Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

Cette page d'informations concernant Buhl n'est pas une émanation des Élus de la Municipalité de Buhl ni au service de ces derniers.


Réalisation et Conception du Blog : Jean-Marc Coquelle

30 juillet 2014

Football : Ambitions buhloises

Le coach Roger Eloidin (à gauche) et ses joueurs comptent jouer cette saison dans le haut du tableau. Photo Bernard Biehler


Le FC Buhl, qui a engagé quatre équipes seniors en championnat, a repris l’entraînement pour préparer, notamment pour son équipe première, une saison pour laquelle il nourrit certaines ambitions. Le club du président Laurent Simonklein a renouvelé sa confiance à l’entraîneur Roger Eloidin, qui avait succédé au cours de la saison dernière à Denis Metzger.

Cette saison, les Buhlois espèrent sortir de la Division 3 mais, avec la nouvelle refonte des pyramides mise en place avec l’intégration de quelques équipes secondes dans le groupe, la tâche s’annonce difficile. Pour relever ce défi, le FC Buhl peut compter sur un effectif qui n’a pas trop subi de mouvements lors de la trêve.

( Source L'Alsace )

26 juillet 2014

Course d’orientation - Trois jours de découverte

Le club de course d’orientation du Buhl-Florival (COBF) proposait dernièrement le festival de course d’orientation O’Florival.
 

Samedi, les parcours emportaient les orienteurs vers les carrières de Buhl. PHOTO DNA

L’occasion, à Buhl, de la pratiquer pour les passionnés, et de la découvrir pour les novices.

Pendant la fête nationale, certains avaient les yeux au ciel. Les presque 400 participants aux courses du festival – dont beaucoup d’Allemands et de Suisses – se partageaient entre leur carte et la nature. Trois épreuves étaient réservées aux licenciés, le samedi, le dimanche et le lundi, en moyenne et longue distance. Deux étaient ouvertes aux novices, dimanche. En nocturne, et diurne, en 10 et 5 kilomètres. Sur la place du marché, des animations, comme un labyrinthe, permettaient de s’initier aux subtilités de la CO.


La météo alternant averses et franc soleil n’aura pas trop perturbé les épreuves, dont les parcours se partageaient entre les deux flancs de la vallée, et la cité buhloise pour la nocturne. La satisfaction générale, et la présence de près de 30 % de personnes venant découvrir la course d’orientation ont assuré un festival réussi, témoignage d’une discipline qui gagne des adeptes.

( Source DNA )
 

25 juillet 2014

Un nid douillet perché dans les arbres

La Campalune est un mode d’hébergement écologique niché dans la forêt buhloise. Une chambre d’un nouveau genre pour changer d’air à cinq mètres du sol. Un premier essai pour Alain Nussbaumer qui songe à développer tout un village de logements atypiques.

 
Alain Nussbaumer à la fenêtre de sa Campalune qui offre une vue à 360 degrés au cœur de la forêt de Buhl  Photos Morgane Schertzinger
 
 

Un projet ambitieux monté par deux concepteurs drômois que le Buhlois Alain Nussbaumer a soutenus. « Ils ont créé une tente suspendue et ont réalisé le prototype. Quand ils nous l’ont présentée, on s’est engagé dans l’aventure avec eux » , explique le directeur du centre de vacances du Rimlishof. « C’est un concept qui plaît bien. Les cabanes dans les arbres, ça devient un peu plus classique, là avec la Campalune ça bouge un peu plus ! » , plaisante-t-il.

On a passé deux nuits à faire une chasse aux étoiles filantes
 
Telle une fleur, la Campalune s’ouvre pour laisser entrer la lumière dans ce petit espace de repos. Un lit douillet, une table, quatre tabourets et surtout des lampes LED et à dynamo pour éclairer les nuits les plus sombres. Dans les arbres, ni eau ni électricité ne viennent alimenter la Campalune. « On s’était posé la question d’installer l’électricité ou internet, mais on s’est dit que si les gens venaient ici, c’était justement pour couper avec le quotidien et être au calme » , précise Alain Nussbaumer.

« Mais il y a quand même du réseau là-haut ! » , affirme en rigolant Eric Brondani, venu tester récemment la Campalune. Ce papa de Guewenheim a déjà séjourné à Buhl deux fois avec sa fille Camille, âgée de 12 ans. « J’ai trouvé la Campalune par hasard en cherchant une cabane sur internet, et aucune autre n’était disponible. On a donc choisi de se loger à Buhl et c’était très positif, super bien. » Le parti pris de la Campalune est d’être au plus près de la nature. Placée en lisière de forêt, elle permet de passer des nuits calmes, hors du commun. « Avec ma fille, on a passé deux nuits à faire une chasse aux étoiles filantes , raconte Eric Brondani. Et comme il n’y avait pas d’électricité, on se promenait avec la lampe de poche frontale. Imaginez avec une enfant de 12 ans, elle était à fond ! ». Camille a d’ailleurs tellement apprécié l’expérience qu’elle en parle à toutes ses copines. « Je pense y retourner en août , admet le papa. Ma fille en a parlé à une autre copine… Je vais devenir ambassadeur de la Campalune si ça continue ! » , plaisante-t-il.

Le matin, l’écureuil est carrément rentré dans la chambre
 
Qui dit nature dit aussi confort à l’intérieur de la Campalune : « En fait, on propose de vivre quelque chose d’autre, de hors norme, de cosy, mais sans en avoir trop non plus » , explique le directeur. Le matin, Alain Nussbaumer livre le petit-déjeuner à ses clients grâce à une poulie permettant de le faire monter jusque dans les arbres. Les utilisateurs ont droit à du pain, des croissants, de la confiture, et parfois même à la visite d’un écureuil, petit curieux qui s’invite au saut du lit. « Le matin, l’écureuil est carrément rentré dans la Campalune » , rapporte Eric Brondani, encore étonné. Pour Alain Nussbaumer, c’est « le petit cadeau en plus » de l’hébergement, mais pas toujours garanti.

