Lumières de Noël

Les élèves de l’école Koechlin de Buhl ont retrouvé les valeurs du sapin, le jour du solstice d’hiver.

 

 

Les élèves décorent le sapin selon l’ancienne tradition.  Photo Bernard Erhard

 

 

À Buhl, le jour du solstice d’hiver, le 21 décembre, les élèves de l’école Koechlin ont pu magnifiquement décorer le sapin de Noël en le parant de pommes et de rubans.

Cette page d’histoire et de tradition a été proposée par les Amis du retable de Buhl en partenariat avec l’Office municipal des sports et de la culture et l’historien local Jean Bader, narrant les documents du XVe siècle, liés à la protection de la forêt trois semaines avant et trois semaines après Noël.

Mais ils ont également rappelé que Noël, Weihnachten, Wihnachta était déjà fêté par les anciens Germains. Pour conjurer les peurs que leur inspiraient les longues nuits du solstice d’hiver, nos ancêtres avaient fait de ce temps, un temps sacré, un temps de fête sans doute.

La nature retenait son souffle, tout y était silencieux, comme mort. Un arbre, en revanche, restait et reste toujours vert : le sapin, roi des forêts. Aussi décoraient-ils leurs maisons durant des longues nuits avec ce vert végétal, l’espoir de la vie, l’espoir de la lumière.

La résurgence d’une coutume : le Heiligwog

Les Amis du retable et les membres de l’OMSC ont profité de cette rencontre pour évoquer une coutume un peu oubliée : le Heiligwog. Comme le feu, l’eau solsisticiale possède un don particulier.
Les paysans buhlois et ceux des villages alentours croyaient en l’eau sacrée de Noël.

Avant d’aller à la messe de minuit, ils se rendaient dans les étables pour donner du foin aux bêtes, les aspergeant avec l’eau sacrée et en récitant la formule suivante : « Heiligwog, Gotteslob, Glück ens Hüss un Umkleck drüss », qui se traduit par « Voici l’eau sacrée, un don de Dieu, que le bonheur entre dans la maison, que le malheur reste dehors ».

Ils faisaient aussi le tour de leur maison et des dépendances en récitant cette même formule. Et les Amis du retable, de lire un extrait du journal de guerre du curé Deny de Buhl, journal du 20 décembre 1915 : « C’était pendant l’horreur d’une nuit profonde, la plus longue, la plus terrible… »

Pour conclure cette rencontre autour du sapin, mais également la fin du premier trimestre scolaire, l’OMSC a offert à tous les enfants de l’école : mandarines, friandises et chocolats. Les récits et la distribution ont eu lieu en présence du maire Fernand Doll, des adjoints et enseignants.

( Source L'Alsace )

Noël des personnes âgées

Photo Bernard Erhard

Dimanche, près de 120 personnes âgées de plus de 70 ans ont participé à l’après-midi récréatif proposé par la municipalité de Buhl à l’occasion des fêtes de Noël. Parfaitement préparée par l’adjointe Marianne Loewert, cette animation a été l’occasion pour les aînés de se retrouv er en toute convivialité.

La note musicale a été donnée par le Chœur d’hommes du Florival et le Gruass u’sm Blamathal qui a convié les invités sur la piste de danse en fin d’après midi. Le maire Fernand Doll, entouré des adjoints, conseillers municipaux et conjoints ont été aux petits soins pour les aînés.

 Après avoir salué tout particulièrement les doyens, le maire a également informé que, dès 2013, les personnes âgées pourront se rencontrer une fois par mois au Cercle. À noter que 454 colis de Noël ont été livrés au domicile des personnes âgées


( Source L'Alsace )

Téléthon : La bonne recette

Dimanche, la MJC de Buhl organisait son téléthon avec sa 11ème corrida dans les rues du village, un concert de la cigale du Florival à l’église Saint-Jean-Baptiste et une exposition de maquettes au Cercle.

 

Malgré la neige, 135 coureurs se sont présentés au départ de la corrida.

 

 

« On doit avoir à peu près les mêmes sommes que l’an dernier », estime Maurice Emmenecker, directeur de la MJC de Buhl. Les comptes ne sont pas encore finalisés. « Une coiffeuse de Buhl nous donne 15 % de sa recette de samedi, par exemple », explique-t-il. Cette année, 135 adultes et 13 enfants se sont lancés dans la corrida de Buhl. Une vingtaine de participants de plus qu’en 2011. Cédric Osterlé, l’entraîneur du FAST (Florival athletic sports triathlon) de Guebwiller et sextuple vainqueur de cette épreuve a toujours une pensée particulière pour le Téléthon. « J’ai découvert [cette] course avec ça, se souvient-il. On faisait ça le vendredi, et on allait à la piscine le soir. Comme je ne suis pas allé nager cette année, c’est ma contribution. »

La section modélisme de la MJC de Buhl présentait ses maquettes.

Le Maquet' Club de la MJC de Buhl exposait quelques réalisations de ses membres. Une première participation, pour cette section qui compte une vingtaine de membres. « C’est surtout une façon de se retrouver et d’être là pour recevoir les dons », explique son président Raphaël Jacob.

 Le chœur d’enfants et adolescents La Cigale du Florival devient une habituée du Téléthon. « Nous avons donné un concert de Noël l’an dernier déjà », expliquait Marie Derive. « Nous proposons un programme itinérant. » Sous la direction de Claude Jeannin, djembé et chants africains ou corses s’ajoutaient donc au répertoire habituel.





