Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

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8 octobre 2011

1600 km à cheval pour soutenir la lutte contre le cancer

Deux cavaliers valaisans, Eddy et Ludivine, ont fait étape chez leur petit-cousin, Aldo Pedetti, à Buhl. Ils sont en route pour le siège européen des ligues contre le cancer à Bruxelles.


 Aldo, Ludivine, Eddy et Daniel, des cousins unis pour la bonne chevauchée.  Photo Bernard Erhard

Pour soutenir les actions de lutte contre le cancer, Ludivine et Eddy ont quitté la Suisse mercredi. Les deux cavaliers se sont arrêtés dans le Florival avant de poursuivre vers le nord de l’Alsace, puis le Luxembourg et la Belgique.

À Buhl, les chevaux ont pu se reposer et se rassasier au Relais équestre, alors que Ludivine et Eddy ont trouvé un gîte, chez Aldo Pedetti. Pour la circonstance, Daniel, le papa de Ludivine, est venu les encourager tout en rendant visite à son cousin, Aldo Pedetti, que ce dernier avait « découvert » il y a une quinzaine d’années, grâce à des recherches généalogiques approfondies.

« Le cancer a vaincu ma maman l’an passé. Aussi, afin d’aider les autres et pouvoir faire avancer la recherche concernant cette maladie, j’ai mis sur pied, avec mon ami, Eddy, ce périple qui nous mènera à Bruxelles. Il nous permet de récolter, en cours de route, de nombreux dons en faveur des associations qui luttent contre ce fléau », commente Ludivine Pedetti, de Morgins.

« Nous sommes deux cavaliers passionnés. Aussi, le cheval est tout naturellement notre moyen de locomotion, notre cheval de bataille contre le cancer. À ma connaissance, c’est une première. J’ai déjà vu des rassemblements à pieds, à vélo, à moto, mais jamais à cheval. » Le couple et leurs trois montures, dont une pour le matériel, sont partis du Valais suisse le 20 septembre, pour un périple de 1600 km (aller-retour).

 Ils avancent à raison d’une trentaine de kilomètres par jour, et comptent sur les gens au hasard des rencontres pour les aider dans leur démarche. Ils espèrent être de retour au siège de la ligue valaisane, à Sion, vers la mi-décembre.


L’Alsace souhaite bonne route aux deux cavaliers pour qui « Tout est possible si l’on commence soi-même, à essayer de changer les choses »

(   Source L'Alsace )

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