Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

30 novembre 2012

La Cigale du Florival chante Noël pour soutenir le Téléthon

Grâce à l’impulsion de la MJC de Buhl et de toute l’équipe associative, la Cigale donnera un concert de Noël dimanche 9 décembre pour le plus grand plaisir des auditeurs, mais aussi, avec la volonté renouvelée de participer au Téléthon.

La Cigale du Florival propose un voyage autour du monde, dimanche 9 décembre, à Buhl. Photo DR
 
 
Le 3 e concert de la tournée 2012-2013 des Cigales du Florival sera donné dimanche 9 décembre, à 17 h, l’église Saint-Jean-Baptiste à Buhl. Il promet l’engouement des amateurs de belle musique avec un nouveau programme composé de très jolis chants sélectionnés dans un répertoire à l’échelle mondiale qui traduisent, chacun à sa manière, l’esprit et la joie de Noël. Des œuvres d’origine et de style variés se côtoient subtilement, se succèdent selon un crescendo lumineux et joyeux, aux teintes omniprésentes de douceur et de paix (des œuvres classiques : Pergolèse, Rossini…, des œuvres qui se font l’écho de pays lointains et certaines sont des souvenirs de voyage de La Cigale : Amérique Roumanie, Afrique du Sud, Ghana avec djembé… quelques chants traditionnels de notre région…)

Émotion et frissons



Conduits par Claude Jeannin, les jeunes choristes forment un ensemble homogène avec un timbre pur et céleste, ponctué par les interventions de jeunes solistes fabuleuses aux voix cristallines très travaillées. Récemment, à l’occasion du Printemps musical des chœurs de l’ASCA (Associations chorales d’Alsace), la qualité vocale de la Cigale a été soulignée et qualifiée de « niveau maîtrise ». Émotion et frissons devraient être au rendez-vous.
Les interprétations sont en langue originale, certaines accompagnées au piano par Hervé Crenner, batterie par Simon Lopez

SE RENSEIGNER Au 06.20.83.29.56 ou sur deriveph@wanadoo.fr
 

11 e corrida du Téléthon

 
La 11 e corrida du Téléthon, organisée par la MJC de Buhl dans le cadre de sa manifestation « Le Téléthon du Florival », aura lieu dimanche 9 décembre. Cette course de 10 km se déroulera sur une boucle de 1,9 km dans les rues du village à parcourir cinq fois complétée par un avenant entre le départ donné devant l’usine Continental Biscuits rue de la Fabrique (pour les adultes) et l’arrivée jugée devant la MJC rue du 5-Février.

Au programme figurent une course de minimes (jeunes nés en 1997 et 1998) d’une distance de 3,8 km (deux boucles) à 9 h 30, une course de poussins – benjamins (jeunes nés entre 1999 et 2002) d’une distance de 1,9 km (une boucle) à 9 h 31 et de la course des as de 10 km à 10 h. La succession de Cédric Oesterle, le quintuple vainqueur de l’épreuve, dont l’édition 2011 en 33’18’’. est bien ouverte.

Les inscriptions sont à faire parvenir par courrier jusqu’au 6 décembre à Maurice Emmenecker 3 rue Edmond-Rogelet à 68530 Buhl, tél. 03.89.76.89.41 ou 06.33.36.85.82, accompagnées des frais d’engagement : 5 € à l’ordre de la MJC de Buhl (1 € pour la corrida des jeunes). Il sera également possible de s’inscrire sur place à la MJC de Buhl 4, rue du 5-Février à partir de 8 h moyennant 7 €. Les droits de participation seront versés intégralement au Téléthon. Les licenciés FFA joindront la photocopie de leur licence et les non-licenciés un certificat médical datant de moins de un an.

Tous les participants restant à la remise des prix à 12 h au Cercle seront récompensés. Les meilleurs de chaque catégorie se verront remettre coupes et lots. Des lots seront également tirés au sort entre tous les participants, dont deux montres de valeur offertes par la bijouterie Dotter de Guebwiller.
SE RENSEIGNER Sur http://perso.wanadoo.fr/mjc.buhl/rubrique Téléthon.
  
 
( Source L'Alsace )
 
 
 

29 novembre 2012

Marché de Noël : La magie opère

Osenbach, Gueberschwihr (couvent Saint-Marc), Issenheim, Munwiller et Buhl, de nombreuses communes ont inauguré ce week-end les premiers marchés de Noël. Celui de Buhl a rassemblé 48 exposants.

