Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

31 octobre 2016

FC Buhl : Bal des vampires à Buhl

Pour la soirée Halloween proposée samedi par le FC Buhl, le public était dans l’ambiance dès son arrivée à la salle de gymnastique. 

Photo L’Alsace/Bernard Erhard


Pour cette soirée sur le thème du bal des vampires, le tunnel hanté, l’antre des vampires et le piano mécanique ont été les obstacles incontournables pour l’accès à la salle superbement décorée de squelettes, pirates, sorciers et araignées.


Des automates étaient aussi en action tout au long de la soirée pour apeurer, intriguer, faire frissonner. Mais après les premières frayeurs, l’ambiance festive et conviviale a permis de passer une agréable soirée avec le DJ Philippo. « Le thème du bal des vampires a été retenu cette année pour cette 2e édition. Géraldine,



Audrey, Gaby, Fabrice et Xavier du comité des fêtes n’ont pas manqué d’imagination pour les décors », explique Jennifer Pagliarullo, la responsable du comité. La fête s’est poursuivie autour de la paella et s’est prolongée tard dans la soirée puisque la rencontre du dimanche a été reportée amicalement.


( Source l'Alsace )

http://c.lalsace.fr/haut-rhin/2016/10/31/bal-des-vampires-a-buhl

L’alliance de la terre, du verre et du fer

Ce week-end, à l’occasion de leurs portes ouvertes, les artistes de l’atelier 3K’Art de Buhl ont invité le public à venir découvrir leurs ateliers où se mêlent danse, sculpture ferronnerie, céramique, perles de verre et peinture.


Sébastien Garrigue, perlier d’art, lors d’une démonstration samedi après-midi.

Les artistes de l’atelier 3K’Art de Buhl ont ouvert leurs univers au public samedi et dimanche, autour d’un parcours immersif sur le thème du contraste. Le visiteur a été guidé d’installation en installation en commençant par celle de Cécile Dupierris dans son espace flamenco. Ensuite, il a pu voyager en admirant la scène du bateau nécessitant 300 heures de travail sur six mois, entièrement réalisé à base de ferraille de récupération.

Un bel exemple de travail complémentaire entre les artistes talentueux : le support technique a été réalisé par la Compagnie des Naz, Sébastien Garrigue a rassemblé des chutes de verre représentant plus de 10 ans de filage au chalumeau, les peintures des vagues déchaînées sont signées Sylvain Berst, le cordage est attribué à Gérard Raucy et la réalisation du bateau revient à Damien Ley, ferronnier d’art.



Ce même bateau a été exposé cet été au Parc de Wesserling, dans le cadre du thème de Jules Vernes. Ensuite le public a pu découvrir l’atelier de travail des artistes, totalement rangé et repensé pour ces portes ouvertes, présentant le travail de chacun sur la thématique du contraste. « Ce dernier est tellement flagrant entre nos métiers et passions, entre nos différentes sensibilités et disciplines mais également tellement présent qu’il permet de mélanger les univers pour créer quelque chose d’unique » , souligne Sylvain Berst.

Création d’une œuvre commune unique


L’après-midi de samedi était consacrée aux démonstrations de leur savoir-faire. Chaque artiste a travaillé de son côté sa spécificité soit la terre pour Sylvain Berst, le verre pour Sébastien Garrigue et le fer pour Damien Ley, dans le but de combiner ces matières pour aboutir à une œuvre commune. Cette dernière, d’un poids de 25 kg, a été finalisée en direct dimanche en début d’après-midi et offerte à un visiteur.

( Source l'Alsace )

http://c.lalsace.fr/haut-rhin/2016/10/31/l-alliance-de-la-terre-du-verre-et-du-fer

26 octobre 2016

l’Atelier 3K´Art, vivier de talents

 Innovant chaque année, l'atelier 3K´Art de Buhl propose une exposition associant la sculpture, la ferronnerie, la céramique, les perles de verre la peinture et la danse samedi 29 et dimanche 30 octobre.

Buhl : l’Atelier 3K´Art, vivier de talents (photo l'alsace )


Au programme, danse, sculpture, peinture, travail du métal et du verre...


ils sont cinq à avoir investi le 1c de la rue Saint-Gangolf, formant ainsi une petite « communauté artistique » même si tous ne vivent pas de leur activité. À l’étage de cet ancien local, connu des Buhlois pour avoir longtemps abrité le garage Kohler et qui fut ensuite pendant quelques années le local de l’artiste mondialement reconnu Pierre Matter, les appartements. Au rez-de-chaussée, l’atelier. Ou les ateliers, plutôt. Sylvain Berst, peintre et sculpteur, y a son coin, Damien Ley, ferronnier d’art, également, de même que Sébastien Garrigue, perlier d’art. « D’où les 3K’Art », explique Sylvain Berst. Ils ont une trentaine d’années en moyenne.