Du bois et de la laine de verre : les matériaux respectent l’environnement.
 

Depuis sa construction en septembre 2013, la Campalune affiche complet presque tous les week-ends. Un succès qui encourage Alain Nussbaumer à développer un village de logements atypiques. « Il y a encore de la place là devant pour installer des roulottes ou des yourtes », détaille le directeur. « C’est un vieux rêve ! J’ai découvert ce type d’hébergements lors d’un voyage au Canada, et là-bas ça existait depuis longtemps déjà » , précise-t-il.

Le développement de ce projet devrait se faire étape par étape. « Il faut trouver des investisseurs, c’est coûteux. Une Campalune coûte environ 20 000 €. Et il faut du temps pour réaliser un rêve comme celui-là » , souligne Alain Nussbaumer. Dans l’immédiat, le directeur du Rimlishof envisage d’installer des sanitaires, toilettes sèches et douches, réservés aux utilisateurs de la Campalune.

Ces derniers se lavaient jusqu’à présent dans les sanitaires du centre de vacances du Rimlishof, situé à quelques dizaines de mètres. Et pour rendre l’endroit encore plus accueillant pour tous, Alain Nussbaumer a l’intention de rendre la Campalune accessible aux personnes à mobilité réduite. Il envisage « d’ici à l’année prochaine, la construction de deux ou trois hébergements supplémentaires. » Pour qu’entre avril et octobre, tout un village soit habité.

Y ALLER Campalune 3, rue du Rimlishof à Buhl. Nuitée pour deux personnes avec petit-déjeuner : 110 €. Quatre personnes maximum, lit supplémentaire 20 ou 40 €. Renseignements et réservations au 06.51.76.00.26 ou par mail à info@campalune.fr

SURFER www.campalune.fr


( Source L'Alsace par Morgane Schertzinger  )

23 juillet 2014

Spectacle : invitation à la poésie au Rimlishof

Pour sa 25e comédie musicale, Alain Nussbaumer, le directeur du Rimlishof à Buhl, a choisi le livre de François Garagnon « Jade et les sacrés mystères de la vie » pour présenter une mise en scène pleine de poésie. Le spectacle sera amené sur scène, à l’Espace Grün de Cernay, vendredi 25 et samedi 26 juillet par une troupe de 82 enfants.

 
 
 
Ils ont hâte de monter sur scène. Vendredi et samedi, la troupe de la colonie de vacances du Rimlishof de Buhl, s’emparera de l’Espace Grün de Cernay pour un spectacle poétique. Un spectacle inspiré du conte philosophique « Jade et les sacrés mystères de la vie » qu’Alain Nussbaumer, le directeur, a beaucoup apprécié lorsqu’il l’a découvert il y a vingt ans. « Ce livre m’a beaucoup marqué par les idées qu’il véhicule, parce qu’il touche tout le monde. C’était un vieux rêve de le mettre en scène » avoue-t-il.

Un rêve devenu réalité pour ce 25e spectacle du Rimlishof. Les 82 enfants, âgés de 7 à 15 ans, ont été répartis dans cinq ateliers artistiques pour préparer au mieux ce spectacle. Stéphanie Mango, collaboratrice de l’équipe depuis six étés, a repris la mise en scène en main. « On a séparé le personnage de Jade en six. Cela permet à plusieurs jeunes filles de jouer le rôle principal, ce qui serait plus difficile à tenir pour une seule personne surtout en moins de deux semaines de préparation. » Et de reprendre : « Et Jade pourrait être n’importe quelle petite fille. Elles sont toutes différentes, n’ont pas la même couleur de peau, ni le même âge et ont une énergie différente, elles amènent donc toutes leur petit plus au personnage. Elles ne jouent pas entre elles, mais pour le public », explique Stéphanie Mango, en pleine répétition avec ses élèves.
 
Lise-Marie, 13 ans, entre dans le personnage
de Jade sous l’œil bienveillant de
Stéphanie Mango, animatrice de l’atelier théâtre.
 
Lise-Marie Camatchy, 13 ans, interprétera l’une des Jade pour sa première année à l’atelier théâtre : « Au théâtre, on peut vrai ment se sentir comme dans la vraie vie, on se libère sans avoir peur d’être ridicule, parce que les autres partagent la même passion que soi. C’est vraiment super d’être avec toutes ces personnes », confie la jeune Strasbourgeoise, émerveillée.
 

Chants et danses se mélangent

À l’atelier chant, les répétitions vont bon train. « Ça fait vraiment plaisir d’apprendre les voix, sourit Nicolas Le Moine, jeune Alsacien de 13 ans, habitué de la colonie. Je suis toujours à la même place depuis cinq ans : à gauche, tout devant ! », rigole-t-il. Une place de choix, au plus près de leur animatrice, Virginie Pacheco, venue spécialement du Canada pour les entraîner. « Le chant est évidemment le cœur du spectacle », plaisante-t-elle. Impossible en effet d’imaginer une comédie musicale sans chant, ni sans danse.



Univers poétique et réflexion philosophique

 
 
Un univers poétique, une mise en scène épurée et une réflexion philosophique. Ce que découvriront les spectateurs cette année, n’a rien à voir avec ce que le Rimlishof avait déjà pu proposer dans le passé. À l’atelier décor, les animateurs et les enfants s’attellent à la préparation des nuages, de l’avion, ainsi que de la couronne et du trône du roi. Les enfants montent l’ensemble du spectacle et laissent, pendant ce séjour pas comme les autres, leur créativité s’exprimer. « Les jeunes sont demandeur pour créer. C’est encourageant pour eux et pour nous, souligne Sandra Garenton, animatrice. On voit qu’ils prennent plaisir », sourit-elle.