 
 
Comme chaque année les jeunes du conseil communal de Buhl ont organisé un grand marché. PHOTO DNA

LE CONSEIL communal de la jeunesse de Buhl a ouvert ce week-end pour la 12e année consécutive la ronde magique des marchés de Noël dans les Pays du Florival. Comme de tradition, les jeunes de Buhl ont dépensé une formidable énergie pour concrétiser cette manifestation hivernale qui a investi cette année la place de l’école. « Tout est parfaitement planifié pour créer l’ambiance magique si particulière et propre aux fêtes de fin d’année », a noté l’adjoint à la jeunesse Christian Chéray qui a profité de l’occasion pour remercier Cindy Mériot, Guy Schuller et Jean-Pierre Clay, responsables du CCJ pour leur investissement.

 Dans un florilège de couleurs, d’odeurs et de lumières, les 48 exposants, essentiellement des commerçants et des artisans locaux, ont proposé aux visiteurs une multitude de décorations de table, de santons et de friandises traditionnelles.

 Les animateurs du périscolaire et les élèves des classes maternelles et élémentaires de Buhl ont apporté leur touche créatrice à travers des réalisations diverses et la décoration des sapins qui ont été dressés sur la place de leur école et sur le porche majestueux. La commune a quant à elle participé à la mise en place des illuminations avec l’annonce en aquarelle du marché de Buhl.

Un stand de bourse aux jouets a également été tenu par les jeunes au profit des Restos du cœur de Soultz.
( Source DNA par CG  )

Echos de la MJC Cyclisme : Un nouveau président

A Buhl, le week-end dernier a été dédié au cyclisme, avec l’AG de la MJC et l’élection d’un nouveau président le vendredi soir, et le cyclo-cross du Téléthon, le dimanche après-midi. Un heureux mélange de sport, de convivialité et de solidarité.

 
 
 Jean-Marc Resch (à d), le sortant, et Christophe Peter, son successeur. PHOTO DNA
 
 
L’ASSEMBLÉE générale de la section cyclisme de la MJCB a connu son moment fort, lors de l’élection du comité directeur et de son président. Ce n’était un secret pour personne, Jean-Marc Resch aux commandes du club depuis une dizaine d’années, avait manifesté, depuis quelque temps déjà, son souhait de passer la main.

Christophe Peter nouveau président



Faute d’un véritable "repreneur", les cyclistes se sont tournés vers le… président général de la MJC, déjà président de l’ensemble des autres sections, qui a accepté de se lancer dans l’aventure cycliste.
Christophe Peter a bien précisé les choses : il ne fait pas partie de la grande famille du vélo et est avant tout un gestionnaire. « Je vais m’appuyer, pour tout ce qui est spécifiquement cyclisme, sur l’équipe en place, a-t-il expliqué. Mes objectifs sont la poursuite du développement de l’école de vélo et l’organisation des épreuves habituelles. J’espère aussi amener des jeunes à prendre des responsabilités au sein du comité pour renouveler celui-ci. »

Le nouveau président pourra compter sur Thierry Fischer, le vice-président, Maurice Emmenecker le trésorier, Joëlle Brunori la secrétaire et Jean-Marc Resch, l’ancien président, qui reste au comité en tant qu’assesseur de même que Jean-Christophe Erny.

Pour le reste, le cyclisme buhlois continue à bien se porter, les effectifs se montaient en 2012 à 30 membres dont 17 coureurs, avec un maximum de "petits" (11 au total) ce qui confirme le bon niveau de l’école de vélo. La valeur n’attendant pas le nombre des années, tous ces jeunes ont collectionné les places d’honneur lors des différents concours.

Les manifestations de 2012 – le stage des cadets haut-rhinois, le concours des écoles de vélo, le 18e Tour du Piémont haut-rhinois avec la participation d’une équipe du Florival, le GP de Lautenbach-Zell et la course VTT de St-Gangolphe – seront reconduites l’année prochaine.
Si le bilan financier fait état d’un passif de 1 294 €, le problème a été réglé par une reprise sur provision du même montant.


Les dimanches se suivent et se ressemblent pour Pierre Gautherat, le poussin de la MJCB    PHOTO DNA


Tous pour le Téléthon



Changement de décor et d’atmosphère, deux jours plus tard, avec le cyclo-cross du Téléthon. Comme d’habitude, tout le monde a fait un geste en faveur de l’action caritative, les coureurs abandonnant leurs prix et les commissaires renonçant à leurs indemnités de déplacement.
Côté course, le spectacle fut une fois de plus dans le grand pré près du cimetière. 110 coureurs de toutes les catégories, ont participé aux différentes épreuves.

Parmi eux, la nouvelle recrue de la MJC, Pierre Gautherat, l’a emporté chez les poussins, comme huit jours plus tôt lors des championnats d’Alsace des écoles de vélo à Wittenheim, son "collègue" Loïc Walvogel est 3e chez les benjamins.