Sylvain Berst travaille sur l’œuvre qui sera remportée
par un visiteur de l’atelier ce week-end.
PHOTOS DNA - M.PF.
Depuis l’installation, il y a deux ans, d’autres têtes sont apparues. Celles de Cécile Duperris, qui anime un atelier de danse flamenco, et de Pierre Marlin, membre de la Cie des Naz. Ou encore de Gérard Raucy, soudeur en inox, qui « bien que ne s’inscrivant pas nécessairement dans une démarche artistique apporte toutes ses compétences et son regard aiguisé à [la] petite bande ».


« Contraste entre nos différentes sensibilités et contraste entre nos différentes disciplines. »
Ces dernières semaines, c’est le branle-bas de combat chez les 3K’Art : les portes ouvertes ont lieu ce week-end. « Nous avons souhaité ouvrir notre lieu de travail au public, évidemment, mais pas uniquement sous la forme d’une exposition ».

L’atelier 3K’Art proposera donc un « parcours immersif ». Le visiteur sera guidé d’installation en installation dans un cheminement bien défini. « La thématique est celle du contraste. Contraste entre nos différentes sensibilités et contraste entre nos différentes disciplines. »

Le public sera d’abord accueilli par une installation vidéo centrée sur la danse flamenco (par Cécile Duperris, donc). Il voyagera ensuite entre les œuvres physiques des 3K’Art originels, soit entre terre, verre et fer.


Dragon en terre crue (et bientôt cuite)
de Sylvain Berst.
Les trois matières se combineront même, dans un travail commun réalisé par Damien, Sébastien et Sylvain, pour aboutir à une œuvre commune qui sera le « gros lot de la tombola de dimanche » (« Les termes ne sont peut-être pas les plus appropriés, mais au final c’est à cela que ça revient »). Ladite œuvre sera finalisée en direct.

Avant cela, les artistes auront réalisé des démonstrations de leur savoir-faire le samedi après-midi (lire encadré ci-contre).

- « L’atelier 3K’Art expo’z » (expo parcours/démonstration), samedi 29 et dimanche 30 octobre à l’atelier situé au 1c rue de Saint-Gangolf à Buhl (anciennement garage Kohler).
- Samedi de 14h à 19h (les artistes seront en démonstration entre 15h et 17h30).
- Dimanche de 10h à 18h. A 14h : découverte de l’œuvre commune. A 17h : tirage au sort.
- Entrée libre.
- Contact : Facebook (Atelier 3k’Art) ou atelier3K-art@hotmail.com.


( Source DNA )

19 octobre 2016

Collège du Hugstein : 1000 euros pour l’Arame

Tous les élèves du collège du Hugstein de Buhl ont participé au 7e cross de la solidarité, vendredi au stade à Buhl et au parc de loisirs du Florival.

Des collégiennes fortement mobilisées pour l’association Arame. Photo L’Alsace/Bernard Erhard


Les élèves du collège du Hugstein, autour des professeurs d’EPS, ont participé au septième cross au profit de l’Arame, association d’aide médicale et sociale en faveur d’enfants atteints d’affections malignes.

Ils étaient plus de 500 collégiens à s’élancer, en trois vagues successives -les 5e , 6e , les 3e et les adultes- sur un parcours jalonné autour du stade et dans la zone de loisirs, en présence de Jean-Luc Tschenn, le président départemental de l’Arame. Ce dernier n’a pas manqué d’encourager les participants le long du parcours :

« Cette manifestation buhloise annuelle est une action formidable grâce à l’engagement de tous. Cette année, comme par le passé, un chèque d’un montant de mille euros vient soutenir notre association sans compter les parents et enseignants qui nous remettent des chèques individuels », a-t-il souligné.

L’engagement est d’autant plus concret que deux élèves du collège ont été concernés : l’un ayant passé le cap, l’autre malheureusement décédée il y a à peine un an.

Rappelons que les dons permettent l’achat de matériel pédagogique, de jeux, de livres, de téléviseurs, de lecteurs DVD, d’ordinateurs, de tablettes, de housses de couettes et taies d’oreillers sur les thèmes des dessins animés, les webcams pour rester en relation avec leur famille ou l’école, téléphones, baby-foot mais aussi d’apporter de l’aide aux familles et de soutenir les projets de recherche fondamentale.

Pour tous, l’essentiel était de participer ; aussi le classement s’est fait cette année par classe et par niveau.

( Source L'Alsace )


Collège du Hugstein : L’hélicoptère du Samu au collège

Plus de peur que de mal, hier matin au collège du Hugstein de Buhl, où enseignants et élèves ont vu se poser l’hélicoptère du Samu à l’heure de la récréation.




En début de matinée, une enseignante d’une quarantaine d’années s’est sentie mal. Comme c’est la règle, l’établissement a appelé le Samu. Le médecin, par précaution, a envoyé l’hélicoptère. Celui-ci s’est posé un peu avant 10 h dans la cour de l’établissement, les collégiens étant confinés à l’intérieur.


Entre-temps, les sapeurs-pompiers sont arrivés sur place et ont pris en charge l’enseignante. Celle-ci a finalement été transportée en ambulance à l’hôpital de Guebwiller pour des contrôles.

