chameliers ou d’artisans de ce peuple dont l’identité et le sens de l’accueil sont exceptionnels. Il nous révèle ainsi tout ce qui fait l’originalité de l’âme perse et nous propose un témoignage passionnant sur les réalités de l’Iran d’aujourd’hui.

Tarifs : adultes 7,50 €, étudiants 6,50 €, scolaires de 12 à 18 ans 4 €, gratuit pour les jeunes de moins de 12 ans accompagnés de leurs parents


( Source L'Alsace )

Concours de pêche

L’amicale des pêcheurs de Buhl organise, dimanche 3 mai, un concours de pêche à la truite (prises illimitées), à l’étang de Buhl avec une mise à l’eau exceptionnelle de grosses truites.

 
 

Le tirage au sort des places se fera à 7 h 30 : 1er tour de 8 h à 8 h 30 ; 2e tour de 9 h 15 à 10 h ; 3e tour de 10 h 45 à 11 h 45.

Des bons d’achats de 20, 30 et 50 € pour les trois plus grosses truites récompenseront les pêcheurs à chaque tour. La pêche est libre avec tirage au sort des places de 14 h 30 à 16 h 30. Le palmarès et la remise des prix sont à 17 h.

Un repas sur réservation est proposé : collet fumé, frites, salade, dessert, café au prix de 10 €. Une buvette et de la petite restauration est proposée toute la journée. Tarifs : 15 € le matin, 10 € l’après-midi ou 20 € journée (sur réservation).

Inscription et règlement au 03.89.76.84.05 ou à L’Amazone, 2 rue des Fondeurs à Guebwiller. Tél. 03.89.74.29.67.


( Source L'Alsace )

13 avril 2015

Journée conférence au Rimlishof

"Handicap et Spiritualité Chrétienne" ont été les thèmes de ce rassemblement suivi par une cinquantaine de personnes.

 
Une prestation de Cyclodanse par l'association "Une chance pour tous",
 Photo Bernard Erhard
 

Spiritualité et cyclodanse au Rimlishof



Samedi, une cinquantaine de personnes a participé à la journée conférence au Rimlishof à Buhl, journée placée sur le thème « Handicap et spiritualité chrétienne ». De nombreuses questions ont été abordées à travers une conférence plénière, des témoignages vécus, des ateliers et une table ronde avec pour interrogations : quel est le regard de Dieu sur le handicap ? Sommes-nous tous logés à la même enseigne, handicapés et valides ? Dans quelle mesure peut-on accueillir le handicap dans nos familles, à l’église, dans notre entourage ?

La journée s’est achevée avec un événementiel intitulé « surprise » : une prestation de cyclodanse par l’association Une chance pour tous, qui rassemble des anciens patients en fauteuil roulant du centre de réadaptation fonctionnelle (CRF) Bretegnier d’Héricourt, en Franche-Comté. Sandrine Frosio, la présidente, est fière de proposer cette prestation dans le cadre de cette journée conférence. « C’est notre 3e spectacle en public, le 28 mars dernier nous avons évolué devant près de 500 personnes à Bettencourt. » Et de commenter, à propos de l’association : « Une chance pour tous, affiliée à la Fédération française handisport, permet d’accéder à la pratique de différents sports adaptés, dont la cyclodanse, danse en fauteuil roulant.

Quel que soit le degré de difficulté vécu, danser la valse, le rock, la salsa devient parfaitement possible grâce à une série de passes ou figures combinables à loisir. Elle donne du sens à l’existence et permet à la personne en situation de handicap de sortir de chez elle et ainsi de rompre avec l’isolement. » Patrice, Marie-Eve, Marie Thérèse, Sylvie, Katia et Sandrine ont évolué mais surtout ont communiqué la bonne ambiance, la joie de vivre !


( Source L'Alsace )

11 avril 2015

Cyclisme: le Prix de l'OMSC

Les jeunes en vedette

Ce samedi 11 avril, l’après-midi, la rue de la Fabrique connaîtra l’effervescence générée par le traditionnel concours des écoles de vélo organisé par la MJC Buhl et doté du prix de l’OMSC.