 
              ( Source   DNA  par  G.G )

26 novembre 2012

Gâteau à la broche au marché de Noël



Photo Bernard Erhard


Le 12 e marché de Noël proposé par le conseil communal de la jeunesse à Buhl et mis en place par les services techniques de la ville a ouvert, ce week-end, les festivités de fin d’année dans le Haut- Florival. Une cinquantaine d’exposants, d’artisans, de commerçants et d’associations caritatives ont répondu présent, proposant un vaste choix d’idées de cadeaux et des gourmandises pour petits et grands.

 Parmi celles-ci, le gâteau à la broche. Présente à toutes les fêtes du Sud-Ouest, cette spécialité a séduit les visiteurs du marché buhlois, d’autant plus que le gâteau ressemblait à s’y méprendre à un sapin enneigé.

Pour cette 12 e édition et 2 e année consécutive dans l’écrin de la place du Marché, l’ouverture officielle a été donnée par le Gruäss u’sm Bluamathal en présence de nombreux élus de la vallée. Dans l’après-midi la Gugga musik et des contes de Noël ont animé cette manifestation, avant l’arrivée de saint Nicolas distribuant chocolat chaud et manalas.



( Source L'Alsace )

23 novembre 2012

Cécile et Quentin

Le jeune couple est installé à Cernay.Photo DR


Quentin Brunotte, directeur général des services à la commune de Buhl, a uni sa destinée à celle de Cécile Urion, directrice générale des services de la communauté de communes de Saint-Amarin.

Le mariage civil a été célébré à la mairie de Nancy, leur ville d’origine, le 20 octobre et la bénédiction nuptiale a été donnée à l’église du Sacré-Cœur. La mariée est la fille d’Anne-Marie et de Pascal Urion, le marié, qui a pris ses fonctions à la commune de Buhl le 1 er février 2011 en remplacement d’Henri Rapp, est le fils de Michèle et François Brunotte.

L’Alsace présente ses félicitations et souhaite beaucoup de bonheur au jeune couple qui réside à Cernay

( Source L'Alsace )

Collège du Hugstein : Diplômes en poche

Une cérémonie très familiale s’est tenue vendredi soir au Collège du Hugstein de Buhl en l’honneur des élèves qui ont obtenu le diplôme national du Brevet à la fin de l’année scolaire 2011-2012

 
Les ex-collégiens brandissent fièrement leurs diplômes. Photo DNA
 

LES EX-COLLÉGIENS sont revenus très détendus dans leur ancien collège pour recevoir le précieux document d’une manière officielle des mains du principal Frédéric Brugger assisté de son adjointe Nadine Baumlin.
 
  C’est la 3ème fois que le collège a organisé une telle cérémonie de remise d’un diplôme qui constitue pour les élèves le premier examen de leur scolarité, premier pas vers le diplôme suivant du baccalauréat. L’occasion pour les jeunes qui depuis la rentrée voguent déjà vers d’autres horizons de se retrouver, de se revoir et de saluer leurs enseignants.
 
 Dans son allocution, le principal a tenu à souligner que l’ensemble de l’équipe éducative du collège était très fière des 93,39 % de réussite au brevet. « Vous êtes 99 à avoir été reçus sur 106 candidats, ce qui représente un taux de réussite plus qu’honorable pour le collège du Hugstein, largement supérieur à la moyenne académique de 86,30 %.
 
 Au total 71 élèves ont obtenu une mention. Parmi elles 5 mentions très-bien, 29 mentions bien et 37 mentions assez-bien ont été attribuées ». Le foyer socio-éducatif représenté par son président Christian Riethmuller et son trésorier Bernard Fuessinger a souhaité s’associer à cette cérémonie sans oublier de récompenser les élèves les plus méritants par notamment la remise d’un chèque cadeau d’un montant de 20 euros et deux places de cinéma pour les mentions TB et de 10 euros pour les mentions bien, à valoir dans une librairie de Guebwiller.
 
L’organisation d’une telle cérémonie représente pour le collège une manière de garder un lien presque familial avec ses anciens élèves qui pour certains font déjà part de leur expérience de jeune lycéen aux élèves de 3ème actuels. En fin de soirée la discussion a été poursuivie autour d’un petit verre de la réussite amicalement concocté par les personnels de cuisine du collège.
 
 
 ( Source DNA par G.G )

 

22 novembre 2012

Conseil Communal de la Jeunesse : Un 12e marché de Noël




C’est pour la 12e année consécutive que le Conseil Communal de la Jeunesse de Buhl organise le marché de Noël qui se tiendra, cette année, les samedi 24 et dimanche 25 novembre, de 11 h à 19 h, sur la Place du Marché. « Tout est planifié pour créer l’ambiance magique, particulière et propre aux fêtes de fin d’année et, dès la fin du mois, le centre du village s’animera de couleurs, odeurs et lumières » note l’adjoint à la Jeunesse, Christian Chéray.

