Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

28 février 2012

Les 85 ans d’Yvonne Pedetti

Yvonne Pedetti aura la joie de fêter ses 85 ans aujourd’hui mardi à Buhl.


Yvonne Pedetti aura 85 ans aujourd’hui. Photo Bernard Erhard


Yvonne Pedetti née Ostertag a vu le jour à Strasbourg le 28 février 1927. C’est en 1948 qu’elle a rejoint le Florival et a épousé, le 31 août 1956, Dino Pedetti à qui elle a donné un fils, Aldo, bien connu dans le milieu footballistique et tennistique buhlois.

Avant de seconder son époux dans l’entreprise de monuments funéraires Dino Pedetti, elle travaillait comme cuisinière à l’usine Frey, route d’Issenheim. C’est en 1978 que le fils Aldo a pris la succession de l’entreprise familiale au sein de laquelle Yvonne Pedetti a continué à travailler jusqu’à sa retraite en 1987.

Elle a malheureusement perdu son mari en 1979.

Toujours vaillante, elle arpente encore les artères de sa cité. Elle fait également bénéficier ses petits-enfants, Florent et Lucas, de ses talents de cuisinière. Elle aime également la lecture.

L’Alsace souhaite à Yvonne Pedetti, fidèle lectrice de notre quotidien, un joyeux anniversaire à l’occasion de ses quatre-vingt-cinq printemps.

( Source L'alsace )

26 février 2012

Le charme, la grâce et le sourire à « L’Alsace »

Le trio royal a effectué sa première sortie officielle, mardi soir, en se rendant à l’agence du journal « L’Alsace » à Guebwiller.

Sa majesté Camille, ses dauphines et la demoiselle d’honneur entourées des journalistes et du comité buhlois.
 Photo Bernard Erhard

Mardi soir, Stéphanie Freedman, chef d’agence du Journal L’Alsace à Guebwiller, entourée de ses collègues journalistes, a mis à l’honneur sa majesté Camille Sirlin, ses deux dauphines Marine Schnebelen et Morgan Marchand et la demoiselle d’honneur Élodie Schupfer.

Cette visite à l’agence guebwilleroise a été la première sortie officielle du trio royal après la soirée d’élection le 4 février dernier. « Je vous félicite et vous souhaite la réussite pour votre carnaval des 3 et 4 mars prochain », a souligné Stéphanie Freedman avant de gratifier les jeunes filles de présents. La chef d’agence perdure ainsi une tradition de 21 ans, qui avait débuté sous Jean-Marie Nick, son prédécesseur, aujourd’hui retraité.

Yves Coquelle président de l’OMSC (Office municipal des sports et de la culture) de Buhl, entouré de son comité, a remercié L’Alsace « pour ce partenariat fidèle dont nous avons besoin. Stéphanie Freedman, vous perdurez une tradition bien établie et nous vous remercions pour votre complicité : la 21 e pour l’élection et la 32 e pour les festivités de la cavalcade à Buhl, le premier week-end de mars ».

Yves Coquelle a soulevé un peu le voile sur cette 32 e édition qui sera grandiose avec un record, celui de la participation des chars et de trois Guggamusik, et toujours l’entrée gratuite.


Y ALLER Cavalcade des enfants samedi 3 mars, à 15 h, carnaval de Buhl, dimanche 4 mars, à 15 h

( Source L'Alsace )

23 février 2012

Des classes menacées de fermeture

Une barrière humaine.



À Buhl, une chaîne humaine s’est étendue de part en part du parvis de l’école Maurice
 Koechlin lundi après-midi. PHOTOS DNA
          
Lundi à 16h, parents, enseignants et élèves se sont donnés la main pour former une chaîne humaine à l’école Maurice Koechlin de Buhl, et ainsi protester contre la possible fermeture de « la huitième classe », dixit le directeur de l’école primaire M. Obertain. L’initiative menée par l’association des parents d’élèves, qui aura duré en tout et pour tout une dizaine de minutes, visait également à exprimer l’opposition de tous les acteurs au projet d’ouverture d’une classe à quatre niveaux (du CP au CM2).

Une absence a été remarquée durant la mobilisation, celle du maire Fernand Doll. « Le fait qu’il ne soit pas venu nous soutenir me désole, a regretté Sandra Rauséo, membre de l’association des parents d’élèves. Sa présence aurait donné du poids à cette chaîne ».

Hier, l’association avait appelé les parents à habiller leurs enfants en noir, avant de partir en groupe à Colmar pour protester devant le conseil général.

( Source DNA  )

Tir à l’arc : Didier Mathiot a pris son temps



Il a fallu attendre 37 printemps pour que Didier Mathiot, licencié aux Archers du Florival de Buhl, se décide à prendre un arc en main, et ça lui réussit bien.





