L’espace d’un week-end, le site des ruines du Hugstein a servi de cadre à une découverte « des plantes sauvages, comestibles et médicinales.
La balade proposée par Cécile Billard, « écologue indépendante et transformatrice de plantes sauvages », a connu un franc succès en réunissant une trentaine de personnes.
« Ce n’est pas avec gaieté de cœur que j’ai dû refuser des inscriptions mais il est vraiment délicat de gérer un groupe plus important ». Cécile a su captiver son auditoire en exposant ses connaissances agrémentées de petites anecdotes.
S’il est vrai qu’il convient de rester prudent sur le chemin de la botanique gourmande, on a pu s’étonner du nombre de plantes sauvages consommables et découvrir leurs remarquables propriétés nutritionnelles. Ce que le commun des mortels traite de mauvaises herbes dans son environnement peut être source de bienfaits.
Les participants y ont été sensibilisés et pensent à présent comme R.W. Emerson, qu’« une mauvaise herbe est une plante dont on n’a pas encore trouvé les vertues
( Source DNA )
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