Plus de 45 exposants, commerçants et artisans locaux, buhlois et de la vallée du Florival voire de l’Alsace entière, vont proposent leurs travaux de Noël, de décorations de table, de santons, de pâtisserie et friandises traditionnelles, de cadeaux, de peinture sur tout support, de travaux des ateliers de bricolage des animateurs du périscolaire te des écoles maternelles. La décoration des sapins de la place est assurée par les classes des écoles maternelles et primaires de Buhl.

La commune participe à la mise en place des illuminations de l’entrée du porche avec l’annonce en peinture aquarelle du village de Buhl. Un stand bourse aux jouets tenu par les jeunes au profit des Restos du Cœur sera également sur place.

 Les familles pourront déposer leurs anciens jouets. Ces jouets seront revendus aux familles intéressées au prix unique de 2 €. La somme ainsi collectée, avec le surplus de jouets, sera directement donnée aux Restos du Cœur de Soultz. Sur place également, une petite restauration, le traditionnel vin chaud, soupe, boissons, crêpes, bredalas…

L’ouverture officielle aura lieu le samedi, avec un concert d’ouverture donné par l’orchestre Grauss Uss’m Bluamenthal à 13 h 30 et la gugga musik de Buhl accompagnera l’arrivée du Père Noël.

Durant les deux jours, les enfants pourront écouter des contes de Noël à partir de 14 h et le Saint-Nicolas passera à 17 h 30.

( Source DNA  )

Cyclo-cross 14 e Grand prix de Buhl

Original à plus d’un titre


Maxime Marotte avait gagné la dernière édition. Photo DNA - Julien-Thomas Will

 

Par sa dénomination même, le cyclo-cross du Téléthon de Buhl se singularise. Marc Singer y a joué les pionniers

Un peu frustrés de n’organiser jusque-là que des promenades à vélo à l’occasion du Téléthon, les dirigeants de la MJC Buhl ont voulu quelque chose de plus consistant.

Nous sommes en 1999. Thierry Fischer peut réaliser un rêve qu’il caresse depuis longtemps. « Quand j’étais coureur, expliquait-il à l’époque, j’appréciais les cyclo-cross et je souhaitais qu’un jour mon club en organise un. »

C’est chose faite le samedi 4 décembre 1999. Le circuit a été tracé avec la complicité de Roland Knecht, le technicien, et d’Eric Boos, le coureur.

Un pro pour donner le départ



Tout de suite l’épreuve, agréée par le comité d’Alsace de la FFC, est intégrée au programme des manifestations organisées dans le cadre du Téléthon.

Et pour donner plus d’importance à la course, les organisateurs s’assurent le concours de Christophe Moreau, le pro belfortain de Festina, qui accepte d’autant plus facilement de donner le départ du cyclo-cross de Buhl, que quelques heures plus tôt il participe à une séance d’autographes chez le dépositaire guebwillerois de Festina.

Marc Singer inaugure le palmarès de la nouvelle épreuve et il n’a pas oublié. « Ce jour-là, nous avons évolué dans un véritable marécage, on a frôlé l’inondation », s’amuse-t-il treize ans plus tard.
« Au début, le cyclo-cross de Buhl était placé le samedi et il constituait une préparation idéale pour un autre cross le dimanche. »

D’ailleurs en 1999, Marc s’est aussi imposé à Kappelen (épreuve FFC à l’époque), le lendemain de son succès de Buhl. Il devait renouveler pareil exploit en 2010, année de sa 2 e victoire à Buhl.
S’il n’a pas gardé de souvenir particulier de son succès dans le Florival, Marc Singer insiste sur certains points.

« J’ai toujours apprécié le circuit, avec cette forte montée à pied après le pré, avant de remonter vers la ligne d’arrivée.

Autre originalité de Buhl, les coureurs donnent de l’argent, au lieu d’en réclamer aux organisateurs, puisqu’ils abandonnent leurs prix et primes au bénéfice du Téléthon et c’est bien ainsi. »
Aujourd’hui, le cyclo-cross de Buhl est censé être l’ultime répétition avant les championnats d’Alsace du dimanche suivant. Mais à condition que les coureurs jouent le jeu.

Or, depuis deux ou trois ans, les favoris de la course au titre semblent s’éviter jusqu’au bout. C’est le cas actuellement de Laurent Spiesser, pourtant recordman des victoires à Buhl (4), et de Damien Mougel vainqueur à deux reprises.

L’an dernier, le vététiste Maxime Marotte avait joué mieux que les doublures.

Dimanche, pour la 14 e édition, deux coureurs auront l’occasion de faire grimper leur compteur : Cyrille Fretz (VC Soultz) premier en 2000 et 2002, et Mickaël Jacquot (VC Wittenheim) lauréat en 2008.

Départ des épreuves à 13h (minimes et jeunes), 14h (juniors, masters, féminines, cadets), 15h (catégories 1, 2 et 3 ; pass’cyclisme D1, 2, 3 et 4 ; espoirs).