Tout commence un jour de fin 2004, il a alors 37 ans. Alors qu’il se balade en famille, Didier Mathiot tombe nez à nez avec un atelier de tir à l’arc. Le bambin veut essayer, le père accepte.
« Bien sûr, quand mon fils avait terminé son tour, lui et les organisateurs m’ont demandé si je voulais essayer. J’ai accepté et c’est comme ça que tout a commencé.
« Au début, c’était dur, finalement je me suis débrouillé et les animateurs m’ont conseillé de pratiquer. »

Il ne faut pas le lui dire deux fois : quelques semaines plus tard, il se rend aux portes ouvertes organisées par les Archers du Florival et tente sa chance à un concours organisé.
« Le but était simple. La cible était un ballon de baudruche qu’il fallait percer. Au fur et à mesure, ils les gonflaient de moins en moins. J’ai remporté le jeu et décidé de prendre une licence . »
Le tour est joué. On est en décembre 2004 : « La semaine suivante, j’ai passé ma flèche blanche, obtenue du premier coup. Je suis rapidement devenu mordu. En plus, j’ai trouvé un arc dans la cheminée à Noël. »


Baudruches pour cible


Six mois plus tard, il commence les compétitions : « C’était compliqué au départ. Je n’atteignais jamais les phases finales. » Quand on lui demande la clé pour progresser, sa réponse est sans ambiguïté : « Le mental. C’est là que la différence se fait. Aujourd’hui (dimanche) par exemple, je pense que Thomas (Muller, nouveau champion d’Alsace) m’a battu au mental. Il réussit un 30, le score maximal, quand je ne fais que 29. Ce point de plus, il l’a cherché grâce à son mental. »
Peu importe, son objectif est ailleurs : « Je voulais bien tirer et j’ai réussi. J’ai récemment acquis un nouvel arc et cela se passe bien. » Évidemment, l’arme de l’archer et sa qualité pèsent aussi dans la balance.

« Pas tellement que ça finalement. Ce qui est important, c’est la confiance qu’on a dans son arc. Cela peut être très compliqué au départ puis, d’un coup, il y a un déclic. »

Quoi qu’il en soit, le représentant de Soultz pointe désormais au « 3 e ou 4 e rang au niveau de la ligue et environ au 30 e rang national ».
Ses objectifs pour l’année à venir sont clairs : « Je veux battre mes records. La saison en extérieur commence dans trois mois.
 «Finalement, mon principal adversaire, ce sera moi-même », explique le vice-champion d’Alsace, champion du Haut-Rhin en 2010.

Tout vient à point à qui sait attendre. Didier Mathiot, ce tout nouveau senior, en sait quelque chose

( Source DNA  )


19 février 2012

Diplômes pour les donneurs de sang

Le 2ème Adjoint au Maire Yves Coquelle et quelques membres de l’amicale diplômés.
 Photo Bernard Erhard


Lors de l’assemblée générale de l’amicale des donneurs de sang bénévoles de Buhl, dimanche dernier au cercle, François Baum, le président sortant, et Jean-Jacques Ringele, le nouveau président (nos éditions du mercredi 15 février), ont conjointement remercié les donneurs de sang avant de leur remettre les diplômes.

Diplôme et médaille or : Jean-Richard Ringele

Diplômes et médailles bronze :

3e niveau : René Bitsch, Michel Fiessinger, Gilles Heyberger, Jean-Marc Schaffhauser.

2e niveau : Jean-François Bedel, Frédéric Bischoff, Caroline Boilot-Magnin, Laure Cheray, Robert Chong, Sylvie Berndt-Eckert, Christelle Marcille-Flory, Pascal Franck, Didier Fuhry, Martine Wucher-Goetschy, Sophie Mochel et Corine Ruffio.

1er niveau : Tony Adessa, Laure Etter, Cindy Ferreira, Serge Fischer, Hélène Goetschy, Laurent Gunther, Christine Duss-Harnist, Patrick Jollet, Sibdella Keller, Emmanuel Kusznir, Véronique Leconte, Martine Sauter, Luc Scherrer, Guy Schuller et Pascal Simon.

( Source L'Alsace )

Venathec, un bureau d’études acoustiques, ouvre ses grandes oreilles à Buhl

Venathec crée une agence à Buhl. Ce bureau d’études s’implante en Alsace pour y travailler dans les domaines de l’acoustique architecturale, environnementale et industrielle.

Laurent Woitier est le responsable du bureau d’études acoustiques, Venathec implanté à Buhl. Photo Stéphanie Burglin

Créé en 1999 à Vandœuvre-lès-Nancy et également présent en Ile-de-France, à Aix-en-Provence et depuis janvier, à Buhl, Venathec est un bureau d’études indépendant, expert en acoustique et vibratoire. « Venathec est le 6 e bureau d’études de son secteur en France et le 3 e dans le domaine de l’éolien », affirme Laurent Woitier, le responsable de la nouvelle agence alsacienne.