 
Le cyclo-cross, une discipline spectaculaire PHOTO DNA/GG
 
L’an dernier, l’épreuve avait servi de support au Trophée Régional du Jeune Cycliste (TRJC), l’appellation officielle du championnat d’Alsace des Ecoles de vélo ! On en reviendra aujourd’hui à la forme classique du genre, dédiée aux cyclistes les plus jeunes répartis en cinq catégories d’âges, des pré-licenciés (4-6 ans) aux minimes (13-14), avec les échelons intermédiaires des poussins (7-8), des pupilles ((9-10) et des benjamins (11-12). Le club organisateur va vivre un nouvel épisode de l’histoire de son école de sport. Les poussins d’il y a 7/8 ans ont franchi, année après année, les différents niveaux du cursus du jeune cycliste. Depuis le début de la présente saison, ils sont cadets et, à ce titre, ne font plus partie de l’école de vélo du club. Ils sont maintenant de « vrais coureurs », selon la formule de leur entraîneur Thierry Fischer. Les jeunes de la génération suivante ont atteint la catégorie des minimes et font maintenant figure de grands, avec les responsabilités que cela sous-entend. Ils vont succéder à un groupe particulièrement brillant. Ils ont les moyens de bien faire, à l’image de Loïc Waldvogel, vainqueur lundi dernier à Gueberschwihr.

Les épreuves proposées seront, pour certaines, communes à toutes les catégories, avec bien sûr des distances appropriées. C’est le cas de la course sur route, où l’on fera un (prélicenciés à 14h), quatre (poussins à 14h10), sept (pupilles à 14h20), dix (benjamins à 14h40) ou vingt (minimes à 15h) tours du circuit proposé de un kilomètre, par les rues de la Fabrique, Edmond Rogelet, des Armagnacs et Burgmatten, et des sprints dans la zone artisanale de la rue de la Fabrique.

Par la suite, pendant que les plus jeunes (pré-licenciés et poussins) participeront à des jeux d’adresse à bicyclette sur le parking de la SAHLM, leurs aînés (pupilles, benjamins et minimes) s’affronteront dans une épreuve de cyclo-cross sur le pré en face de la cité Rogelet.

La victoire finale par équipe sera déterminée par l’addition des points obtenus dans les différentes manches par les concurrents de chaque club. Et à ce petit jeu-là, la MJC Buhl n’a jamais été maladroite !

( Source DNA

7 avril 2015

La résurrection de l’orgue

Après plus de six mois de travaux, le relevage de l’orgue Koulen de l’église Saint-Jean-Baptiste, à Buhl, est presque terminé. L’instrument sonnera cet automne après son inauguration en octobre.

 
Lors d’une récente visite de chantier, Christian Lutz a fait le point avec le facteur, Hubert Brayé, le maire, Fernand Doll, les représentants de la municipalité, du conseil de fabrique, le Père Moglo, l’organiste… Photo L’Alsace/J.-M.Sch.
 
 
Ce dimanche de Pâques, les paroissiens de Buhl n’ont pas encore pu assister à une messe avec leur orgue dont la résurrection est cependant en cours. Mais ce n’est qu’à l’automne prochain que l’instrument, construit en 1892 par Heinrich Koulen, fera sonner ses 1479 tuyaux, après avoir été muet pendant douze années.

Classé monument historique par les Bâtiments de France, en 2012, cet orgue, considéré comme le chef-d’œuvre d’Heinrich Koulen, est un témoin presque unique de la facture romantique allemande telle qu’elle était pratiquée en Alsace entre 1870 et 1914. Même s’il est, actuellement, un illustre inconnu pour le grand public, Heinrich Koulen a profondément marqué l’évolution de l’instrument, notamment par le remplacement de la traction mécanique par une traction pneumatique. « Dans cette traction pneumatique, explique Christian Lutz, qui a supervisé les travaux de relevage en qualité d’expert organologue auprès des Monuments historiques, la liaison entre le clavier de l’organiste et le tuyau qui produit le son ne se fait plus par un système mécanique mais par de l’air sous pression dans des tubes de métal. Il est désormais possible d’orienter la console vers l’autel » .

Un buffet somptueux  Photo Jean-Marie SCHREIBER


La traction pneumatique en était alors à ses débuts et manquait de fiabilité. Mais malgré ses défauts de jeunesse, l’orgue de Buhl présente, toujours selon Christian Lutz, « une palette sonore très originale, avec des nuances de timbres très subtiles. En ce sens, cet instrument présente un grand intérêt musical et patrimonial, qui justifie pleinement sa restauration ». Et puis, la boiserie de son buffet est somptueuse.