 
( Source DNA par G.G )

La salle de gymnastique caisse de résonance américaine

La soirée de gala de l’Harmonie de Buhl, samedi, a été une des plus performantes de ces dernières années.

 
Très belle prestation de l'Harmonie de Buhl dans sa version américaine.
 Photo Bernard Erhard
 
 
Le drapeau américain a flotté, samedi soir, dans la salle de gymnastique de Buhl à l’occasion de la soirée de gala de l’Harmonie locale. Une assistance nombreuse parmi laquelle le député Jean-Louis Christ et le conseiller général Alain Grappe, à la table du maire Fernand Doll, une première , a assisté à une autre première : la présentation d’un répertoire made in USA.

La soirée de gala est lancée sous les meilleures auspices. La marche du colonel Bogey du film Le pont de la rivière Kwai a donné, dès les premiers accords l’ambiance d’outre-Atlantique, une entrée suivie de medley d’airs populaires américains, un mélange de musique à l’image de la mixité des peuples des États-Unis. Une valse lente, Amazing Grace, en version harmonie, Hello Dolly, musique de film réalisée par Gene Kelly, le fameux Moonlight serenade, de Glenn Miller, la marche du Jour le plus long et quelques notes extraites des films de James Bond ont diverti le public avant la montée sur scène de la fanfare des sapeurs-pompiers pour interpréter de concert Georgia, l’hymne des troupes sudistes du général Lee lors de la guerre de Sécession, Le Caïd et, pour finir en beauté la première partie La fille du régiment, sous la direction conjointe d’Yves Coquelle et de Lionel Flory.

D’outre-Atlantique, le public est passé outre-Rhin, le temps d’un entracte et a retrouvé Ernst Moosch et ses grands succès avec le Grüas U’sm Bluamatal et son chanteur Jean-Paul, un programme des plus divertissants auquel le public n’a pas manqué de participer.


Les deux André : des musiciens octogénaires

 
Yves Coquelle, André Decker, André Roeder (de gauche à droite) avec leur compagne respective Lili et Jacqueline.  Photos Bernard Erhard Yves Coquelle, André Decker, André Roeder (de gauche à droite) avec leur compagne respective Lili et Jacqueline.
  Photo Bernard Erhard

 
Après le gala, les musiciens se sont retrouvés certes pour décompresser d’une semaine d’intenses répétitions, mais surtout, pour fêter les 80 printemps d’André Decker et d’André Roeder, que le président Yves Coquelle n’a pas manqué de mettre à l’honneur.

André Decker est né le 22 novembre 1932 à Mulhouse. À l’âge de 16 ans, il apprend le saxophone et intègre la société de musique Avenir. Il a joué et défilé avec la musique du 27 e régiment des chasseurs alpins d’Annecy pendant son service militaire. Il a animé bals, kilbes de toute la région avec l’orchestre Mérinos et a rejoint André Roeder pour animer les repas et thés dansants. Il a rejoint la musique Harmonie de Buhl en 1994 et joue du saxo ténor en valternance avec l’alto. Il était aux MDPA comme mineur de fond jusqu’à sa retraite.

André Roeder, dit Bouvi, est né à Buhl le 3 décembre 1932. Il a travaillé à la Nosoco avant de rejoindre les MDPA comme signaleur, jusqu’à sa retraite. Il a commencé la batterie à l’âge de 16 ans puis intégré plusieurs orchestres de la région : Gérum, Dorémi et d’autres, puis a animé les dîners dansants des retraités à Lautenbach durant 10 ans. Il a rejoint la musique de Buhl en 2000 occupant le poste de percussionniste. Il est également le président de la classe 1932 de Buhl.

L’Alsace adresse ses félicitations aux deux André.


         ( Source L'Alsace par Bernard Erhard )
 

15 novembre 2012

Clementz, vététiste grandeur nature

Molshémien d’origine, Buhlois d’adoption, l’Alsacien Jérôme Clementz parcourt la planète à VTT. Une voie qu’il a lui-même tracée parmi les pionniers du monde spécialisé de l’Enduro, avec un esprit très nature. Et surtout en professionnel depuis 2008. Atypique !

 
Jérôme Clementz aime s’adapter à tous les terrains de la planète comme ici sur la terre volcanique d’Islande ou dans les étendues sauvages de Nouvelle-Zélande (ci-dessus). Photos Jérémie Reuiller
 
 
Qu’un vététiste veuille sortir des sentiers battus du cross-country, discipline olympique, ou de la descente, quoi de plus normal. Mais de là à réussir à en faire son métier, il y a de nombreux tours de roue à accomplir. Eh bien, Jérôme Clementz a transformé sa philosophie de vie en métier en 2005. À 28 ans aujourd’hui, l’Alsacien œuvre non seulement pour Cannondale, fabriquant de cycles, mais également pour SRAM (groupes et transmissions) et Mavic (roues). Et le bureau du Bas-Rhinois d’origine, aujourd’hui établi à Buhl dans le Haut-Rhin, c’est tout simplement… la planète.