La société, qui emploie aujourd’hui 28 salariés, réalise des mesures et établit des diagnostics dans les domaines de l’acoustique architecturale, environnementale et industrielle. « Il ne s’agit pas de faire un simple constat, nous proposons à nos clients des conseils et des solutions d’amélioration et nous réalisons le cahier des charges à mettre en œuvre. Notre action peut aller du diagnostic au suivi de chantier. »


Mesurer l’impact sonore des éoliennes


Historiquement, Venathec s’est développé pour répondre aux besoins des mairies préoccupées par les nuisances sonores émises par les bars, discothèques et salles polyvalentes installés sur leur territoire. « Nous intervenons à la fois pour mesurer l’éventuelle gêne ressentie par le voisinage mais également pour améliorer l’acoustique intérieure de ces lieux ». L’installation de parc éolien est ensuite venue renforcer l’activité du bureau d’études. « Nous réalisons des mesures d’impact pour définir le niveau d’émergence, c’est-à-dire la différence entre le niveau sonore perçu avant et après l’installation d’éoliennes. Notre travail consiste à valider que cette émergence ne dépasse pas 5 décibels de jour et 3 décibels de nuit, sinon nous proposons des solutions pour réduire le niveau sonore. »

Deux agences de Venathec, implantées autour de l’Aéroport de Paris sont aussi spécialisées dans les problématiques sonores liées à l’aéronautique. « Nous menons des études pour les riverains qui souhaitent faire des travaux d’insonorisation de leur habitat et nous les aidons à faire les démarches pour obtenir les subventions auxquelles ils ont droit car, dans ce périmètre, les travaux peuvent être pris en charge à 100 % ».

L’industrie est l’autre axe de développement du bureau d’études. Là encore, il existe des normes à ne pas dépasser et des mesures doivent être faites régulièrement pour vérifier les niveaux sonores à l’extérieur comme à l’intérieur des usines. « Nous enregistrons l’exposimétrie des salariés, c’est-à-dire le niveau sonore auquel ils sont soumis pendant toute une journée de travail. Si celui-ci est supérieur à la norme autorisée, nous préconisons des actions à mettre en œuvre comme par exemple, l’installation de cabines insonorisées. Et nous réalisons une cartographie du lieu qui permet d’identifier les sources de bruits et de proposer des solutions pour les réduire. »

Depuis quelques années, Venathec est aussi présent dans le domaine de l’acoustique architecturale. « Une de nos activités consiste à valider les indices d’isolement acoustique des matériaux utilisés dans la construction pour garantir qu’ils soient en phase avec les objectifs d’insonorisation souhaités dans une maison, une crèche ou une maison de retraite, par exemple. » La loi impose en effet la présence d’un acousticien pour valider les projets architecturaux soumis à appel d’offres. Des mesures de « bruits » sont aussi réalisées dans le cadre de la construction d’une ligne à grande vitesse ou même pour quantifier la gêne occasionnée par un chantier de construction.

Le champ d’application de l’ingénierie acoustique est vaste : « C’est un métier relativement neuf, on se préoccupe du bruit depuis 30 à 40 ans mais aujourd’hui, on fait des études d’impact, en amont, et on surveille les niveaux sonores dans tous les types d’activités. » Grâce à sa nouvelle agence à Buhl, Venathec, dont le chiffre d’affaires 2011 a atteint 1,8 million €, espère bien se développer en Alsace, en Haute-Saône, dans le Doubs et le Territoire de Belfort.


         ( Source L'alsace  par Stéphanie Burglin )



16 février 2012

Spring Coating Systems s’ancre à Buhl

l’entreprise Spring Coating Systems de Buhl ouvre aujourd’hui ses portes au public et à ses fournisseurs, de 10 h à 17 h. L’occasion de découvrir son savoir-faire qu’elle vend à des imprimeurs du monde entier.


Tom Korchak, le patron de l’entreprise Spring Coating Systems à Buhl, organise des portes ouvertes aujourd’hui. Ici, il présente un système d’inspection de contrôle vidéo pour les imprimeries, qui est fabriqué et développé à Buhl.
 Photo Bernard Erhard


Petites lunettes rondes, chemise rouge et jeans noir, Tom Korchak donne un dernier tour de vis à la machine d’impression numérique Rapid. Cette imprimante à jet d’encre sera la vedette des portes ouvertes de l’entreprise Spring Coating Systems, qui ont lieu aujourd’hui, à Buhl. Américain, Tom Korchak est le patron de cette PME installée depuis quatre ans dans les anciens locaux de Choco-Siegel.

Spring Coating Systems est un concepteur et un fabricant de produits haute performance dans le domaine des encres, peintures, vernis et colles destinés aux imprimeurs. Elle emploie sept salariés à Buhl et quatre à Ceton, en Basse-Normandie. « C’est là-bas que sont fabriqués les encres et les vernis sans solvant donc plus respectueux de l’environnement », explique Tom Korchak, qui travaille en France depuis 16 ans. Spécialiste des arts graphiques, il a créé son entreprise il y a huit ans avec le souci de répondre au mieux et le plus rapidement possible aux besoins de ses clients, des imprimeurs d’étiquettes du monde entier.


