Perrine et Janny Fuchs, qui forment le duo flûte et harpe Entract, ont donné mardi soir leur avant-dernier concert de la saison dans la nef de l’église Saint Jean-Baptiste de Buhl.
Fanny Fuchs à la harpe et sa sœur Perrine à la flûte traversière sont nées dans une famille de musiciens
.
Leur mère chante dans l’ensemble vocal féminin Élégie tandis que leur père est chef de chœur et hautboïste, fondateur de la chorale de Zimmersheim La Pastourelle et de la bande de hautbois de Mulhouse L’Ill aux Roseaux.
Leur mère chante dans l’ensemble vocal féminin Élégie tandis que leur père est chef de chœur et hautboïste, fondateur de la chorale de Zimmersheim La Pastourelle et de la bande de hautbois de Mulhouse L’Ill aux Roseaux.
Dès leur plus jeune âge, Fanny et Perrine se sont tournées vers la musique et ont aimé s’offrir des moments musicaux en famille et entre amis.
Après avoir suivi un cursus d’études à l’école de musique de Rixheim dans les classes d’Hélène Duchaillut et de Danièle Lamaze, puis au conservatoire de Mulhouse dans les classes d’Aude Rocca-Serra et d’Isabelle Papirer, elles ont toutes deux obtenu le DEM, diplôme sanctionnant la fin des études de 3e cycle.
Elles ont eu l’occasion de jouer dans diverses formations régionales.
Menant actuellement des études de biologie à l’université de Strasbourg pour l’une et à l’école du Louvre à Paris pour l’autre, elles consacrent une partie de leur loisir à partager le plaisir de la musique de chambre et se produisent régulièrement en duo.
Passionnées de musique dès leur plus jeune âge, elles ont rapidement souhaité partager cette passion à deux pour mieux la communiquer aux autres. Elles ont choisi un répertoire d’œuvres de compositeurs contemporains qui leur ont permis de mettre en valeur toutes les nuances que peuvent apporter leurs deux instruments grâce à leur maîtrise et à leur virtuosité.
Le choix de plusieurs pièces composées pour la harpe par Bernard Andrès, compositeur et soliste dans l’orchestre philharmonique de Radio France, a permis à Fanny de mettre en valeur son instrument sur une évocation de Duke Ellington dans la plus pure tradition jazz.
Trois pièces pour flûte, introduites par trois Haiku (poèmes japonais), ont emmené le public à la suite du vol de la coccinelle ou à la dérive du nuage sans racines au fil de l’eau. Le public a pu goûter aux saveurs des épices sur trois pièces signées par Ferroud, avant de vibrer sur les notes conjointes de la flûte et de la harpe aux tangos du compositeur contemporain Astor Piazzola
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