Ce statut privilégié, Jérôme Clementz ne le doit qu’à lui-même, à sa volonté d’élargir ses horizons vers une discipline non officielle, l’Enduro (lire ci-dessous), à une époque où c’était marginal. « Je n’étais pas le tout premier mais un des premiers à m’investir dans l’Enduro pour figurer aujourd’hui dans les cinq meilleurs mondiaux. J’ai fait ce qui me plaisait, plutôt que de rester dans un cadre défini. J’ai emprunté d’autres chemins qui, eux, me faisaient rêver ».

La nature a toujours attiré le Molshémien, mais le VTT n’était pas sa discipline de prédilection lors de ses débuts sportifs à l’âge de 11 ans. « Il y avait deux sections au Molsheim Fun Bike, où je suis toujours licencié : une de ski nordique et l’autre de vélo. Pendant six ans, j’ai fait les deux avant de choisir en juniors ». Le choix fut cornélien pour Jérôme Clementz, quatrième du championnat de France cadet de biathlon. S’il a opté pour le VTT, descente et cross-country, c’est parce qu’il avait accroché deux fois le Trophée régional du jeune vététiste avec le comité régional.

Sa spécialisation l’a amené à faire partie de l’équipe de France pour pointer au dixième rang des championnats du monde de descente juniors en 2002. Un statut qui ne le contentait pas. « Dès les cadets, j’avais du mal à choisir entre la descente et le cross-country. J’ai pris le départ de la Mégavalanche au sommet du glacier du Pic Blanc à l’Alpe d’Huez… »

C’est le coup de foudre. Prendre de l’altitude, à 3300 mètres, pour cette descente marathon élargit les horizons du jeune Clementz, qui voit sa carrière définitivement changer en 2003. « Je me suis fracturé le scaphoïde lors de cette première année seniors, deux fois de suite. À la fin de cette année-là se sont montées l’Enduro Series et la Maxiavalanche, qui représentaient un bon mix avec des valeurs qui me correspondaient. Avec une dimension de voyage et de découverte propre à la discipline. »

En 2005, l’Alsacien gagne pour la première fois la Mégavalanche, à 21 ans. Ce succès lui ouvre les portes du professionnalisme. « J’ai franchi le pas chez MBK avec une partie course et une autre de développement ». L’année suivante, Jérôme Clementz partage son temps entre études dans la filière sport STAPS et le VTT. Au fil de ses sorties, l’Alsacien acquiert un tel statut qu’une opportunité se présente en 2008. « Grâce à Cannondale, je suis devenu vraiment pro à temps plein sur le vélo. »
S’il ne passe pas ses jours et ses nuits avec cette petite reine qui lui a permis de rencontrer son amie Pauline Dieffenthaler, celui que l’on surnomme « le Jey » cogite autant qu’il teste les produits.


« Grâce à mon expérience, on peut modifier un détail de la géométrie, comme sur le nouveau vélo Cannondale. Les projets sont finalisés au minimum en deux ans. La plupart du temps, je fais des compétitions avec des vélos de stock. Pour les prototypes, les curieux doivent venir me voir à l’entraînement, où il m’arrive aussi de tester plusieurs paires de chaussures embarquées dans un sac à dos ». Jérôme Clementz assure aussi la communication régulièrement avec la presse spécialisée

Son savoir-faire lui permet d’élargir ses commanditaires, de Mavic à SRAM. Outre les essais, Jérôme Clementz ouvre de nouvelles pistes comme privilégier un seul plateau à l’avant avec le nouveau groupe de 11 vitesses de SRAM à l’arrière. « C’est plus simple, plus efficace et plus fiable ! » Une évolution technique testée et approuvée, avec une victoire à la clé cet été à Whistler au Canada.
Tous les terrains sont propices à des évolutions. Il y a une semaine, l’Alsacien était au Chili. « Je suis allé dans beaucoup de beaux pays avec des sentiers magnifiques un peu partout et c’est difficile de choisir un préféré. Si on doit avoir une appréciation globale, la Nouvelle-Zélande est vraiment sympa (photo ci-dessus). Déjà, c’est l’été là-bas quand c’est l’hiver ici. Et c’est encore très sauvage, si l’on excepte peut-être le bord de mer. Mais il y a de grands espaces et c’est assez magique. Il y a une culture très tournée vers l’outdoor ».

Cet anglicisme traduit bien l’évolution du personnage : « À l’école, je n’étais pas très attentif aux cours d’anglais. Maintenant, j’arrive à me faire comprendre ». Parfois il joint le geste à la parole, comme en 2011 au Cap Vert, lorsqu’avec onze autres « riders », il décide de mettre ses vélos aux enchères pour favoriser l’accès des enfants aux écoles.