« Spring est la seule PME de France sur ce marché. Il faut que nos produits soient de haute technologie et que nous assurions un service de qualité. Nos concurrents sont de grosses multinationales. Actuellement, nous vendons 60 % en France et 40 % à l’export. L’objectif pour 2012 est d’inverser les chiffres : faire 60 % à l’export et 40 % sur le marché français », détaille Tom Korchak. Pour cela, le patron, qui est aussi le commercial de l’entreprise compte beaucoup sur une nouvelle machine qui vient d’Australie et qu’il va proposer dès aujourd’hui à ses clients.

« Nous proposons des machines Rapid, qui permettent d’imprimer en numérique et en continu avec une qualité d’image exceptionnelle pour un prix très raisonnable : 15 000 € pour le premier modèle », indique avec enthousiasme Tom Korchak.

Spring Coating Systems compte aussi beaucoup sur sa filiale RGK, dont on peut visiter les ateliers, aujourd’hui à Buhl. RGK est spécialisée dans les systèmes d’inspection vidéo pour les imprimeries.

« Les machines sont conçues, assemblées et développées ici à Buhl de même que les logiciels qui permettent de les piloter », glisse le patron en bichonnant la dernière de ses créations. « C’est une caméra 100 % numérique avec des flashs leds. La tendance est d’aller vers des produits plus simples et plus efficaces à un prix très raisonnable », analyse Tom Korchak. Dans un contexte de crise, Spring Coating Systems a continué à gagner des parts de marché, mais a dû s’adapter pour répondre au mieux aux besoins de ses clients. « L’an dernier, de nombreux investissements ont été gelés, mais je suis optimiste pour 2012 », conclut Tom Korchak.

Y ALLER Spring Coating Systems, 18 rue de la Fabrique à Buhl, portes ouvertes aujourd’hui jeudi 16 février, de 10 h à 17 h. Tél. 03.89.83.06.82.



         ( Source L'Alsace par Stéphanie Freedman   )

15 février 2012

Un nouveau président pour les donneurs de sang

Lors de la récente assemblée générale, après avoir redynamisé l’association buhloise, le président des donneurs de sang, François Baum, a passé la main à Jean Richard Ringele.


Le nouveau comité de l’amicale des donneurs de sang, de gauche à droite : Yves Coquelle (adjoint), Fernand Larger (entrant), René Hueber, Jean Richard Ringele (nouveau président), Mathieu Bitsch, Nadine Chong (nouvelle vice-présidente), Cindy Mériot, Sylviane Mériot et Adrienne Baum.   Photo Bernard Erhard

 
Dimanche matin, l’amicale des donneurs de sang bénévoles de Buhl s’est retrouvée au cercle pour son assemblée générale. Le président, François Baum, a remercié de leur présence les membres, saluant tout particulièrement l’adjoint Yves Coquelle, président de l’OMSC (Office municipal des sports et de la culture), et Gérard Geiger, le responsable du secteur.

Le président s’est montré très satisfait de l’année écoulée, son association comptant 56 membres et 140 donneurs. Il a noté une progression de 47 dons en 2011, le total passant de 231 en 2010 à 278 pour 2011. Pour l’année en cours, quatre journées sont programmées : la première ayant eu lieu lundi 13 février, les prochains rendez-vous pour les dons de sang sont le 11 juin, le 24 septembre et le 3 décembre.

François Baum a ensuite annoncé qu’il quittait ses fonctions de président : « Je tourne la page après 16 ans de présidence marquée surtout par ces trois dernières années où, grâce à une bonne équipe, nous avons su remettre l’amicale sur les rails et redynamiser notre action. Si je quitte la présidence et le comité, je resterai néanmoins actif au service. »

Le nouveau comité renforcé par Jean Richard Ringele, Nadine Chong et Fernand Larger a, dans la foulée, attribué les différents postes (voir ci-dessous) et élu Jean Richard Ringele comme nouveau président de l’amicale des donneurs de sang bénévoles de Buhl.

Un homme de retour dans le Florival, qui totalise 104 dons et qui, d’emblée, a donné son programme : « La dynamique de l’amicale c’est aussi son accueil qui lui est propre, on est bien ici ; nous développerons la communication, mais surtout je prends le pari avec l’équipe en place de fidéliser les donneurs ». L’adjoint Yves Coquelle a félicité le nouveau président, et encouragé le comité à poursuivre leur progression. Il a également remercié François Baum pour son action, qui a permis à son amicale de belles actions ces dernières années.

Le comité

Président : Jean Richard Ringele
Vice-présidente : Nadine Chong
Trésorière : Sylviane Mériot
Trésorière adjointe : Adrienne Baum
Secrétaire : Cindy Mériot
Secrétaire adjoint : Mathieu Bitsch
Assesseurs : Fernand Larger et René Hueber

( Source L'Alsace )

14 février 2012

Mobilisation contre les fermetures à Buhl

Une douzaine de parents manifestant devant l’école Koechlin ; ils seront rejoints par une dizaine d’autres, directement à Colmar.  Photo Bernard Erhar

Les parents d’élèves de l’école primaire Maurice Koechlin de Buhl, visée par des fermetures de section et de classe, pour la prochaine rentrée scolaire se sont mobilisés. Ils se sont retrouvés, hier à 16 h, devant l’école Maurice Koechlin, pour se rendre à l’IUFM de Colmar à la sortie de la réunion du comité technique spécial départemental qui s’est réuni pour parler des projets de fermeture.