Ce spectacle est un rêve et un défi pour Alain Nussbaumer et toute l’équipe artistique. « C’est un défi de mettre en avant ce côté poétique et moins aventureux dans un spectacle. Le texte a beaucoup plus d’intensité, c’est une grande difficulté. Certaines personnes étaient perplexes, mais ça nous a amenés à repenser notre manière de faire » , précise le directeur. Le spectacle de cette année est une libre adaptation du conte de François Garagnon, « Jade et les sacrés mystères de la vie ». Un choix adopté par son auteur, enthousiaste à l’idée que son livre donne lieu à une comédie musicale, où chants et danses donneront vie à ses écrits.

Y ALLER « Jade et les sacrés mystères de la vie », à l’Espace Grün de Cernay vendredi 25 et samedi 26 juillet. 
Billetterie : 16 € pour les + de 12 ans, 12 € pour les – de 12 ans. 
Renseignements, Alain Nussbaumer au 03.89.76.82.10 ou au 06.51.76.00.26. Site : www.rimli.com
 ( Source L'Alsace par Morgane Schertzinger )

17 juillet 2014

Course d’orientation : Plus de quatre cents compétiteurs à Buhl

Le COBF a accueilli, ce week-end plus de 400 compétiteurs de la région mais également de plusieurs pays européens.

 
Dernière borne avant le sprint d’arrivée. Photos Bernard Erhard
Samedi, dimanche et lundi, plus de 400 compétiteurs et compétitrices de tout âge ont été accueillis par le club du COBF (Course d’Orientation Buhl Florival) venus de dix pays étrangers dont l’Ukraine, la Suède, la Grande Bretagne, la Belgique, la Suisse, l’Allemagne.

Xavier arpente le labyrinthe avec son papa.
 Xavier avec son papa dans le labyrinthe.
Dans l’ensemble, la plupart ont été épargnés par la pluie, pouvant ainsi découvrir les carrières de Buhl en moyenne distance, le massif du Péternit au Hugstein pour la longue distance, mais aussi les coins et recoins de la cité Saint-Jean lors de la nocturne et de l’épreuve du sprint. L’ensemble des coureurs ont été très satisfaits de l’organisation et appréciant les formats de course demandant de leur part une lecture précise de la carte dans les carrières ; un choix judicieux de l’itinéraire de la longue distance pour éviter trop de dénivelés ; une stratégie appropriée pour marquer le plus de points et rentrer dans les temps pour la course nocturne ; enfin une orientation et de rapides décisions pour le sprint en ville.

Malgré l’énorme travail d’organisation quelques jeunes Buhlois se sont distingués.
Justin Renaud : 1er au sprint (en H14) et 2e en moyenne distance ; Florence Hanauer : 1re au sprint et longue distance, mais battue par une Suédoise en moyenne distance ; Philippe Isidore (en H 14) : 1er à la longue alors que Mathis Desmau, Sébastien Hanauer, et Anathael Dott constituent le triplé victorieux à la course de nuit.

Parcours découvertes



Parallèlement aux courses proprement dites, le COBF propose également des parcours découvertes, avec des jeux découverte orientation pour les petits, le labyrinthe pour les débutants et deux rando orientation de 5 et 10 km pour les marcheurs.

Les jeux de découverte pour les petits. Les jeux de découverte pour les petits.

Ces activités découvertes ont été un peu tributaires du temps et du passage du Tour de France dans la vallée. Cependant, le président, François Hueber, s’est montré très satisfait avec un bilan des plus positifs dont on retiendra la belle participation étrangère et la bonne organisation grâce à la détermination des bénévoles.



( Source L'Alsace )


 

12 juillet 2014

Inondations à Buhl .

Les sapeurs-pompiers ont procédé, hier, au dégagement de la bouche d’égout à Buhl.  Photo Jean-Marie Schreiber

 
Les fortes pluies qui se sont abattues hier en milieu de journée sur la région ont provoqué des inondations à Buhl, où les sapeurs-pompiers sont intervenus une douzaine de fois pour des épuisements de caves et de locaux.

À la sortie de Buhl vers Guebwiller, le fossé séparant la RD 430 de la zone d’activités a débordé, en raison d’une buse bouchée par des herbes et d’autres déchets végétaux. Le fossé une fois rempli, l’eau s’est écoulée jusque sur la chaussée. Les pompiers ont eu du mal à trouver la bouche d’égout et à la dégager.


Intervention .Photo Jean-Marie Schreiber


(Source L'Alsace )

11 juillet 2014

Micro-crèche du Rimlishof : Fête d’été des pt’its Rimlis

Bastien, 19 mois, ne cache pas sa joie à la sortie du tunnel enchanté.

Quatorze pt’its Rimlis ont participé avec beaucoup de plaisir à la fête d’été qui a été organisée pour eux dans l’espace verdoyant Arc-en-Ciel du Rimlishof. Les parents se sont largement investis sous la houlette d’Aurore Pellerin, responsable de la micro-crèche, en présence d’Alain Nussbaumer, directeur du centre et Claire Matter, coordinatrice de projets. Jeux de quilles, manipulations d’instruments de percussion, parcours de motricité avec espace pieds nus, firent le bonheur des petits pensionnaires en cette veille de vacances.

( Source DNA )
 

10 juillet 2014

Justice : Il fume du cannabis en cellule avant d’être jugé pour des violences

La chambre des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Colmar est souvent amenée à se pencher sur des dossiers de violences conjugales, plus rarement sur des affaires de violences sur ascendant. C’était pourtant le cas, hier. Un habitant de Buhl âgé de 21 ans était jugé pour deux épisodes de violences sur son père, dans la nuit du 31 mars au 1er avril et le 12 juin dernier.



C’est suite aux faits de juin que le jeune homme a été interpellé. Il a expliqué aux enquêteurs être en situation conflictuelle avec son père. Au mois de mars, il a fait tomber son père et lui a asséné un coup de pied au niveau des côtes, lui occasionnant une fracture. Hier, alors que la présidente lui demande de s’expliquer, le prévenu semble dans les vapes. « Vous avez pris quelque chose avant de venir ? », lui demande la présidente. « En cellule, on m’a fait fumer du cannabis », répond-il. La tentative de sevrage aux produits stupéfiants par le jeune majeur serait un des éléments de déclenchement des crises de violence sur son père. Lors de l’enquête, le prévenu a également dit que son père le battait lorsqu’il était adolescent. Présente à l’audience, la victime a tenu à donner sa version : « Il dit qu’il a été maltraité, mais ce sont des mensonges ».