S’il pilote tout autour de la planète, Jérôme Clementz n’en reste pas moins attaché à son massif vosgien, où il a créé l’Elsass Enduro Tour en 2009. Une formule de quatre courses, dont pourrait s’inspirer en 2013 un challenge au niveau international, là encore de manière privée (l’Union cycliste internationale a renoncé à mettre sur pied une Coupe du monde). Dans la tête du « Jey », les idées bouillonnent. « Pauline a rejoint ma société pour reprendre la compétition du Bluegrass Enduro Tour. Les gens sont aussi demandeurs de voyages à mettre en place. Et on a d’autres projets qui verront le jour d’ici trois ans ».

L’Enduro attire de plus en plus de compétiteurs, aguichés par ce compromis entre sport et nature. « Et la relève arrive avec l’Alsacien Nicolas Lau, pilote Cube, qui commence déjà à nous titiller, Rémy Absalon et moi », sourit-il.

Il reste que la médiatisation de la discipline demeure toujours en marge du cyclisme traditionnel. « Dans le VTT, on est bien mis en avant par les marques dans le monde, car l’Enduro devient une discipline phare avec de plus en plus de pratiquants, tempère « le Jey ». Mais comme ce n’est pas officiel, on n’a pas le ‘’bling-bling’’ comme les JO. Les gens de l’Enduro sont plus tournés vers la nature que la notoriété à la Voeckler ! C’est encore une discipline jeune et ce n’est pas facile pour tout le monde, avec seulement les dix premiers mondiaux qui en vivent correctement ». Le pionnier alsacien en fait donc partie. « Je n’ai pas à me plaindre », lâche-t-il pudiquement.

L’Alsacien se réjouit que le peloton des enduristes continue de grossir. « Quand nous avons débroussaillé les chemins, nous étions les seuls en Europe. Maintenant, d’autres pays suivent. Ça montre qu’on n’est pas complètement des illuminés ».

À l’évidence, l’Enduro dispose en Jérôme Clementz d’un ambassadeur hors pair à la hauteur de son professionnalisme.

       (  Source L'Alsace par Gilles Legeard          )    
 

Soirée contes autour du loup

Jean-Claude Keller propose, vendredi soir au Cercle à Buhl, sa version du Petit Chaperon Rouge, une résurgence des rêves d’un enfant fasciné par cette jeune fille qui dissimulait ses belles nattes sous une cape qui lui couvrait la tête et les épaules.

 
 
Jean-Claude Keller présentera sa version du Petit Chaperon rouge.
 Photo Bernard Erhard
 
 
« C’était il y a bien longtemps, j’avais 7 ans quand j’ai entendu pour la première fois le conte du Petit Chaperon Rouge et j’étais fasciné. Longtemps j’ai repensé à cette jeune fille avec ses nattes et son chapeau, cette coiffe qui couvre la tête et les épaules… Je l’ai même rencontrée dans mes rêves… Et j’ai rêvé sa vie ». Quelle captivante introduction pour la soirée contes de ce vendredi, ayant le loup pour protagoniste. Jean-Claude Keller a aujourd’hui l’art et la manière de captiver son public : il ne se lasse pas de donner de la couleur, de la saveur, de l’émotion, de la vie à ses récits, forcément après plus de 20 années de pratique et surtout de recherches diverses avec légendes, contes, récits bibliques.

 

Un conteur qui compte



Il existe en France 36 versions répertoriées du Chaperon Rouge, dont des versions anciennes avant Grimm et Perrault. « Bien que toutes différentes, notamment la version orale nivernaise dont des éléments ont été supprimés par la suite, aucune ne me convenait. Mais j’avais tellement envie de raconter ce conte et bien que la tâche ne fut pas aisée, mon expérience de conteur m’a permis de le réaliser. Je sors du cadre sans couleur, ni odeur pour une histoire forte avec émotion et sentiments. »
Parmi les nombreuses versions françaises, le conte du Chaperon Rouge a fait le tour du monde, il existe en Russie, en Chine, il y aussi la version africaine et canadienne… Aussi, le conteur buhlois présentera-t-il également trois autres contes autour du loup : la rencontre d’un musicien avec le loup, le loup blanc une adaptation alsacienne et une histoire plus humoristique. Le loup est un animal qui fascine petits et grands, depuis la nuit des temps, par la crainte qu’il suscite.

Y ALLER Le Petit Chaperon Rouge et autres contes de loup, vendredi 16 novembre, à 20 h, au Cercle à Buhl. Cette soirée est recommandée adultes et aux enfants à partir de 6 ans.