  « Nous y allons, pour soutenir l’ensemble des parents et surtout éviter l’ouverture d’une classe bilingue sur quatre niveaux en allemand et français. Aujourd’hui la grande majorité des enseignants de l’école Koechlin ont fait grève, l’accueil des enfants étant assuré par le périscolaire.

 De ce fait, des parents nous rejoindront directement à Colmar pour qu’ensemble nous puissions exprimer notre mécontentement », précise Elisa Beardmore du collectif des parents d’élèves. Des parents bien décidés à reconduire d’autres actions pour le bien de leurs enfants.

( Source L'Alsace )

8 février 2012

Carnaval 2012 - Buhl La reine s’appelle Camille

Camille Sirlin, jeune Buhloise de 17 ans, a été élue reine du carnaval 2012, samedi, au terme de la soirée d’ouverture à la salle de gymnastique.


Le quatuor royal (de gauche à droite) : Élodie Schupfer (demoiselle d’honneur), Morgane Marchand (deuxième dauphine), Camille Sirlin (reine du carnaval), Anaëlle (princesse) et Marine Schnebelen (première dauphine). PHOTO DNA

Treize candidates étaient en lice pour la 22 e édition de l’élection royale buhloise. « Un record, selon Yves Coquelle, le président de l’association organisatrice Carnaval 53, et un très bon millésime. » C’est la jeune Camille Sirlin, enfant du village, qui a été élue reine.

Elle est scolarisée actuellement en Terminale scientifique et ambitionne de devenir kinésithérapeute. Pour sa première participation à une élection, elle avoue s’être un peu préparée : « Ma maquilleuse est venue, son mari est photographe, alors on a fait des photos et on s’est amusés. J’ai souvent accompagné des copines qui ont fait première dauphines ici », raconte la jeune Buhloise. Un soutien qui lui a bien été rendu par ses amis et sa famille qui l’ont activement soutenue et encouragée toute la soirée.

La cavalcade dans un mois


Marine Schnebelen, sa première dauphine suit une classe préparatoire pour entrer en école d’architecte d’intérieur. Morgane Marchand, 20 ans, est élue deuxième dauphine. La jeune femme est opticienne et originaire de Baldersheim. Élodie Schupfer est demoiselle d’honneur. Actuellement en Terminale économique et social, elle prépare le concours de « sciences po » pour s’orienter vers un master de droit international

Anaëlle, la 22 e princesse du carnaval. PHOTO DNA


.Cette année pas d’élection du prince, faute de combattants. Mais la princesse a tout de même été désignée et se prénomme Anaëlle. Avec le quatuor royal, elle défilera dans un mois, lors de la cavalcade.

Un délai surprenant, mais réfléchi. « Nous organisons l’élection un mois avant parce qu’on n’aime pas l’idée de mettre une jeune fille sur un char le lendemain de l’élection, puis qu’après ce soit déjà fini. Le carnaval, c’est un moment pour faire la fête », martelait Serge Montagnon aux candidates en coulisses. On ne badine pas avec la fête.

               ( Source D N A par M.K  )

7 février 2012

Vie associative : Dynamique CO

Le club de course d’orientation Buhl-Florival (COBF) a tenu son assemblée générale au Cercle.


Émilie Korchak succède à Florence Hanauer pour le Challenge de l’OMSC.
 PHOTO DNA


« Quel plaisir de voir cette évolution, je me rappelle le début de cette pépinière, s’est souvenu Yves Coquelles, président de l’OMSC de Buhl ; maintenant, vous êtes partout. » Le COBF, fort cette année de 95 membres, peut s’enorgueillir de sa formation. Son école reçoit en moyenne 22 jeunes par séance, contre 15 l’année passée. En 2011 le club a également vu la reconnaissance fédérale de sa section locale d’entraînement.

Permettant aux instances fédérales de suivre les meilleurs jeunes dans un parcours d’excellence national, c’est l’une des trois seules en France. « On a vu les critères et on s’est dit qu’on en n’était pas loin, raconte le président François Hueber. On a posé un dossier qui a été accepté. » Les manifestations à destination des jeunes des écoles ont bien fonctionné, à l’image de la course de la com’com’ de Guebwiller. « Pour la première édition ils étaient 90, se remémore le président, cette année plus de 200. »

Le championnat de France à VTT dans le Florival


Bémol sur les résultats du championnat de France des clubs, puisque le COBF est descendu en Nationale deux. La convention « haut niveau » et la subvention de la région ne peuvent donc plus être renouvelées. Les résultats individuels sont en revanche satisfaisants et une bonne vingtaine de membres ont été récompensés lors de la cérémonie des vœux de la municipalité (DNA du 08/01).


Si l’année passée, les orienteurs buhlois n’ont pas organisé de manifestation nationale, ils se rattraperont en 2012 avec le championnat de France de course d’orientation à VTT. Préparée depuis un peu plus d’un mois par les membres et coordonné par Julien Schnebelen, l’épreuve se déroulera les 20 et 21 octobre.