La représentante du parquet a trouvé l’attitude du prévenu « inquiétante », tout comme certains propos qu’il a tenus lors de sa garde à vue. Pour elle, « l’éloignement du prévenu avec son père est absolument nécessaire ». Elle a requis une peine de 18 mois de prison, dont neuf mois avec sursis et mise à l’épreuve (SME), et un maintien en détention. Pour la défense, Me Claire Goudmand a parlé d’un « contexte singulier, très singulier » : « On est face à une famille complètement éclatée ». Le conseil estime que la prison n’est pas « la meilleure voie sur laquelle on puisse le mettre ».

 Le tribunal, lui, n’a pas vu d’autres alternatives, l’envoyant en prison pour six mois ferme (il a été condamné à 14 mois de prison, dont 8 mois avec SME).


( Source L'Alsace )

Course orientation : Festival O’Florival autour du massif

Le COBF (Club d’orientation de Buhl et Florival) ouvrira grand ses portes, du 12 au 14 juillet, à tous ceux qui souhaitent pratiquer, découvrir ou s’initier à la course d’orientation, dans le cadre du festival O’Florival.

 
Un week-end pour les coureurs d’orientation, débutants ou confirmés. PHOTO DNA – M.K.
 
Les organisateurs proposent ce moment sportif et ludique à la fois aux compétiteurs aguerris et aux novices petits et grands.

Le COBF emmènera les participants sur les massifs autour de Buhl avec trois courses en compétition comptant pour le classement national, ainsi que des randonnées d’orientation et des parcours d’initiation.

Le programme


Toutes les courses partent de la place du marché à Buhl.

Courses pour les licenciés (classement national). – Samedi 12 juillet (moyenne distance à 15 h), dimanche 13 juillet (longue distance à 9 h), lundi 14 juillet (sprint à 9 h).

Course au score en nocturne (ouvert aux non-initiés). – Dimanche 13 juillet à 21 h 30.
Rand’O (randonnée d’orientation ouverte aux non-initiés). – Dimanche 13 juillet, départ libre entre 9 h 30 et 10 h 30 pour le circuit long (10 km) et jusqu’à 11 h 30 pour les circuits courts et moyens (5 km).

Et aussi. – Parcours de découverte, tout le week-end ; jeux d’orientation pour tous (labyrinthe, labo photo, etc.) ; buvette et tartes flambées.

 

( Source DNA )

8 juillet 2014

Périscolaire : Camping à l’école

Trente-six élèves ont campé derrière l’école Koechlin. PHOTO DNA - M.K.

Trente-six enfants du périscolaire de Buhl ont passé la nuit de mardi à mercredi dans le jardin de l’école Koechlin, avec quatre animatrices de la structure. Une façon originale, pour ces jeunes de six à douze ans de clôturer l’année scolaire. Avec pizzas, jeux, chants et chamallows autour du feu de camp, dans l’enceinte d’un établissement qu’ils fréquentent. Après la nuit passée sous la tente, les parents, étaient invités à partager un petit-déjeuner, tôt le lendemain.


( Source DNA )

Giovanni Colicchio a fêté ses 80 ans

Giovanni Colicchio a fêté samedi, ses 80 ans, entouré de toute sa famille : six enfants et les conjoints, quatorze petits-enfants et trois arrières petits-enfants.

 
Giovanni Colicchio a fêté ses 80 ans. Photo Bernard Erhard

 
Fils de Vito Rocco Colicchio et de Michela Consiglia, Giovanni Colicchio a vu le jour le 5 juillet 1934 à Vallata, un petit village du sud de l’Italie. Il est arrivé en France le 1er juillet 1958, débutant comme bûcheron, ce qui lui a permis de s’établir à la ferme de Thierenbach, où logeaient déjà ses frères. Après sept années de travail en forêt (il a même été schlitteur), il a travaillé à la scierie Claudel à Guebwiller, puis comme maçon chez Mader, avant de retrouver la forêt. En 1971, il est entré à Peugeot Mulhouse où il est resté vingt-deux années avant de bénéficier d’une retraite bien méritée.

En 1959, le 1er février, il a uni sa destinée à celle d’Assunta Fischetti à Vallata. Le couple a eu six enfants : Géraldine, Vito, Micheline, Nathalie, Daniel et Virginie. Assunta, mère au foyer, a élevé ses enfants et continue aujourd’hui à gâter petits-enfants et arrières petits-enfants. Les époux Colicchio ont fêté leurs noces d’or en 2009.

Côté loisirs, l’on rencontre de temps en temps Giovanni Colicchio au club de pétanque de Guebwiller, dont il est membre depuis trente années.

L’Alsace souhaite un joyeux anniversaire à Giovanni Colicchio et lui souhaite de passer encore de belles années auprès de sa famille.

( Source L'Alsace )

7 juillet 2014

Piémont haut-rhinois : Olivier Guth ne surprend pas Adrien Vuillier

Le coureur du VC Sainte-Croix-en-Plaine Olivier Guth a remporté la 3e et dernière étape du Tour du Piémont haut-rhinois hier à Buhl, sans inquiéter le leader du général Adrien Vuillier, 1er du chrono matinal.

Adrien Vuillier a fait honneur à son maillot jaune de leader du Tour du Piémont haut-rhinois. Photo Bernard Biehler
  
Le Tour du Piémont haut-rhinois livre un beau scénario, à ceci près que le contre-la-montre en côte a figé les places de la course ouverte aux seniors 2, 3 et juniors chez les leaders. C’est ainsi qu’Adrien Vuillier a construit son succès sur cette édition 2014 en homme fort. Après avoir dépouillé le Suisse Johan Jacobs de son maillot jaune endossé la veille à Feldkirch en couvrant les 5,3 kilomètres en 14’40’’ avec le dauphin eckwersheimois Bour à 17 secondes. Le Franc-Comtois de la Roue d’or de Noidans a contrôlé ses adversaires l’après-midi, dès que le relief s’est accidenté au couvent Saint-Marc.
 
