Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

30 octobre 2014

Andrée Pagliarulo, la coiffe à l’air sur sa bicyclette bleue dans les rues de Buhl.

Des coiffes qui décoiffent

Christelle Baldeck a lancé un mouvement de femmes qui portent la coiffe traditionnelle dans la rue pour marquer leur attachement à l’Alsace.

« Je reposerai ma coiffe quand le conseil unique d’Alsace sera créé », affirme Christelle Baldeck, la fondatrice du mouvement « Les Alsaciennes unies ».
 
Avec sa coiffe noire et ses tresses, Christelle Baldeck ne passe plus inaperçue dans les rues de Sierentz où elle se promène, depuis une dizaine de jours, avec ce signe ostentatoire de l’identité alsacienne.
 
Cette secrétaire d’une étude de notaire, âgée de 38 ans, est la fondatrice du mouvement « Les Alsaciennes unies ». Un mouvement apolitique lancé sur les réseaux sociaux au lendemain du rassemblement contre la grande fusion Alsace/Lorraine/Champagne-Ardenne, le 11 octobre à Strasbourg, où Christelle a manifesté avec sa fille de 17 ans son attachement à l’Alsace. « C’était la première fois que je portais le costume traditionnel », confie-t-elle.

« Je voulais participer à une action dans la durée, avec une touche de féminité. » D’où l’idée de porter la coiffe alsacienne en permanence, « partout où elle sera visible ». Sauf à son travail, du moins pour l’instant. « Pas par peur du ridicule , affirme-t-elle. Ce n’est pas très pratique, mais j’éprouve un réel plaisir à la porter. »

En rupture de stock



« Pour que les gens ne me prennent pas pour une folle, je distribue des flyers expliquant le sens de mon action totalement féminine et pacifique », ajoute-t-elle.

Andrée Pagliarulo, la coiffe à l’air sur sa bicyclette bleue dans les rues de Buhl.
Photos L’Alsace/Thierry Gachon


Andrée à Buhl, Marie à Strasbourg, Sarah à Truchtersheim, Julie à Mulhouse, ces quatre autres jeunes femmes trentenaires (deux mères de famille, une fonctionnaire et une animatrice de centre de vacances) ont été les premières à rejoindre le mouvement de Christelle et portent également la coiffe dans la rue. « D’autres devraient suivre », espèrent la fondatrice du mouvement. Les cinq pionnières du port de la coiffe se sont retrouvées la semaine dernière à Colmar où ces femmes en coiffes ont décoiffé les touristes en goguette dans la vieille ville. « Je rêve de voir des milliers de femmes coiffées dans les rues d’Alsace, de Saint-Louis à Wissembourg ! », soupire Christelle.

Mais l’élan risque d’être freiné... en raison de la pénurie de coiffes. Il n’y en a plus guère dans les familles et les louer revient trop cher. Le seul commerce de Strasbourg qui fabrique encore des coiffes alsaciennes (au prix de 29 € pour le premier modèle) est en rupture de stock. « C’est bon signe », estime Christelle. Pas forcément.

L’expression d’une frustration



Comment réagissent les gens dans la rue ? « On sent souvent une gêne, les gens détournent alors les yeux, font semblant de ne pas me voir... Les hommes réagissent mieux que les femmes. Ils me font souvent des compliments. » « On n’a pas besoin d’afficher ainsi son amour de l’Alsace, c’est une provocation », lui a fait savoir sèchement une dame. Ce n’est pas du tout l’avis de Marie-Louise. « C’est bien ce que vous faites, j’étais moi aussi à la manifestation de Strasbourg » , lui a déclaré cette retraitée de Dietwiller, croisée hier matin devant l’hyper U de Sierentz.

Madame, et si vous faisiez de même?

Christelle explique que son mouvement est aussi l’expression d’une frustration : celle de ne pas parler couramment alsacien. « On ne me l’a pas appris », se désole-t-elle.


( Source L'Alsace )

Conseil Municipal :École maternelle et dotations

Le déclassement du bâtiment de l’école maternelle, place de l’église à Buhl, était un des points à l’ordre du jour de la dernière séance du conseil municipal, sous la présidence du maire Fernand Doll.

 
Le bâtiment de l’école maternelle place de l’église à Buhl a été déclassé.
Photo  L’Alsace/Bernard Ehrard
 
 
Le conseil municipal de Buhl s’est réuni récemment sous la présidence de Fernand Doll pour statuer sur les points suivants.

Déclassement du bâtiment de l’école maternelle place de l’église : en effet, depuis la rentrée scolaire, aucun enseignement n’est délivré dans ces locaux. Ces derniers, n’étant plus affectés à l’usage d’un service public, peuvent être classés dans le domaine privé de la commune. Ce classement est le préalable nécessaire au processus de mise en vente. Néanmoins, le conseil municipal devra se prononcer à nouveau pour autoriser la cession du bâtiment lorsqu’un acquéreur se sera manifesté.
 
Régularisation domaniale : par la suite, les conseillers municipaux se sont prononcés en faveur d’une régularisation domaniale. En effet la société FTA, nouvellement propriétaire des immeubles et terrains de la friche Continental Biscuits, a proposé, pour l’euro symbolique, la cession de parcelles situées le long de la rue de la Fabrique. Dans les faits, ces parcelles faisaient déjà partie du domaine public routier (trottoirs). Elles seront donc, désormais, officiellement propriétés de la commune.
Location des baux de chasse : l’un des principaux points inscrit à l’ordre du jour était la location des baux de chasse. Les communes qui le souhaitaient devaient se prononcer avant le 31 octobre pour procéder à une location de gré à gré. La commune de Buhl a opté pour cette procédure, en renouvelant ces locations, dans les mêmes conditions (prix, surface, clauses particulières) que lors de la période précédente.
 
 Les adjudicataires sont donc, pour les neuf prochaines années, pour le lot no 1 de 71,39 ha, l’Association de chasse du Hugstein et pour le Lot no 2 : 250 ha, l’Association de chasse du Schimberg. Le maire a justifié ce choix en arguant du fait que pratique de la chasse s’est déroulée sans souci durant les neuf dernières années.
 
Il est à noter que cette délibération est venue clore une longue consultation préalable des propriétaires des terrains concernés lors de laquelle ils étaient invités à déclarer leur consentement quant à la cession du produit de la chasse sur leur propriété. La double majorité des deux tiers (propriétaires et surface) ayant été atteinte, la commune était donc autorisée à adopter cette délibération.
Baisse des dotations de l’État : par la suite, les élus buhlois se sont vu proposer deux motions. Si la motion proposée par le député contre la fusion entre les régions Alsace/Lorraine n’a pas recueilli tous les suffrages (sept voix pour, trois voix contre et 12 abstentions), la motion proposée par l’association des maires de France (AMF) visant à alerter les pouvoirs publics contre la baisse des dotations de l’État a été adoptée à l’unanimité.
 
Enfin, le conseil municipal a réservé un avis défavorable à la rénovation du réseau des sous-préfectures d’Alsace visant notamment à la suppression de la sous-préfecture de Guebwiller.


( Source L'Alsace )

25 octobre 2014

Vidange décennale de l’étang

Photo L’Alsace/Bernard Erhard

Samedi dernier, une vingtaine de membres de l’amicale des pêcheurs de Buhl se sont retrouvés à l’étang de pêche pour la vidange décennale.

« Tous les dix ans, notre étang est vidé pour éliminer la vase, cela nous permet également de mieux contrôler l’écoulement et de renforcer les berges. L’étang restera vide durant deux, trois mois, aussi en profiterons-nous pour mettre aux normes les lieux en construisant un ponton afin que les personnes à mobilité réduite puissent également en profiter et taquiner le poisson », résume Raymond Riethmuller le président de l’amicale. Lors de la vidange en plus des « hôtes habituels de l’étang », les pêcheurs ont capturé un superbe brochet et même des poissons du Rhin.

( Source L'Alsace )

23 octobre 2014

Déchets de fleurissement

Photo L’Alsace/Bernard Erhard


Lors de la dernière remise des prix aux lauréats du fleurissement, à Buhl, une promesse a été faite aux participants par la commission Fleurissement et environnement : pouvoir déposer les déchets du fleurissement estival aux ateliers municipaux.

Après les permanences des samedis 11 et 18 octobre aux ateliers municipaux pour le dépôt des fleurs fanées, une dernière permanence aura lieu ce samedi 25 octobre, de 9 h à 11 h.

Les Buhlois pourront ainsi continuer à fleurir sans payer pour les déchets générés. De nombreuses personnes ont profité de l’occasion qui leur a été offerte lors des deux permanences passées et se sont présentées en voiture et même avec une brouette, écologie oblige;

( Source L'Alsace )

22 octobre 2014

Un don de 1 000 € pour l’Arame

Tous les élèves du collège du Hugstein de Buhl ont participé au 5e cross de la solidarité, vendredi dernier, au stade à Buhl et dans le parc de loisirs du Florival.

Le tour de chauffe.  Photos L’Alsace/Bernard Erhard


Le collège du Hugstein, autour de l’équipe des professeurs d’EPS, a proposé son 5e cross, au profit de l’Arame, une association d’aide médicale et sociale en faveur d’enfants atteints d’affections malignes. Ils étaient plus de cinq cents collégiens à s’élancer, en trois vagues successives sur un parcours jalonné autour du stade et dans la zone de loisirs, en présence de Jean-Luc Tschenn, le président départemental de l’Arame. Au départ, successivement, les 5e et 4e , les 6e et finalement les 3e et adultes. Après chaque course, les trois premiers ont rejoint le podium pour les médailles or, argent et bronze, chez les filles et les garçons.

Grâce au don de chaque enfant participant, Jean Luc Tschenn s’est vu remettre un chèque d’un montant de mille euros par le principal Frédéric Brugger.

Le podium des 5 e et 4 e. Le podium des 5e et 4e.  Photo Bernard Erhard


Rappelons que l’objectif essentiel de l’Arame, depuis trente ans est de rendre supportable le traitement aux enfants et adolescents malades, traitement souvent long et pénible avec hospitalisations de plusieurs semaines. Aussi les membres de l’association mettent-ils tour en œuvre pour des conditions optimales : achat de matériel pédagogique, de jeux, de livres, de téléviseurs, de lecteurs DVD, d’ordinateurs, de housses de couettes et taies d’oreillers sur les thèmes des dessins animés, les webcams pour rester en relation avec leur famille ou l’école, téléphones, baby-foot. Ces dons permettent également d’apporter de l’aide aux familles et de soutenir les projets de recherche fondamentale.

L’association fête aussi les anniversaires, organise des sorties. Elle finance également l’intervention de plusieurs personnes : esthéticienne, informaticien, professeurs pour le soutien en activités scolaires.

( Source L'Alsace )

18 octobre 2014

CYCLO-CROSS : La MJC Buhl à la Coupe de France

Apprendre le métier

Dans la foule des concurrents de la 1ère manche de la Coupe de France de cyclo-cross disputée dernièrement à Besançon, quatre « petits » Buhlois, tous cadets 1ère année, qui ont été confrontés au niveau national et à la dure réalité du sport.


Antoine Burger et ses coéquipiers doivent profiter de la coupe de France pour se frotter à plus forts et gagner en expérience. PHOTO DNA


Dimanche dernier, à Besançon, sur le circuit de la Malcombe, la première manche de la Coupe de France de cyclo-cross (ex Challenge National) a rassemblé, toutes catégories confondues, 604 concurrents. Parmi les 189 (!) cadets en lice, quatre Buhlois faisaient leurs premières armes sur le plan national. Au vu des résultats, il n’y a évidemment pas de quoi pavoiser, le meilleur d’entre eux, Antoine Burger, émargeant seulement à la 113e place, à 8’47 du premier, mais dans le même tour que celui-ci. Ses camarades, très en retard, ont été arrêtés par les commissaires et sont classés à un (Quentin Rusch 140e) ou deux tours (Xavier Fischer et Théo Schoenn 164e et 167e).

À tête reposée, Thierry Fischer, le responsable jeunes de la MJCB, analyse lucidement la situation. « Oui, bien sûr, nous sommes déçus. Je pense qu’Antoine (Burger) n’est pas à sa place, il a le potentiel pour finir dans les points (le top 30). Mais d’emblée, il a eu un gros handicap, comme ses camarades d’ailleurs. Il est parti loin des premières places de la grille de départ, attribuées en fonction des résultats passés. Les cadets 2e année sont donc doublement avantagés car ils ont déjà participé l’an dernier au Challenge et ils peuvent avoir jusqu’à deux ans de plus que les plus jeunes de leurs camarades, donc être plus endurants ».

Une déception, mais…



Ensuite, Antoine Burger a été victime d’une chute quelques centaines de mètres après le départ, à la fin de la partie asphaltée, là où il fallait tourner à droite dans une prairie détrempée. Il y a un autre problème, celui des victoires remportées dans les compétitions FSGT, mais sans lendemain lors des grands rendez-vous nationaux de la FFC. Là encore, Thierry Fischer aborde franchement la question. « C’est sûr que ce n’est pas le même niveau. En Alsace, les clubs haut-rhinois sont affiliés à la FSGT, pas les Bas-Rhinois, on vit donc en vase clos. Certains coureurs (et leurs dirigeants) ont vite la grosse tête et montent ces succès en épingle. »

 La deuxième manche de la Coupe de France aura lieu le 16 novembre à Sisteron. « C’est loin pour un déplacement en plus nous organisons un cyclo-cross… FSGT la veille à Guebwiller. Mais si nous n’y allons pas, l’an prochain on sera de nouveau condamné aux dernières places sur la grille de départ », explique le coach avec un gros soupir !


( Source DNA par G.G )

17 octobre 2014

Denis Peter à l’honneur

Lors des journées d’octobre à Mulhouse, Denis Peter, boucher, charcutier et traiteur buhlois, a participé au concours du meilleur jambon d’Alsace. La corporation des bouchers, charcutiers et traiteurs d’Alsace, organisateurs de ce concours, a primé le Florivaliens avec la distinction suprême : la médaille d’or du meilleur jambon d’Alsace.


Le savoir-faire de l’équipe de Denis Peter a été reconnu et récompensé.
Photo L’Alsace/Bernard Erhard


 Pour Denis Peter c’est une belle récompense qui valorise son savoir-faire : « Cela fait plaisir car c’est une recette et un savoir-faire hérités de mon père ; nous tenons à ce que la tradition perdure, le jambon étant une tradition bien alsacienne. Cette distinction est le fruit d’un travail d’équipe, la salaison étant la spécialité de Jérémy. »

Le jambon présenté au concours a été élaboré à partir d’un porc fermier d’Auvergne, Label rouge. « Avant la dégustation finale, les étapes sont nombreuses : il faut découper la bête, désosser et parer, la partie la plus importante reste la salaison avec une saumure spécialité’’maison’’, puis le jambon est laissé au repos durant 24 heures avant une cuisson d’environ douze heures. Là, il est prêt à être consommé. » Le jambon présenté au concours, le même qu’à l’échoppe, a ensuite séduit le jury par son aspect, sa texture et bien sûr son goût.

Déjà primé avec un pâté en croûte


Denis Peter a participé pour la première fois au concours du meilleur jambon d’Alsace, bien que déjà primé (troisième prix) pour un pâté en croûte et médaillé d’honneur pour la saucisse de viande. Il reste un artisan qui fait vivre, voire revivre les traditions alsaciennes du goût.


( Source L'Alsace )

16 octobre 2014

Semaine du goût aux P’tits Rimlis

Fleurs, feuilles et sirops

 

L’écologue Cécile Billard, maman de l’un des jeunes pensionnaires de la microcrèche de Buhl, a partagé lundi avec les P’tits Rimlis sa passion des plantes sauvages.

Eduquer ses papilles aux saveurs des plantes sauvages. PHOTO DNA
  
La semaine du goût est une excellente occasion d’élargir dès le plus jeune âge la palette des saveurs des tout-petits. Les cinq plus grands ont pu goûter les fleurs et les feuilles que l’intervenante a récoltées avec soin, avant de fabriquer des bonbons avec ces mêmes plantes sous des regards curieux.
 
Les petits ont également eu l’occasion de déguster des sirops à base de plantes que Cécile Billard propose habituellement à la vente sur les marchés de montagne de la vallée du Florival. Pour terminer la matinée, les enfants de la microcrèche ont confectionné des brochettes de fruits au chocolat pour le goûter de l’après-midi.
 
Cette belle matinée de partage s’est poursuivie le lendemain matin par une récolte de châtaignes dans la forêt proche. Les enfants participeront encore toute cette semaine à la confection d’un gâteau à la cannelle et d’une quiche aux courgettes qui seront tous deux dégustés lors d’un goûter avec le plus grand bonheur
 
( Source DNA par GG )

12 octobre 2014

Journée Nationale des Aidants : Une vie sociale possible

Le centre de rencontres du Rimlishof, en partenariat avec l’APEH (Association d’Aide aux Parents d’Enfants Handicapés), a organisé jeudi un forum autour de deux thématiques sensibles touchant à la vie sociale des Aidants et au bouleversement des rôles familiaux.

 
Michèle Dietrich, fondatrice de l’APEH devant une nombreuse assistance. Photo DNA
  
Cette journée de conférences, d’informations et de débats s’adressait autant aux aidants familiaux ayant des enfants malades ou en situation de handicap, qu’à tous ceux qui accompagnent au quotidien des personnes malades ou âgées. Plus de 40 personnes se sont réunies, familles, professionnels et associations, afin de participer à cette rencontre qui s’inscrivait dans le cadre de la Journée Nationale des aidants. 

Après un accueil chaleureux du directeur du Rimlishof Alain Nussbaumer ainsi que de la coordinatrice de Projets Claire Matter, Michèle Dietrich, fondatrice de l’APEH, Marie-Laure Bouchard de l’OCH (Office Chrétien des Enfants Handicapés) et Claire Schmitt, psychologue à l’APEH ont tour à tour présenté leurs actions et leurs réflexions en faveur des aidants. Dans son intervention, Elisabeth Dupeux-Weber, conseillère conjugale et familiale à la MFA (Mutuelle Française d’Alsace), a décrit de manière très juste les difficultés rencontrées par les parents d’enfants handicapés pour lesquels la vie sociale ne va pas de soi. Ainsi, sortir de la bulle familiale, être confronté au regard des autres, se rencontrer entre amis, prendre du temps pour l’autre dans la relation de couple ou encore tout simplement prendre un peu de temps pour soi-même, tout cela peut plonger l’aidant dans une réalité seconde et lui faire vivre une réelle souffrance sociale.
 


« Respire-sitting »


Des solutions existent. Il paraît indispensable à Elisabeth Dupeux-Weber que ces parents puissent avoir la possibilité de mettre des mots sur ce qu’ils vivent, de rencontrer des personnes et d’échanger en confiance, de prendre la réalité d’eux-mêmes. « Plutôt que de se mettre en retrait, il s’agira de développer des stratégies de sociabilité, de porter son statut comme un plus dans une société qui inclue la différence ». Dans le développement de la thématique du droit légitime au répit et du « respire-sitting », l’aidant doit pouvoir rester en lien avec le monde extérieur. Parmi de nombreux partenaires, sociétés d’assurance, associations ou mutuelles telle la MSA, le centre de rencontres du Rimlishof a évoqué un programme varié autant en direction des Aidants que des Aidés, à l’image notamment des séjours adaptés, d’un nouveau séjour itinérant sur les hauts plateaux du Vercors ou encore des mini-séjours de répit.

 
Renseignements : 

Rimlishof : 0389768210. Internet : www.rimli.com 
Michèle Dietrich : 0970446929 ; 
APEH, 0953670595 ; 19 rue de Thiergarten – 67000 Strasbourg. Internet : www.apeh.fr


( Source DNA par CG )

7 octobre 2014

Un livre de photographies : L’Alsace et ses merveilles

La photographie est peu à peu devenue une passion pour Daniel Saltzmann, épris de nature et de randonnée. Chacun des clichés de son premier livre se veut être un éloge à la beauté.

Le photographe Daniel Saltzmann présente son premier ouvrage. PHOTO DNA
 
 
C’est mon père qui m’a donné le goût de l’aventure », confie le photographe autodidacte. Pour Daniel Saltzmann, chaque photographie est vécue comme un challenge nouveau et s’inscrit dans une histoire, une démarche de recherche de perfection dans laquelle le résultat n’est jamais acquis d’avance. Si à l’aide de deux mots clés il fallait déterminer le caractère du photographe animalier, cela serait bien à la fois la persévérance et l’endurance qui viendraient d’emblée à l’esprit. Face à la huppe fasciée, au martin-pêcheur ou au papillon multicolore, Daniel Saltzmann s’interroge : « Cette beauté serait-elle vraiment la seule résultante du hasard ou de l’évolution des espèces » ?
 

Sur les hauteurs du Florival et au Grand Ballon



Avec son matériel modeste au départ et ensuite de plus en plus perfectionné, le Buhlois explore avec patience un environnement naturel de proximité sur les hauteurs du Florival ou vers le Grand Ballon, un secteur que ce dernier affectionne particulièrement. En absence de tout élément perturbateur, les angles de prise de vue sont choisis avec soin dans le but de fixer et de valoriser au mieux le sujet, sur un fond le plus neutre possible.

Une réédition du livre est déjà en cours et les projets d’avenir ne manquent pas. La motivation reste forte pour Daniel Saltzmann qui cherche aujourd’hui à faire partager ses émotions avec un public plus large, grâce à un concours photos à St Amarin, à une exposition d’une centaine de ses plus belles images début janvier 2015 au Cercle de Buhl, ou encore à une journée dédicace à l’Espace culture (Leclerc) d’Issenheim.

Renseignements : Daniel Saltzmann ✆ 06 58 51 69 88
 
( Source DNA )

2 octobre 2014

Sortie annuelle des donneurs de sang


L’Association des donneurs de sang bénévoles de Buhl a organisé dimanche dernier sa sortie annuelle. C’était l’occasion de se retrouver entre donneurs à l’auberge du Steinlebach et de profiter d’un magnifique soleil d’automne pour une petite randonnée.

Ils donnent rendez-vous à leur prochaine collecte de sang qui aura lieu le lundi 1er décembre,de 16 h 30 à 19 h 30, dans la salle du Cercle de Buhl (rue du 5-Février

( Source L'Alsace )