Le samedi matin, le parcours VTT se fera autour de Tierenbach et de Wuenheim, avec un poste de contrôle à la cave du Vieil Armand. Ensuite, une épreuve de sprint pédestre, organisée avec le soutien de la ville, traversera le centre de Guebwiller.

L’épreuve du dimanche n’a pas encore de tracé précis mais aura pour point de départ la salle 1860 de Guebwiller.

École de Course d’Orientation le mercredi de 14h à 16h


( Source DNA   )

6 février 2012

Éric Orban, un hôtelier buhlois au naturel

Le propriétaire de l’Hostellerie Saint-Barnabé, à Buhl, est aussi le président national de l’association Hôtels au naturel, qui tiendra son assemblée générale, demain, dans son établissement.

Eric Orban préside l’association nationale Hôtels au naturel
depuis un an. Il accueillera ses pairs, à Buhl, à partir de demain
pour l’assemblée générale. Photo Stéphanie Freedman




Pouvez-vous nous donner les particularités de la marque Hôtels au naturel que vous présidez depuis un an et qui tiendra son assemblée générale demain, mardi 7 février, chez vous au Saint-Barnabé à Buhl ?


Le groupement des Hôtels au naturel fédère 22 établissements, situés dans neuf parcs naturels régionaux. C’est une des conditions pour accéder à la marque, qui existe depuis 13 ans. L’objectif des membres est de limiter l’impact de leur activité d’hôtellerie-restauration sur leur environnement proche. Nous participons de manière active à un tourisme vert et responsable.

Quelle est votre définition du tourisme responsable ?

C’est un tourisme qui respecte l’environnement dans lequel il est implanté à savoir un parc naturel régional. Ici, à Buhl, nous sommes au cœur du parc naturel régional des Ballons des Vosges, nous privilégions les circuits courts avec nos fournisseurs. Nous nous appuyons sur des producteurs locaux et des produits de saison. Vous ne trouverez pas de fraises sur ma table en hiver, mais plutôt des légumes racines.

Nous n’avons pas de salle de fitness, mais nous proposons à nos clients de pratiquer du sport en pleine nature : randonnée, nordic walking, balade en raquettes par exemple. Ce sont aussi des économies d’énergie, le tri des déchets, l’utilisation de produits de nettoyage respectueux de l’environnement. On essaie d’être en phase avec le territoire qui nous accueille.

Quelles sont les réactions des clients qui découvrent un Hôtel au naturel ?

Pour certains, c’est un choix, pour d’autres, c’est une surprise. Nous les sensibilisons à notre démarche en faisant beaucoup de pédagogie. On leur explique que les murs sont peints avec des pigments naturels et que nous avons privilégié le bois et la pierre pour notre spa pour être le plus cohérent possible avec l’environnement qui nous entoure. Les clients posent beaucoup de questions et repartent souvent avec des idées qu’ils pensent appliquer chez eux.

Quel est le message que véhicule la marque Hôtels au naturel ?

On peut accueillir des touristes dans un établissement confortable tout en respectant la nature. Les Hôtels au naturel ont 2, 3 ou 4 étoiles. Il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses. Nous faisons de l’hôtellerie classique avec une démarche éco-environnementale, c’est avant tout une philosophie.

La marque a-t-elle un potentiel de développement ?

Nous avons dix candidatures pour 2012 et nous espérons développer les Hôtels au naturel en Europe, dans les pays où il y a des parcs naturels comme l’Allemagne et le Luxembourg. L’objectif est d’arriver à 50 membres d’ici 2 ans.



EN SAVOIR PLUS  : L’assemblée générale de l’association nationale des Hôtels au naturel se tiendra les 7 et 8 février au Saint-Barnabé à Buhl, où une rencontre avec les acteurs du territoire est prévue demain à 18 h 30. Site internet : www.hotels-au-naturel.com



( Source L'Alsace  par Propos recueillis par Stéphanie Freedman  )

Carnaval : La Buhloise Camille Sirlin régnera sur son village

Treize candidates ont postulé au titre de reine du carnaval de Buhl, samedi soir, à la salle de gymnastique. C’est Camille Sirlin, une jeune fille du village, qui a été élue.



Les treize prétendantes au titre de reine du carnaval de Buhl 2012.
 Photos Bernard Erhard


Treize candidates se sont présentées, samedi soir, à la salle de gymnastique de Buhl, pour l’élection de la 23 e reine du carnaval, qui aura lieu le 4 mars prochain dans les rues du village. Elles étaient toutes très motivées . Pour ces jeunes filles, le carnaval représente la fête, un moment de rencontre avec le public, mais de la joie de vivre. Représentant le charme et la beauté, elles incarnent parfaitement l’esprit de cette manifestation buhloise à la grande satisfaction de l’équipe organisatrice l’association « Carnaval 53 Buhl ». « Treize jeunes filles sont venues pour la fête, la joie et le bonheur.


Camille Sirlin règnera sur le carnaval
 de Buhl le 4 mars 2012.