C’est à cet endroit qu’Olivier Guth a construit son succès pour rester en tête en solitaire jusqu’à la ligne d’arrivée à Buhl. « J’ai pensé à Danièle (Troesch, sa compagne) pour ne pas baisser les bras sur deux heures d’effort , a-t-il concédé après avoir exulté en coupant la ligne. Après mon attaque, j’ai attendu, mais comme personne ne revenait, j’ai insisté. J’ai eu un peu peur au pied du Bannstein, mais j’en ai remis une. J’ai l’habitude des efforts solitaires avec le VTT ». Solide 2e catégorie du team Batibois, Olivier Guth a touché les fruits de son investissement.

Visage émacié


C’est aussi le cas d’Adrien Vuillier, qui affectionne l’Alsace après avoir déjà gagné l’an passé à Gueberschwihr. Avec le visage émacié, le Haut-Saônois a accompli des sacrifices, qui lui ont permis de jouer de son physique dans les ascensions. « L’an dernier, j’avais fini troisième avec le maillot vert, là j’avais l’ambition de gagner , a-t-il reconnu. L’équipe a bien roulé pendant plus de cinquante kilomètres, après c’était à moi de jouer. Avec des juniors à Noidans, on construit quelque chose et ils ont beaucoup appris aujourd’hui. Je suis content pour le club ».
 
En assumant ses responsabilités, Adrien Vuillier n’en a donné que plus de saveur à son succès dans ce très convoité Tour du Piémont haut-rhinois organisé par la MJC Buhl. « Le niveau était plus relevé cette année, avec quinze-vingt gars qui pouvaient gagner , savoure le Franc-Comtois. Dans le deuxième grimpeur, on s’est fait la bagarre avec Jacobs et Didelot. Mais c’était surtout dans le contre-la-montre que je m’étais testé, je n’avais plus qu’à gérer ». Avec d’autres succès et places d’honneur, Adrien Vuillier est assuré d’évoluer en 1re catégorie la saison prochaine pour continuer à jouer son rôle de capitaine de route à la RO Noidans. Un homme en or.

( Source L'Alsace  Gilles Legeard )

Les délicieuses tartes flambées des sapeurs-pompiers

Photo Bernard Erhard
 La place du dépôt des sapeurs-pompiers de Buhl s’était remplie progressivement, samedi, lors de la 9e édition soirée tartes flambées de l’amicale des hommes du feu de Buhl.
La solidarité des Florivaliens et des associations buhloises a joué une fois de plus, permettant au public de passer une belle soirée dansante.
 
La grande famille des pompiers était aux petits soins des convives, dont les adjoints buhlois. Le président de l’amicale Christophe Schirmer, qui surveillait la bonne marche des opérations, était plus que satisfait. En effet, le bénéfice de la soirée sera entièrement réinvesti dans le matériel du corps et plus spécialement dans l’achat de pompes d’épuisement, la réparation du mât télescopique ainsi que l’achat de polos normalisés avec la tenue des hommes du feu buhlois.

 
( Source L'Alsace )

Club buhlois du COBF : Olivier Sutter marche à la carte

Fervent de courses d’orientation, Olivier Sutter défend avec succès les couleurs du Florival

Olivier Sutter travaille les dix parcours du Demberg pour les épreuves de longue distance.  Photo Bernard Erhard
 Olivier Sutter, vous participez régulièrement aux championnats de France de course d’orientation et défendez les couleurs tricolores aux championnats d’Europe, comment vous est venue cette pratique ?
Je suis tombé dedans dès mon plus jeune âge car mes parents pratiquaient ce sport. Dès que j’ai su marcher, j’ai eu une carte en main ! Et comme ils étaient au club buhlois du COBF (Course d’orientation Buhl Florival) j’ai été formé à l’école du COBF, ce qui m’a permis de bien progresser et d’être sélectionné en équipe de France cadets. Depuis, j’enchaîne les résultats et les performances, avec en prime deux titres de champion de France en sprint et longue distance en 2010. Aujourd’hui j’ai intégré le pôle France jeunes de courses d’orientation à Clermont-Ferrant où je prépare une licence Staps (Sciences techniques des activités physiques et sportives).
Quelle discipline préférez-vous ?
Personnellement je prends plaisir en sprint et moyenne distance. Certes j’ai tenté la course d’orientation VTT mais je préfère la course à pied. C’est une discipline qui m’apporte beaucoup de satisfaction, être en pleine nature avec la sensation de liberté et courir où l’on veut… enfin presque. Cela me permet de décompresser, de trouver un équilibre, de me faire plaisir tout simplement.
Pour le week-end prochain, vous préparez activement « O Florival », trois jours d’orientation en folie.
Olivier Sutter
C’est un week-end important avec de nombreuses nations représentées aux compétitions : Suède, Norvège, Danemark, Suisse, Allemagne, Ukraine, Canada, Grande Bretagne, Belgique, Espagne et France de toutes les régions, soient environ 400 inscrits samedi et dimanche, 100 le dimanche soir et 300 le lundi. Durant ces trois jours, je serais pour une fois avec les bénévoles du club qui gèrent cette manifestation. Moi je m’occupe plus spécialement de l’épreuve de longue distance en créant dix circuits en fonction des différentes catégories d’âge, hommes et dames. C’est un travail de fond : d’abord sur l’ordinateur, puis je place le prébalisage de la course, les poseurs achèveront cette tâche avant l’épreuve. C’est un travail où il faut respecter les règles de traçage, les dénivelés en fonction de l’âge, en un mot il faut s’adapter au terrain. J’ai déjà six heures de repérage en forêt, sans compter le travail en amont devant l’ordinateur.
Quels conseils donneriez-vous à une personne qui souhaiterait découvrir cette discipline ?
La course d’orientation est un sport qui fait travailler la tête et les jambes. Le meilleur moyen de tester, quelque soit l’âge, c’est de venir à Buhl, car parallèlement aux épreuves nous proposons des circuits découvertes et commentés par nos membres, ainsi que deux circuits rando orientation de 5 et 10 km.
Pour vous, plus personnellement, quel est le prochain rendez-vous sportif ?
Ce sont les championnats de France fin août près de Gap. En première année seniors la concurrence sera importante, mais je défendrai haut et fort les couleurs florivaliennes.
 

