Le concours annuel d’agility du Training club canin du Florival, qui s’est déroulé hier, à Guebwiller, permet aux jeunes de s’investir sportivement tout en pérennisant le club. La preuve avec Aurélie Reiff et Amado.
Dimanche, promenade Paul Déroulède, à Guebwiller, le club du TCCF (Training club canin du Florival) a accueilli plus d’une centaine d’équipages pour le concours agility, le rendez-vous annuel des amis à quatre pattes du Grand Est de la France.
Parmi les concurrentes, la locale Aurélie Reiff, défendait les couleurs florivaliennes. « Mon chien avait besoin d’être dressé, car tout jeune, il faisait ce qu’il voulait. Buhloise, je me suis inscrite il y a trois ans au club guebwillerois pour éduquer mon chien.
Dimanche, promenade Paul Déroulède, à Guebwiller, le club du TCCF (Training club canin du Florival) a accueilli plus d’une centaine d’équipages pour le concours agility, le rendez-vous annuel des amis à quatre pattes du Grand Est de la France.
Parmi les concurrentes, la locale Aurélie Reiff, défendait les couleurs florivaliennes. « Mon chien avait besoin d’être dressé, car tout jeune, il faisait ce qu’il voulait. Buhloise, je me suis inscrite il y a trois ans au club guebwillerois pour éduquer mon chien.
Cela n’était pas facile, mais les résultats ont finalement été bénéfiques. Aussi, l’an dernier j’ai passé à l’agility parce que je voulais faire du sport avec lui, raconte Aurélie Reiff.
Aujourd’hui, je participe aux concours 1 er degré. J’ai déjà obtenu deux bons résultats pour passer au 1 er degré », confie Aurélie Reiff, avant de concourir avec son protégé à quatre pattes, Amado, un beagle.Amado est certes un bon « agilytiste », mais c’est avant tout un chien de chasse
Amado est certes un bon « agilytiste », mais c’est avant tout un chien de chasse avec un nez excellent.
Lors de son programme, il a certainement flairé du gibier et son instinct a pris le dessus au détriment du concours. Aurélie Reiff a pris ce refus avec beaucoup de philosophie, le sourire en plus, avant de poursuivre sur le terrain, coté logistique.
Amado est certes un bon « agilytiste », mais c’est avant tout un chien de chasse avec un nez excellent.
Lors de son programme, il a certainement flairé du gibier et son instinct a pris le dessus au détriment du concours. Aurélie Reiff a pris ce refus avec beaucoup de philosophie, le sourire en plus, avant de poursuivre sur le terrain, coté logistique.
Avec son amie Morgane Seferagic, du TCCF, elle est allée seconder les « aînés » dans la bonne marche de la compétition, car un conours est aussi l’occasion de défendre l’image du club. « On essaye d’aider, c’est chez nous.
Un club c’est un tout, cela nous permet de connaître d’autres passionnés et de pérenniser le club », indique Aurélie Reiff.
Et les voilà déjà sur le terrain, secondant Christian Charles, le juge arbitre du jour, venu de la Côte d’Or pour la première fois à Guebwiller, et qui, dès les premiers instants, a apprécié l’accueil des organisateurs locaux.
Et les voilà déjà sur le terrain, secondant Christian Charles, le juge arbitre du jour, venu de la Côte d’Or pour la première fois à Guebwiller, et qui, dès les premiers instants, a apprécié l’accueil des organisateurs locaux.
(Source L'Alsace)
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