L’hélicoptère est reparti peu de temps après, sans patient à bord, sous les regards impressionnés des élèves.

( Source L'Alsace )

Jacqueline et Jean-Pierre Kuster fêtent leurs noces de diamant

Le 18 octobre 1956, Jean-Pierre Kuster et Jacqueline Auer ont uni leurs destinées, à l’hôtel de ville de Soultz. Entourés de toute leur famille ils viennent de fêter leurs noces de diamant, soit 60 années de vie commune. 


Jean-Pierre et Jacqueline Kuster se sont mariés le 18 octobre 1956 à Soultz. Photo L’Alsace/Bernard Erhard


De leur union sont nés quatre enfants : Jean-Luc, Brigitte, Véronique et Sandrine.

Jacqueline Kuster a vu le jour à la ferme-auberge du Grand Ballon, au foyer des époux Émile et Catherine Auer. Jusqu’à l’âge de 23 ans, elle a vécu au Grand Ballon, aidant ses parents. Après son mariage, elle s’est occupée de l’éducation de ses quatre enfants. Aujourd’hui les époux Kuster ont la joie d’être huit fois grands-parents.


Jean-Pierre Kuster est né le 17 juillet 1934 à Linthal au foyer des époux Ernest et Odile Kuster. À l’âge de 14 ans il a fait son apprentissage à l’entreprise Fuessinger pour travailler ensuite à l’usine à Gaz de Guebwiller. En 1952 il a été embauché au service des eaux de la Ville de Guebwiller, affecté à la surveillance du réseau, jusqu’à sa retraite en 1989.

Une médaille du travail en or ainsi que celle de la Ville de Guebwiller ont couronné ses 40 années de service. Jean-Pierre Kuster a été trésorier durant 35 années de l’Amicale des donneurs de sang du Haut-Florival, et il a lui-même été donneur à 86 reprises. Tous deux s’occupent encore de leur jardin et apprécient la lecture du journal L’Alsace.

Ils ont également, quand Jean-Pierre a pris sa retraite, poursuivi une activité de saisonnier au Markstein : Jean-Pierre au téléski et Jacqueline au bar.

L’Alsace et Actualités Buhloise présentent  toutes ses félicitations aux époux Kuster.


( Source l'Alsace )


2 octobre 2016

« Les jeunes face à la précarité », un livre de Lætitia Kallfass

La Buhloise Lætitia Kallfass a publié un fascicule de 74 pages disponible sur Internet (Amazon, Fnac, châpitre.com, Cultura et d’autres sites) au prix de 13 €. Intitulé les jeunes faces à la précarité, l'ouvrage est essentiellement destine aux étudiants, éducateurs et professionnels de l'enseignement. « Ce livre a cependant une histoire », précise son auteur.


Lætitia Kallfass : « Je suis toujours touchée par les jeunes face à la précarité. »Photo L'Aisace/Gabrieite Schmitt Hohenadei

 A l’âge de 23 ans, Laetitia Kallfass s'est retrouvée seule dans un appartement dont elle devait assumer le loyer et les charges. Elle faisait des études tout en travaillant, et les assistantes sociales qu'elle avait sollicitées ne lui ont apporté aucune aide. Elle était alors dans une situation de précarité qui l'a marquée. La jeune femme a étudié durant trois ans à l'UHA a Mulhouse pour préparer un master sciences de l'éducation, dans le même temps elle accompagnait les enfants du périscolaire de Guebwiller à la cantine et assurait la garde d'enfants à domicile.

Pour faire des stages dans le cadre de son cursus (deux mois la première année et deux mois la deuxième année), Laetitia Kallfass a choisi les Restos du cœur à Soultz. Cette option lui a permis de rencontrer une dizaine de jeunes bénéficiaires dont elle a recueilli le témoignage. Ils lui ont dévoilé leur situation de « jeunes face à la précarité ».

Le titre de son mémoire était tout trouvé. « J’ai enquêté pour rechercher les causes de la précarité et, après le master, je suis allée en observatrice dans des associations en Alsace et à Belfort, et je suis toujours bénévole aux Restos du cœur », confie Lætitia Kaltfass, qui a souhaité éditer ses enquêtes.


Deux ans d'écriture


 Son livre représente deux ans d'écriture, car à son travail de mémoire d'études elle a ajouté son vécu dans les associations et les témoignages qu'elle avait recueillis aux Restos du cœur de Soultz. Après ses études, elle a travaillé comme conseillère à l’emploi et actuellement elle est chargée de recrutement. « Je suis toujours touchée par les jeunes faces à la précarité, et j'étais la seule de la classe à choisir ce titre pour mon mémoire. »

A présent, elle songe à un projet d'aide aux jeunes dans cette situation, qu'elle finaliserait avec son frère, Julien. Si les idées sont là, les finances font cruellement défaut. Quant à son ouvrage, il figure dans toutes les bibliothèques universitaires en France et même a Québec (Canada) ; il a aussi été demande par une école en Suisse .et par un professeur au Maroc qui l'utilise pour ses cours.

( Source L’Alsace )