« O Florival », à la salle de gymnastique à Buhl.

 

Les compétitions



Samedi 12 juillet : course moyenne distance dans les carrières de Buhl (15 h à 19 h)
Dimanche 13 juillet : course longue distances de 9 h à 12 h (hauteur du Hugstein et Péternit) O score de nuit : 21 h 30 – 22 h 30 (Buhl – Demberg).
Lundi 14 juillet : sprint à Buhl.

Pour tous



Jeux et animations lundi de 13 h à 19 h ; dimanche de 9 h à 20 h ; lundi de 9 h à 13 h
Circuit découverte pour adultes et enfants
Le dimanche circuits rando Orientation de 5 et 10 km


( Source L'Alsace  Propos recueillis par Bernard Erhard )

6 juillet 2014

Noces d’or des époux Guccione

Luisa et Giuseppe Guccione ont fêté, le week-end dernier, leurs noces d’or entourés de toute la famille : six enfants, leurs conjoints et les onze petits-enfants.

Cinquante ans de vie commune pour Luisa et Giuseppe Guccione.  Photo Bernard Erhard

Luisa Falco et Giuseppe Guccione ont uni leur destinée le 27 juin 1964 à Modica en terre sicilienne. Point de voyage de noces, mais en fin d’année, au mois de décembre un départ pour la France, plus exactement chez les parents du marié déjà établis en Alsace. De leur union sont nés six enfants : Virginie mariée Latscha, Antonia mariée Philippo, Rita mariée Garegnani, Michel célibataire, Sébastien marié à Marylène et Stéphanie célibataire. Nona et Nono ont aujourd’hui la joie d’être entourés de onze petits-enfants.

Luisa Falco a vu le jour le 10 avril 1945 à Catania en Sicile. Arrivée en Alsace elle a travaillé à la filature à Guebwiller puis durant cinq ans à l’hôpital Zimmermann à Issenheim avant de prendre sa retraite en 2005. Son mari, né le 28 mars à Modica en Sicile était ébéniste de métier et a continué a exercé cette profession chez Loewert à Guebwiller, puis Rohrbach à Hartmannswiller avant de bénéficier d’une retraite bien méritée en 1999.


Guiseppe et Luisa posent avec une photo du jour de leur mariage… il y a 50 ans
. PHOTO DNA

Luisa et Giuseppe passent un agréable soir de vie dans leur maison familiale à Buhl, Giuseppe vaquant à l’entretien de la maison et au jardinage, son épouse aimant bien regarder la télévision après avoir lu son journal préféré, L’Alsace.

La rédaction guebwilleroise félicite les époux Guccione et leur souhaite encore de belles années à partager.

( Source L'Alsace )

5 juillet 2014

Tour du Piémont haut-rhinois ce week-end

Le week-end prochain, ce sera la 20e fois que la MJC Buhl organisera « son » Tour du Piémont haut-rhinois, une épreuve désormais incontournable du calendrier alsacien.

 
Le peloton du Tour du Piémont en 2013. PHOTO DNA - M.K.
  
La formule de la course – un triptyque routier – plaît car elle donne sa chance à chaque catégorie de coureurs : les sprinteurs le 1er jour, les rouleurs le dimanche matin et les hommes complets et costauds le dimanche après-midi lors de l’étape du Piémont, celle qui donne son nom à la course.

Histoire belge et… histoire buhloise


Le Tour du Piémont haut-rhinois est ouvert aux licenciés FFC de 2e et 3e catégories, juniors et pass’open, ainsi qu’aux coureurs allemands des catégories B, C et juniors et aux juniors suisses et aussi… belges cette année, puisque les organisateurs ont enregistré pour la première fois l’engagement d’une formation de juniors d’outre-Quiévrain, le VC Houtland Westkust.

Même si on ne sait rien d’eux, on peut toujours parier que, comme tous les coureurs belges, ou du moins nombre d’entre eux, ils sont rapides au sprint : on les suivra donc tout particulièrement lors de la première étape, celle toute plate de Feldkirch !

25 autres formations seront au départ, huit haut-rhinoises, cinq bas-rhinoises, quatre vosgiennes, quatre franc-comtoises aussi, une champenoise, deux suisses et une allemande.

Dans ce peloton, on retrouvera avec plaisir une vraie équipe représentant la MJC Buhl. Ces derniers temps, faute de coureurs seniors en nombre suffisant, les Buhlois avaient eu recours à divers artifices : entente avec les voisins de Soultz et (ou) Guebwiller, formation d’un Team Florival ces deux dernières années, élargi en 2013 puisque certains coureurs venaient de plus loin !

Rien de tout cela cette fois. La venue au club de plusieurs triathlètes du FAST permet à la MJC Buhl de présenter une équipe homogène de cinq coureurs, avec Eric Ostermann, Frédéric Schaffner, Arnaud Dubs, Jérémy Schilling et Bastien Dieffenthaler. Pour leur part, Christophe Reuschlé, Thomas Krebs, Julien Kreider et Patrick Martin défendront les couleurs du VC Soultzia.

Quatre maillots distinctifs seront portés en course, à l’image de ce qui se fait au Tour de France : le jaune du leader du classement général, le vert des sprints, le blanc à pois rouges du meilleur grimpeur et le blanc du premier jeune (en l’occurrence du premier junior de 1re année).

A propos du Tour de France, rappelons que, dimanche après-midi, les concurrents du Tour du Piémont haut-rhinois emprunteront, sur 20 kilomètres entre Gueberschwihr et Schweighouse, et huit jours avant les géants de la route, une portion de la 9e étape de la grande boucle.
 