Un pionnier



Heinrich Koulen est né en 1769 à Waldfeucht, près d’Aix-la-Chapelle, où son père, Wilhelm Koulen, était facteur d’orgue. Heinrich s’est perfectionné chez Joseph Merklin à Paris et chez d’autres facteurs allemands. Il s’est installé à Strasbourg après l’annexion de 1871. Les systèmes de transmission étaient une préoccupation majeure des facteurs de l’époque : mécanique, pneumatique, électrique… Heinrich Koulen a mis au point un nouveau système de sommiers à membranes qu’il utilisa avec une traction pneumatique tubulaire, dans le premier exemple construit en Alsace, en 1884 à Zinswiller.

En 1888, Heinrich Koulen a construit le premier orgue d’Alsace à traction électrique, pour l’église Saint-Aloyse de Neudorf. Ces systèmes innovants manquaient cependant de fiabilité. Du fait de sa notoriété, Heinrich Koulen a été chargé de la restauration du grand orgue Silbermann de la cathédrale de Strasbourg. Mais ce fut un échec. On peut même considérer qu’il a un peu dénaturé l’instrument. Après cet échec, il a quitté Strasbourg pour s’établir en Allemagne, d’abord à Oppenau, puis à Augsbourg où il est mort en 1919.


( Source  l'Alsace )

5 avril 2015

Carton plein pour la vente de truites

Photo L’Alsace/Bernard Erhard


La vente des truites par l’amicale des pêcheurs de Buhl, Vendredi saint, a connu le succès habituel.
Les Buhlois mais également de nombreux Florivaliens n’ont pas manqué ce rendez-vous traditionnel sous le porche de la mairie.

Les colis préparés d’avance ont quelque peu allégé le travail des pêcheurs. Ces derniers en sont déjà à la préparation de la soirée carpes frites du 25 avril.

(Source l'Alsace)

La grande lessive

 
 
Dans le cadre de la Journée nationale de « la grande lessive », le 26 mars, les enfants des écoles et de l’accueil périscolaire de Buhl ont participé, pour la deuxième année consécutive, à un accrochage éphémère d’œuvres. 

Le but de cette manifestation est de promouvoir la pratique artistique et de développer le lien social. Et il y en a eu ce jeudi matin-là ! Parents, enseignants, animatrices, grands-parents et enfants sont venus avec leurs pinces à linge pour accrocher leur production sur les fils tendus par l’équipe. 
 
Certains ont accroché fièrement un dessin de bonhomme à la craie grasse, un papillon multicolore, un train ou des fleurs de printemps en peinture, une esquisse au crayon de lessive qui sèche, une réalisation magnifique de maisons colorées… 
 
Sur la place de l’école et malgré une météo maussade, un air de fête soufflait sur les réalisations des petits et des grands enfants que chacun a pu admirer jusqu’au soir.
 
(Source l'Alsace)

3 avril 2015

Rencontre avec Erik L’Homme

l’écrivain Erik L’Homme est venu, vendredi dernier, à la rencontre des élèves de 5 e 1 du collège du Hugstein à Buhl.Photo L’Alsace/Bernard Erhard


Dans le cadre du festival du livre et de la jeunesse de la maison des jeunes de Wittenheim (Festival RAMDAM), l’écrivain Erik L’Homme est venu, vendredi dernier, à la rencontre des élèves de 5e 1 du collège du Hugstein à Buhl. Les collégiens avaient consciencieusement préparé cette rencontre en étudiant son premier roman intitulé « Le livre des Étoiles ».

 Pour les élèves qui ont adoré ce livre, ce fut l’occasion d’un bel échange avec l’auteur. Bien qu’intimidés, les élèves ont été très motivés avec, au chœur du dialogue, un questionnaire sur son livre, mais également son métier, ses sources d’inspirations. Erik L’Homme s’est également soumis à la séance de dédicaces. Cette rencontre est une initiative de la documentaliste Thérèse Engel et d’Anne Bollia, professeur de français de la classe de 5e 1.

( Source L'Alsace )