 
       ( Source L'Alsace par Bernard Erhard           )   

Deux jours pour glisser avec gourmandise et humanité vers Noël

Pour la 12 e année consécutive, le conseil communal de la jeunesse de Buhl et ses encadrants proposent un marché de Noël qui se tiendra les 24 et 25 novembre, de 11 h à 19 h.

 
 
 
Plus de 45 exposants, commerçants et artisans locaux, buhlois et de la vallée du Florival animeront le marché de Noël à Buhl. Archives Bernard Erhard
 
 
Les jeunes du conseil municipal de Buhl (CCJ) ont dépensé une formidable énergie pour concrétiser leur projet et proposent, cette année, un programme inédit pour leur marché de Noël.

« Tout est parfaitement planifié pour créer l’ambiance magique et si particulière propre aux fêtes de fin d’année et dès la fin du mois, le centre du village s’animera de couleurs, odeurs et lumières », note l’adjoint à la jeunesse, Christian Chéray, qui souligne l’aide apportée par Cindy Mériot, Guy Schuller et Jean-Pierre Clay, responsables du CCJ.

Plus de 45 exposants, commerçants et artisans locaux, buhlois et de la vallée du Florival voire de l’Alsace entière, proposeront leurs travaux de Noël, de décorations de table, de santons, de pâtisseries et friandises traditionnelles, de cadeaux, de peinture sur tout support, de travaux des ateliers de bricolage, des écoles maternelles, bref il n’y que l’embarras du choix. La décoration des sapins de la place est assurée par les classes des écoles maternelles et primaire de Buhl.

La commune participe à la mise en place des illuminations de l’entrée du porche avec l’annonce en peinture aquarelle du village.

Petite restauration sur place, vin chaud, soupe, boissons, crêpes, bredalas… seront proposés aux visiteurs.

Deux jours d’animations



Le marché, ouvert au public de 11 h à 19 h, sera officiellement inauguré samedi 24 novembre avec un concert donné par l’orchestre Gruss uss’m Bluamenthal, à 13 h 30 ; alors que la Gugga musik de Buhl interviendra pour l’arrivée du Père Noël.

Durant ces deux jours, les enfants ne sont pas oubliés : des contes de Noël leur seront proposés, à partir de 14 h.

À 17 h 30, arrivée de saint Nicolas suivi du goûter pour les enfants, chocolat chaud et Mannalas offerts par la pâtisserie Stein et la boulangerie Deiber.

Un stand bourse aux jouets sera tenu par les jeunes au profit des Resto du Cœur : les familles pourront déposer leurs anciens jouets, ces jouets seront revendus aux familles intéressées au prix unique de 2 €, la somme ainsi collectée avec le surplus de jouets seront directement donnés aux Resto du Cœur de Soultz. C’est un des projets humanitaires que proposent les jeunes du CCJ.
 
       ( Source L'Alsace par B.E.         )     
 
 

10 novembre 2012

Ce sera l’Amérique au gala de l’Harmonie

C’est sous un drapeau américain, qui a flotté au Capitole, que les musiciens de l’Harmonie de Buhl donneront leur gala samedi 17 novembre.

 
 
Les musiciens et musiciennes de Buhl préparent consciencieusement leur rendez-vous annuel : le concert de gala du 17 novembre. Photo Bernard Erhard
 

Les musiciens de l’Harmonie de Buhl sont sur la brèche. Depuis plusieurs semaines, ils préparent leur soirée de gala, qui aura lieu samedi 17 novembre, à 20 h 30, à la salle de gymnastique de Buhl.

« Il est difficile de trouver un nouveau fil conducteur chaque année. En feuilletant les archives, je me suis rendu compte que les Etats-Unis n’avaient jamais fait l’objet d’une partition musicale », indique le directeur Yves Coquelle.

En première partie, seront interprétées des chansons populaires d’Outre Atlantique avec entre autre My Homme, Oh my Darling, Red River Valley sans oublier les mélodies de Glenn Miller avec l’incontournable Hello Dolly.

Bref un programme connu, un peu nostalgique pour divertir le public en première partie. Les décors sont tout naturellement de circonstance et les musiciens évolueront sous un drapeau des Etats Unis, drapeau ramené par Yves Coquelle de Washington et qui a flotté, durant une semaine, au Capitole.
En cette 50e année de la sortie du premier film de James Bond, des mesures célébreront cet anniversaire avant que l’Harmonie ne retrouve la fanfare de Buhl pour de concert, aborder quelques nouveautés s’harmonisant avec le fil directeur.



Après l’entracte, c’est le Grüas U’sm Bluamatal qui prend la relève avec un spécial Ernst Moosch.
Ce programme divertissant chauffera une fois de plus la salle, permettant aux spectateurs de passer une soirée des plus agréables, soirée musicale où le directeur fêtera également ses vingt années de présidence.

Pour une bonne table, il est important de réserver au 03.89.76.15.52.

( Source L'Alsace )