 
 

Le programme

 

Aujourd’hui

- 1re étape (111 km) : Départ fictif place de la mairie à Guebwiller 15 h, réel au cimetière à 15 h 15 ; Merxheim, Ungersheim, Feldkirch (1er passage à 15 h 30) et 6 tours de circuit (Raedersheim, Merxheim, Ungersheim et Feldkirch) ; arrivée 17 h 50 (Garage Ford Feldkirch).

Dimanche

2e étape (5,3 km) : contre-la-montre individuel en côte Buhl-Murbach-Langmatt, 1er départ 9 h rue du Florival, puis toutes les minutes.
3e étape (85,4 km) : départ fictif Buhl (Crédit Mutuel) 14 h 30, départ réel cimetière de Guebwiller 14 h 45, Merxheim, Meyenheim, Hirtzfelden (15 h 10), Fessenheim, Balgau, Niederhergheim (15 h 50), Herrlisheim, Eguisheim (16 h 05), Husseren-les-Châteaux, Voegtlinshoffen, Gueberschwihr (16 h 15), couvent St Marc, Osenbuhr, Osenbach (16 h 30), Wintzfelden, Bannstein, arrivée rue de la Fabrique à Buhl 16 h 50.

 ( Source DNA par G.G.)

Cet été : Animations à découvrir

Les animations d’été de la commune de Buhl démarrent lundi prochain (7 juillet), avec un programme pléthorique et varié.

L’équipe d’animation a préparé intensivement les vacances. PHOTO DNA
  
Elles ont presque fait le plein, mais il reste quelques places. « On répond à une demande de garde », note Caroline Boillot, responsable service Jeunesse de Buhl. « De 7 h 45 le matin à 17 h 45 le soir. » Dix-neuf personnes s’occuperont d’accompagner les enfants, cette année. Sept permanents, et douze saisonniers et stagiaires BAFA. 

L’équipe s’est réunie régulièrement pour élaborer un programme de sorties et de mini-séjours. L’accent a été placé sur l’originalité, avec une mini-colo, au Rimlishof, ou un circuit spécial 8-12 ans de découverte du patrimoine.

Ouvert à tous, renseignements à la mairie de Buhl, service animation : 03 89 62 15 95, ou par courriel à lesptitspotes.buhl@gmail.com. Programme détaillé sur www.ville-buhl.fr.

( Source DNA )

3 juillet 2014

Faits divers - L’arbre menaçait de tomber

La grande échelle avait été nécessaire pour élinguer le tronc. PHOTO DNA
 
Remue-ménage mardi soir vers 19 h dans la rue du Florival à Buhl, en effet la circulation automobile était quelque peu perturbée par une intervention des sapeurs-pompiers. En cause un arbre qui menaçait de tomber sur la voie publique.

Suite aux orages de samedi dernier, la personne à qui appartient la propriété où se trouve le tronc avait remarqué que celui-ci penchait dangereusement vers la chaussée. Appelés sur place les sapeurs-pompiers de Buhl et un chef de groupe de Soultz ont fait appel au maire et à un représentant de l’ONF. Du fait de l’heure, de la proximité de la route et d’un abri métallique attenant il était impossible de couper l’arbre immédiatement. Aussi par acquit de conscience les sapeurs-pompiers ont pris la décision d’élinguer l’arbre.

Pour ce faire, la grande échelle des sapeurs-pompiers de Guebwiller a été appelée à la rescousse afin de pouvoir fixer les élingues en partie haute. L’arbre qui avait été déjà élagué, devrait être coupé aujourd’hui.

( Source DNA )

2 juillet 2014

Déchets : la chasse au mauvais tri est ouverte

La mise en place de la redevance incitative pour les ordures ménagères ne se passe pas sans heurt dans la région de Guebwiller, où l’on enregistre depuis janvier une forte augmentation du taux de refus des sacs de tri sélectif. Quatre ambassadeurs sont sur le pont pour rappeler aux habitants les bons gestes.

 
 
La colère gronde chez certains habitants de la région de Guebwiller, où le fonctionnement de la redevance incitative pour la collecte des déchets a décidément bien du mal à passer. En cause, une augmentation du nombre de sacs de tri laissés sur le trottoir après le passage des rippeurs, pour cause de non-conformité. « Il nous faut tester la connaissance de certains plastiques. Par exemple, les films emballages de packs de bouteilles, de charcuterie, certaines boîtes ne sont plus acceptés, alors que les bouteilles le sont. Une voisine s’est même fait refuser l’enlèvement pour une malheureuse boîte de yaourt » , s’énerve ainsi un habitant. Du côté de la CCRG (Communauté de communes de la région de Guebwiller), où l’on reconnaît certaines « réactions négatives » , le problème est pris très au sérieux, à tel point que Christine Maranzana, vice-présidente en charge de l’environnement, est montée l’autre jour au créneau afin de faire un point de la situation.

Nicolas Gully et Nina Habersetzer, ambassadeurs du tri à la CCRG. Photo Stéphane Cardia


Situation qui, à l’en croire, n’était pas idéale au mois de mai dernier, avec un pic du taux de refus des sacs de tri qui s’est élevé à 30 %. « Pour bien fonctionner, ce système peu tourner avec un taux de refus maximal de 15 %. Au-delà, cela engendre des surcoûts insupportables pour la collectivité » , explique-t-elle de concert avec Manu Van Elslande, directeur de Floriom en charge de la collecte. « Beaucoup de fausses informations circulent actuellement, mais les consignes de tri n’ont pas changé. Par contre, on observe un relâchement de la qualité du tri de la part de nos concitoyens, ce qui nous a incités à demander une vigilance accrue de la part des rippeurs. » 