 C’est notre fil rouge de toujours. Malheureusement aujourd’hui, on peut regretter le trop grand nombre d’élections. Chez nous ce n’est pas la chasse aux primes, mais simplement un bonheur partagé entre tous », confesse le président Yves Coquelle, également adjoint au maire de Buhl, rejoint par le chef d’orchestre de la soirée Serge Montagnon.
 
 Avant de transmettre son diadème, Déborah, la reine 2011, a confié : « Ce fut une très belle aventure. Ce n’est que du bonheur qui attend les élues ».


Une première réussie

 Samedi soir, le public a choisi comme reine des festivités carnavalesques 2012, Camille Sirlin, une Buhloise, qui se présentait pour la première fois.

 Je suis heureuse et fière de représenter mon village lors de la cavalcade », a-t-elle déclaré dans la foulée de son sacre. Lycéenne de 17 ans, elle joue au volley à Guebwiller et aimerait devenir kinésithérapeute.

Le quarté gagnant : la reine Camille (en blanc) avec ses deux dauphines
 Marine et Morgan et la demoiselle d’honneur Élodie.


  La 1 re dauphine, Marine Schnebelen, 19 ans, vient d’Illzach et en est à sa 4 e écharpe. Première dauphine à Cernay, Marine aime s’amuser. Elle est en classe de préparation d’architecture d’intérieur.

 Morgan Marchand, déjà reine à Rouffach, a tenté un autre carnaval. Opticienne à 21 ans, Morgan aime le fitness, la peinture et créer ses bijoux.

 Ce trio royal est complété par la demoiselle d’honneur, une locale de 17 ans, Élodie Schupfer, qui s’est présentée pour faire plaisir à sa maman, mais qui ne regrette pas sa nomination.


Avec le trio royal, elle participera à l’élection du Trèfle Royal, une couronne solidaire aux carnavals du secteur : Soultz, Rouffach et Buhl.


Princesse Annaëlle


La princesse Annaëlle Harnist accompagnera le trio
 royal lors des festivités carnavalesques

Le trio royal sera accompagné de la princesse Annaëlle Harnist, une petite Buhloise de 5 ans qui fait la fierté de sa maman.



( Source L'Alsace  par Bernard Erhard   )



5 février 2012

Les tartines gourmandes de Jacky Quesnot

« La restauration, ce n’est pas mon métier, mais quand on m’a proposé de participer à la 2e édition de Festivitas, je n’ai pas hésité. Il faut savoir s’adapter pour valoriser ses produits », explique avec enthousiasme, Jacky Quesnot, le fromager de Buhl.


Aujourd’hui encore, pour 6 €, on peut déguster les tartines de fromage de la famille Quesnot sur son stand à Festivitas, au parc-expo de Mulhouse.
Photo Stéphanie Freedman


Sur le stand de la famille Quesnot, au parc-expo de Mulhouse, on trouve une large sélection des fromages fermiers et de tradition qu’elle vend dans sa boutique de Colmar et sur 17 marchés de la région chaque semaine, mais aussi des « Kas-croûtes » et des « Kas — flaada » autrement dit des tartines chaudes.

Manger le fromage autrement et utiliser les restes


« C’est mon épouse Christine qui a imaginé les recettes à partir des fromages que nous vendons. Il y en a quasiment une par région de France », indique le fromager en surveillant la cuisson d’une tartine reblochon, crème moutardée et jambon cru.

« Ce salon, c’est l’occasion de vulgariser le fromage, de montrer que l’on peut le manger autrement que sur un plateau et surtout que l’on peut utiliser les restes, c’est important dans le contexte économique actuel », poursuit Jacky Quesnot. Tout le monde peut faire des tartines, avec une bonne tranche de pain, du fromage, de la saucisse de Morteau, des courgettes grillées, des pignons de pin, des poireaux à la crème, des poires au miel, des tomates séchées, etc. Et un peu d’imagination. Après, il suffit d’une à deux minutes sous le gril pour se régaler. « On peut faire tout un repas comme ça, assure Jacky Quesnot. Ce n’est pas parce que le contexte est morose qu’on ne peut pas avoir des moments de plaisir. »



          ( Source L'alsace   par S.F. )

3 février 2012

Futsal :Dix équipes en lice, pour la phase finale du championnat U13

Les U13 de l’AGIIR (en bleu) et de Berrwiller n’ont pas pu rivaliser avec les autres
équipes présentes à Buhl .Photo Bernard Biehler


La salle de sport du collège du Hugstein, à Buhl, a accueilli samedi dernier un tour de qualification pour la phase finale du championnat futsal des U 13. Cette compétition est organisée par la LAFA.

Dix équipes étaient en lice et se sont rencontrées lors de différents matchs de 9 minutes chacun. Trois clubs de l’arrondissement de Guebwiller, l’entente AGIIR, le FC Buhl et l’AS Berrwiller étaient présents pour tenter de décrocher une place pour la phase finale qui aura lieu dans cette même salle fin février.

