Les parents d’élèves de l’école ont
réservé une belle surprise au futur retraité. Avec la complicité de sa
famille placée dans la confidence, André Durand devait assister ce
samedi à une simple répétition musicale au Cercle. Mais lors de son
arrivée sur les lieux, ce dernier était loin d’imaginer que plusieurs
centaines de personnes s’étaient discrètement rassemblées là à son insu,
pour témoigner au partant leur amitié et leur reconnaissance.
Aux élèves regroupés en chorale sur la scène, aux parents et amis du jeune retraité s’était jointe la grande famille de l’Éducation Nationale. Parmi elle, on avait du plaisir à reconnaître l’inspecteur honoraire de l’Éducation Gérard Kurst, les collègues retraités, ainsi que l’ensemble des directeurs successifs qui ont travaillé avec André. À l’image de Jean-Marc Schreiber, de François Grunenberger ou de Christophe Diaz, tous les directeurs ont souligné d’une seule voix ses grandes qualités pédagogiques, sa capacité à intéresser les élèves, y compris les plus récalcitrants, sa grande disponibilité, sa droiture, sa sagesse, sa fidélité, son calme précieux au moment des prises de décision difficiles.
L’émotion était particulièrement grande pour le premier intervenant Jean-Marc Schreiber. C’était lui qui avait eu l’honneur d’accueillir un soir de juin 1981, « ce jeune homme réservé, souriant à chevelure abondante qui ne devait ensuite plus quitter l’école jusqu’à sa retraite ».
« Tu es le dernier de cette équipe de précurseurs qui a contribué à la mise en place de la circulaire Calmat-Chevènement en 1982. L’expérimentation des projets CATE, ATS et autres visant à mieux aménager le temps de l’enfant nous a valu l’honneur d’accueillir de nombreux visiteurs nationalement intéressés par nos travaux, comme Guy Drut en 95, Jacques Chirac en 99 ou Jean-Louis Debré en 2006 ».
Ce concert d’éloges a touché le futur retraité qui a d’abord eu une pensée pour ceux qui ne sont plus là. Ce dernier a ensuite remercié les organisateurs en relevant tout ce qui avait contribué à le retenir aussi longtemps à l’école Koechlin, à savoir notamment des collègues appréciés, les multiples aventures structurelles et pédagogiques attentivement évaluées par le Ministère de l’Éducation Nationale, le regard bienveillant de la Municipalité. Avec un sourire ému adressé aux mamans organisatrices, André Durand a avoué pour finir qu’il n’avait rien vu de tout ce qui se préparait ainsi en son honneur. « Comme nous le savons tous ici, un homme cela ne voit jamais rien ».
Aux élèves regroupés en chorale sur la scène, aux parents et amis du jeune retraité s’était jointe la grande famille de l’Éducation Nationale. Parmi elle, on avait du plaisir à reconnaître l’inspecteur honoraire de l’Éducation Gérard Kurst, les collègues retraités, ainsi que l’ensemble des directeurs successifs qui ont travaillé avec André. À l’image de Jean-Marc Schreiber, de François Grunenberger ou de Christophe Diaz, tous les directeurs ont souligné d’une seule voix ses grandes qualités pédagogiques, sa capacité à intéresser les élèves, y compris les plus récalcitrants, sa grande disponibilité, sa droiture, sa sagesse, sa fidélité, son calme précieux au moment des prises de décision difficiles.
L’émotion était particulièrement grande pour le premier intervenant Jean-Marc Schreiber. C’était lui qui avait eu l’honneur d’accueillir un soir de juin 1981, « ce jeune homme réservé, souriant à chevelure abondante qui ne devait ensuite plus quitter l’école jusqu’à sa retraite ».
« Tu es le dernier de cette équipe de précurseurs qui a contribué à la mise en place de la circulaire Calmat-Chevènement en 1982. L’expérimentation des projets CATE, ATS et autres visant à mieux aménager le temps de l’enfant nous a valu l’honneur d’accueillir de nombreux visiteurs nationalement intéressés par nos travaux, comme Guy Drut en 95, Jacques Chirac en 99 ou Jean-Louis Debré en 2006 ».
Ce concert d’éloges a touché le futur retraité qui a d’abord eu une pensée pour ceux qui ne sont plus là. Ce dernier a ensuite remercié les organisateurs en relevant tout ce qui avait contribué à le retenir aussi longtemps à l’école Koechlin, à savoir notamment des collègues appréciés, les multiples aventures structurelles et pédagogiques attentivement évaluées par le Ministère de l’Éducation Nationale, le regard bienveillant de la Municipalité. Avec un sourire ému adressé aux mamans organisatrices, André Durand a avoué pour finir qu’il n’avait rien vu de tout ce qui se préparait ainsi en son honneur. « Comme nous le savons tous ici, un homme cela ne voit jamais rien ».
( Source DNA par
, °
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire