Aidant… un métier ?
Le centre du
Rimlishof s’est une nouvelle fois mobilisé aux côtés de l’APEH
(Association d’Aide aux Parents d’Enfants Handicapés) pour s’inscrire
activement dans la 5e Journée Nationale des Aidants.
Mme Frieh-Chevroton, a donné des informations très concrètes sur les missions de la MDPH. DNA – CG |
« L’organisation de cette journée doit rester un temps fort pour
l’ensemble de notre société », ont affirmé Alain Nussbaumer, directeur
et Claire Matter, coordinatrice de projets du Rimlishof. Rappelons que,
conformément à sa volonté de s’ouvrir à tous, le centre a récemment
aménagé le bâtiment de l’Arche, afin de mieux s’ouvrir encore à la
différence et au handicap. Cette journée de conférences, d’informations
et de débats s’adressait aux personnes en situation de handicap, à leurs
aidants, aux associations, ainsi qu’à toute autre personne concernée
par le sujet.
Après un accueil chaleureux du directeur, Michèle Dietrich, Fondatrice et Présidente de l’APEH, Claire Schmitt psychologue, ainsi que Mme Frieh-Chevroton, infirmière à la MDPH ont tour à tour prodigué des conseils et présenté leurs actions menées en faveur des aidants.
D’autres organismes se sont également fait connaître aux participants à l’image du REAAP68 (Réseau Écoute Appui et Accompagnement des Parents), du CICAT (Centre d’Information et de Conseil en Aides Techniques), du réseau APA, de l’espace d’accueil « Elan, c’est vous », de la conseillère familiale Marie-Jeanne Siegwalt ou encore du groupe associatif « Siel Bleu » accompagnant les personnes en situation de handicap dans des pratiques sportives. L’on a également noté la présence de quelques structures susceptibles d’apporter du soutien aux aidants à l’image de l’assurance Allianz.
Le thème 2015 de la journée nationale intitulé « Aidant… un métier ? » n’a pas manqué d’intéresser de nombreux participants. Claire Schmitt, psychologue à l’APEH a tenté d’aborder cette question délicate avec beaucoup de finesse et d’humilité. Être aidant, est-ce un métier ? La réponse n’est pas si simple. On est d’abord parent ou conjoint avant-même de devenir aidant. Peut-on alors se mettre soi-même suffisamment à distance à l’instar d’un professionnel ? Se posent également les problèmes de formation, de reconnaissance financière ou de statut social. Être aidant reste « un métier très particulier » dans lequel l’on retrouve tous les inconvénients de ce dernier sans pouvoir profiter pour autant de ses quelques avantages.
En conclusion Claire Schmitt encourage les aidants à s’inscrire le plus possible dans des groupes de parole qui peuvent les aider à se placer à distance. Il conviendrait également de faire en sorte que l’aidé ne soit pas dépendant d’une seule personne. Un forum comme celui de jeudi aura sans aucun doute contribué à redonner un peu de courage à ceux qui se sentent souvent un peu seuls face aux difficultés de leur mission quotidienne.
Après un accueil chaleureux du directeur, Michèle Dietrich, Fondatrice et Présidente de l’APEH, Claire Schmitt psychologue, ainsi que Mme Frieh-Chevroton, infirmière à la MDPH ont tour à tour prodigué des conseils et présenté leurs actions menées en faveur des aidants.
D’autres organismes se sont également fait connaître aux participants à l’image du REAAP68 (Réseau Écoute Appui et Accompagnement des Parents), du CICAT (Centre d’Information et de Conseil en Aides Techniques), du réseau APA, de l’espace d’accueil « Elan, c’est vous », de la conseillère familiale Marie-Jeanne Siegwalt ou encore du groupe associatif « Siel Bleu » accompagnant les personnes en situation de handicap dans des pratiques sportives. L’on a également noté la présence de quelques structures susceptibles d’apporter du soutien aux aidants à l’image de l’assurance Allianz.
Le thème 2015 de la journée nationale intitulé « Aidant… un métier ? » n’a pas manqué d’intéresser de nombreux participants. Claire Schmitt, psychologue à l’APEH a tenté d’aborder cette question délicate avec beaucoup de finesse et d’humilité. Être aidant, est-ce un métier ? La réponse n’est pas si simple. On est d’abord parent ou conjoint avant-même de devenir aidant. Peut-on alors se mettre soi-même suffisamment à distance à l’instar d’un professionnel ? Se posent également les problèmes de formation, de reconnaissance financière ou de statut social. Être aidant reste « un métier très particulier » dans lequel l’on retrouve tous les inconvénients de ce dernier sans pouvoir profiter pour autant de ses quelques avantages.
Pas dépendant d’une seule personne
En conclusion Claire Schmitt encourage les aidants à s’inscrire le plus possible dans des groupes de parole qui peuvent les aider à se placer à distance. Il conviendrait également de faire en sorte que l’aidé ne soit pas dépendant d’une seule personne. Un forum comme celui de jeudi aura sans aucun doute contribué à redonner un peu de courage à ceux qui se sentent souvent un peu seuls face aux difficultés de leur mission quotidienne.
Rimlishof : 03 8976 82 10. Internet :
www.rimli.com. Michèle Dietrich : 09 70 44 69 29 ; APEH, 09 53 67 05 95 ;
19 rue de Thiergarten – 67000 Strasbourg.
www.apeh.fr
( Source DNA )
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