Les rippeurs n’ont aucun plaisir à refuser des sacs

Chiffres à l’appui, Vanessa Higelin, responsable du service environnement à la CCRG, souligne que le traitement du tri sélectif coûte à la collectivité 159,50 € TTC la tonne. « Le refus de tri nous coûte le double, soit 320,45 € la tonne, ce qui inclut le coût du tri sur la plate-forme, mais aussi le coût des déchets qui ne seront pas revalorisés » , explique-t-elle. « Et cela sans compter le surcoût en heures de travail, de l’ordre de 60 heures, pour les rippeurs qui doivent chaque mercredi vérifier minutieusement les sacs et expliquer le cas échéant pourquoi ils sont refusés » , ajoute Manu Van Elslande. Les responsables du service environnement précisent à ce sujet que les agents de collecte ne prennent « aucun plaisir » à refuser des sacs : « Au contraire, ça leur fait perdre du temps » , expliquent-ils. Une façon de contrer les soupçons de certains habitants, persuadés que la CCRG refuserait des sacs de tri dans le but de « gonfler » les bacs gris… qui eux sont payants. « Ça ne marche pas comme ça. L’objectif, c’est au contraire d’avoir un maximum de déchets revalorisés pour que le système puisse fonctionner » , explique le directeur de Floriom.



Pots de yaourt et films alimentaires

 
Afin de remédier à cet accroissement du mauvais tri, la CCRG a distribué un mémo du tri rappelant les types de produits recyclables, et ceux qui ne le sont pas. Elle compte également sur ses quatre ambassadeurs du tri, qui effectuent régulièrement du porte-à-porte, afin de sensibiliser les habitants à la bonne façon de trier ses déchets. « Les mauvais trieurs se trompent souvent de bonne foi » , expliquent Nicolas Gully et Nina Habersetzer, qui soulignent que dans l’ensemble, l’effort collectif est bien réel. « Pour des gens qui n’avaient jamais trié avant, ce n’est pas toujours évident. Mais nous ne sommes pas une exception, le taux de refus élevé se rencontre aussi dans les autres collectivités ». Aux dires de nos deux ambassadeurs, la grande majorité du mauvais tri concerne le plastique, en particulier les pots de yaourt et autres films alimentaires, qui se retrouvent dans le sac de tri alors qu’ils n’ont rien à y faire, puisqu’ils ne peuvent pas être recyclés. « Des expériences ont actuellement lieu du côté de Thann, où ils ramassent tous les types de plastiques dans le sac de tri. Mais pour l’heure, c’est uniquement expérimental » , explique Christine Maranzana.

Quant au fameux logo « Eco-Emballages » que l’on peut voir sur beaucoup de produits, la CCRG rappelle que sa présence ne signifie par forcément que le produit en question est recyclable.

SE RENSEIGNER Service environnement de la CCRG, tél. 03.89.62.12.34, courriel : environnement@cc-guebwiller.fr
 



Payer la redevance

 
La CCRG informe les redevables de la redevance incitative des ordures ménagères (RIOM) que les modes de paiements par internet (TIPI) et par titre interbancaires de paiement (TIP) sont pour l’heure inopérants, suite à des problèmes techniques inhérents au centre d’encaissement des finances publiques. Il est donc recommandé de privilégier les autres modes de paiement : paiement en espèces ou par carte bancaire en se présentant au centre des finances publiques de Soultz (62, rue Jean-Jaurès) ou paiement par chèque ou virement (selon les modalités jointes à la facture).

Les services du centre des finances publiques Soultz-Florival prendront contact avec les redevables dont les paiements par TIP n’ont pu être pris en charge.


( Source L'Alsace )


Horaires d’ouverture du centre des finances publiques de Soultz : du lundi au vendredi de 8 h 15 à 11 h 45 et de 13 h 30 à 16 h.





Communauté des communes : La révolte gronde.

 


Vous avez été plus de 16 500 personnes à vous sentir concernées par le coup de gueule poussé par le rédacteur de ce blog au sujet de l'attitude de la communauté a la suite du ramassage des sacs de déchets sélectif laissés sur les trotoirs par les rippeurs .

Aucun autre articles publié dans ce de blog n'avait rencontré un tel intérêt et suscité un nombre aussi important de commentaires ce qui démontre bien le ras le bol des habitants de la communauté des communes de Guebwiller et le sérieux du problème invoqué dans ce coup de Gueule.

La communauté des communes de Guebwiller à semble t'il pris connaissance du raz le bol des habitants et s'exprime aujourd'hui, JOUR DE COLLECTE dans les colonnes du journal L’Alsace que nous publions ci-dessus.

Dans cet article l'on nous parle beaucoup de coût  du tri, mais on oublie de vous dire combien coûtent les indemnités versées à tous ces présidents et vice présidents qui sont nos élus et dont fait partie madame Christine Maranzana maire de Lautenbach ou de Monsieur Jung Présidentet  maire d'Issenheim    ?

On oublie de vous dire que quand la Com com laisse des sacs
de tri sélectif au pied des immeubles collectifs, elle envoi le lendemain un autre camion les ramasser et le facture à la commune qui elle n'a d'autre choix de récupérer ces dépenses au travers des impôt locaux et de faire payer toute la population.


Moralité : Autant déposer les sacs refusés  avec ceux refusés des HLM   étant donné que c'est toute la population qui paye le 2eme camion le lendemain !!!!


  Le seul mérite de cet article est de nous permettre de savoir quelles sont les personnes responsables de ces nouvelles directives, afin éventuellement de vous permettre d’aller leur déposer vos sacs de déchets non ramassés.

Enfin La CCRG informe les redevables de la redevance incitative des ordures ménagères (RIOM) que les modes de paiements par internet (TIPI) et par titre interbancaires de paiement (TIP) sont pour l’heure inopérants, suite à des problèmes techniques inhérents au centre d’encaissement des finances publiques. Il est donc recommandé de privilégier les autres modes de paiement : paiement en espèces ou par carte bancaire en se présentant au centre des finances publiques de Soultz (62, rue Jean-Jaurès) ou paiement par chèque ou virement (selon les modalités jointes à la facture).

Mais de qui ce moque t'on ?

Le rédacteur du Blog