Mais, au final, aucun des trois représentants locaux n’a pu contrarier la supériorité des équipes de l’US Wittenheim et de Kingersheim qui se sont imposées. Dans la matinée, un tournoi de U11 était organisé.

 Il a été remporté par le FC Mulhouse et a vu l’équipe de l’AGIIR prendre une très belle 3 e place lors d’un tournoi relevé par la qualité technique des équipes présentes

( Source L'Alsace )

D’Behler Schlappabader : Soirée paella

Photo Bernard Erhard


Il fallait marquer le coup pour notre 5 e anniversaire » : la présidente de la Gugga Musik de Buhl D’Behler Schlappabader, Carole Fabacher, a été des plus formelles en organisant avec toute son équipe une soirée paella, samedi, à la salle de gymnastique de Buhl.

Ayant vu le jour en 2007, la formation buhloise a presque doublé ses effectifs, passant de 25 musiciens à 42 à ce jour. Et la présidente de compléter : « Nous avons pas mal de jeunes qui s’investissent, mais gardons le côté familial et convivial de nos débuts. Et tant qu’il y aura des carnavals, il y a de l’avenir ».

Samedi soir, une tombola a clos ce rassemblement festif de la grande famille des musiciens, honorée de la présence des deux adjoints Joseph Kuentz et Christian Cheray. D’Behler Schlappabader seront bien sûr présents au carnaval de Buhl, les 3 et 4 mars, après un mois de février chargé avec une première sortie à Issenheim, puis un week-end à Lyon.


( Source L'Alsace )

2 février 2012

Un corps dévoué au service de la population

De nouveaux statuts ont été votés pour l’amicale des sapeurs-pompiers de Buhl, entraînant dans la foulée un nouveau comité.


Le nouveau comité de l’amicale avec de gauche à droite le maire Fernand Doll, Franck Solinas, Joël Flory, Christophe Schirmer, Amélie Schneider et Hubert Reich.  Photo Bernard Erhard


Samedi après-midi, le corps des sapeurs-pompiers de Buhl s’est retrouvé au dépôt pour l’assemblée générale, suivie de celle de l’amicale. En fin d’après-midi, le maire, Fernand Doll, entouré de tous ses adjoints, s’est joint au corps pour démontrer le soutien inconditionnel de la municipalité.
Concernant le corps, quatre nouvelles dispositions sont à relever.

Grâce au site internet (interne au corps buhlois), le chef de corps, Hubert Reich, connaît en temps réel la disponibilité de ses hommes, permettant ainsi une meilleure gestion lors des différentes interventions diurnes et nocturnes.

Les jeunes sapeurs-pompiers dénommés « apprenants », seront dorénavant formés dans leur propre centre pour la formation initiale, évitant ainsi les nombreux déplacements.
Les exercices mensuels ont été supprimés et remplacés par des formations de maintien des acquis qui correspondent toujours aux modules antérieurs. Elles sont supervisées par les différents sous-officiers du corps permettant ainsi un meilleur suivi.

Depuis le 1 er mai 2011, les hommes du feu de Buhl perçoivent leurs vacations, vacations payées par la mairie, une motivation supplémentaire dans le domaine du bénévolat.

Nouveaux statuts


Pour l’amicale, de nouveaux statuts ont été adoptés, les anciens datant de 1920. Cette remise à jour permet maintenant aux membres donateurs d’intégrer l’amicale, d’où la refonte du comité qui sera soulagé lors des différentes manifestations organisées (soirée tartes flambées, marche populaire…).

À relever également la passation de pouvoir à la tête de la fanfare : Joël Flory remplace Franck Solinas, qui, lors de la Sainte-Barbe, avait dirigé une dernière fois l’ensemble musical. Joël Flory pourra néanmoins compter sur le soutien de son prédécesseur ainsi que sur Maurice Castellazi.
Quant aux JSP, vu la perte d’effectif constatée aussi bien à Buhl, qu’à Guebwiller et dans le Florival, il semblerait que les différents corps s’orienteraient vers un rapprochement des sections, avec pour projet à plus long terme une éventuelle association des JSP du Florival.

Le maire Fernand Doll s’est montré satisfait « Malgré la diminution des effectifs qui n’est pas spécifique aux pompiers de Buhl, il faut se battre. Vous vous donnez les moyens, aussi je vous encourage à continuer au service de la population buhloise, voire intercommunale. Restez solidaires entre vous ».

Le nouveau comité


Président : Christophe Schirmer ; 1 er vice-président : Hubert Reich ; 2 e vice-président : Franck Solinas ; trésorier : Joël Flory ; secrétaire : Amélie Schneider.

Pour l’année écoulée, 161 interventions ont été effectuées par le corps buhlois. Elles concernaient 12 feux, deux accidents, 51 secours à personne, 95 opérations diverses dont 47 pour insectes, 13 pour animaux, 15 inondations, 19 chutes d’objets ou d’arbres, une fuite de gaz et une sortie sans intervention.

Le corps de Buhl compte actuellement 19 pompiers actifs dont six sous-officiers.
         ( Source L'Alsace par Bernard Erhard   )