       
La Cigale du Florival  donnait unconcert de Noël. PHOTO DNA
                          

( Source DNA )


 

St Nicolas sous la neige

St-Nicolas a distribué bonbons et mandarines aux enfants sages dans les rues de Buhl    PHOTO DNA

Une fois de plus et malgré les chutes de neige, cette fête destinée aux enfants et organisée par les bénévoles de l’OMSC de Buhl est à inscrire au tableau des réussites

Près de trois cent buhlois, des jeunes équipés de lampions ont attendu avec impatience l’arrivée de Saint Nicolas. Dès 19 heures les musiciens de la fanfare des Hussards d’Altkirch, vêtus de leurs uniformes napoléoniens ont pris position sur la Place de l’Eglise en interprétant des morceaux choisis sous des averses de neige.

 Après quelques minutes de patience une dizaine de petits lutins (issus de la société de gymnastique) sont sortis de la forêt de sapins de Noël et ont procédé à la distribution de mandarines aux enfants aignés derrière les barrières de sécurité. Le grand saint s’est fait un peu fait attendre et pour faire patienter, il avait envoyé trois moines de Murbach comme émissaires. Enfin, Saint Nicolas est apparu avec son âne et son fidèle compagnon le Hans Trapp (père Fouettard). 

Il est allé à la rencontre des enfants et s’est mis à distribuer des kilos de bonbons à tous les enfants postés autour de la place. L’Office Municipal Sports et Culture de Buhl, avec son président Yves Coquelle a ensuite invité tous les participants à former un cortège pour accompagner le patron des écoliers jusqu’à la place du Marché.

Deux sapeurs-pompiers en costume d’époque et équipés de flambeaux ont éclairé la voie à St Nicolas et à son traineau tiré par des rennes (motorisés ce soir là). Aux sons des cuivres et percussions des Hussards les trois moines, les lutins, les enfants équipés de lampions, les parents et toute la population ont suivi le cortège.

La fête s’est poursuivie autour des grosses marmites de chocolat chaud ou d’autres breuvages épicés et des deux manalas géants de 3 mètres chacun offerts par les boulangeries Stein et Deiber de Buhl.

( Source DNA par GV )

Paroles de bénévoles : « Se battre contre la misère »

Au centre des Restos du cœur de Soultz, les chiffres de la campagne hivernale font froid dans le dos. La quarantaine de bénévoles distribuera jusqu’à fin mars des colis alimentaires à 190 familles. Un chiffre en augmentation de 20 % par rapport à l’an dernier.  

Jennifer Pagliarulo, de Buhl

« Se battre contre la misère »

Jennifer Pagliarulo, 26 ans, de Buhl : « Je suis actuellement en congé parental. Ayant un peu de temps libre, j’ai décidé de le consacrer aux Restos du cœur. J’ai commencé au mois d’octobre dernier avec la campagne des chariots.

 En ce moment, je donne un coup de main au secteur bébé. Vêtements, petits pots, couches ou poussettes, nous disposons de tout ce dont un enfant âgé de 0 à 2 ans a besoin.

 Les autres bénévoles m’ont accueillie chaleureusement, m’ont aiguillée. Ici, tout le monde se montre solidaire, uni pour se battre contre la misère. »


( Source L'Alsace  )

Les maquettistes se sont mobilisés au Cercle pour animer le 16 ème Téléthon.

Les maquettistes se sont mobilisés au Cercle pour animer le 16e Téléthon.  Photo Bernard Erhard

Après une première étape avec le cyclo-cross du 25 novembre, le 16e Téléthon buhlois s’est poursuivi avec un programme dominical chargé : la 11e corrida, la découverte de Saint-Gangolph, l’exposition de maquettes au Cercle et le concert de Noël donné à l’église Saint Jean-Baptiste de Buhl par la Cigale.

Christophe Peter, le président de la MJC, s’est particulièrement réjoui de la participation importante des athlètes à la corrida. Ils étaient en effet plus de cent cinquante toutes catégories confondues, malgré le froid et la neige.

Mais pour les autres manifestations, les organisateurs ont connu un recul de la participation, confirmant ainsi la tendance nationale.



( Source L'Alsace  )

Maria Nuzzo fête ses 90 ans

Maria Nuzzo, une nonagénaire qui aime toujours voyager.   Photo Bernard Erhard

 

Maria Nuzzo a fêté dimanche, avec toute sa famille, des 90 printemps. Elle a vu le jour le 3 décembre 1922 à Vallata, près d’Avellino en Italie. Elle est la fille de Francesco Fischetti et de Mickelina Lobrace.

C’est en 1943, à Vallata, qu’elle a uni sa destinée à celle de Saverio Nuzzo. En octobre 1958, elle est venue s’installer en Alsace avec ses quatre enfants, rejoignant son mari venu deux ans plus tôt. La dernière fille, le cinquième enfant du couple, a vu le jour en Alsace. Son mari a d’abord travaillé dans l’Aube, avant de rejoindre ses frères à Winzfelden, où il a exercé le métier de bûcheron. Quant à Maria, elle a travaillé dans une pépinière de sapins à Winzfelden. Puis le couple a élu domicile rue du Florival à Buhl en 1972. Maria et Saverio ont alors travaillé à Sévylor.

Maria Nuzzo, qui a malheureusement perdu son époux en 1983, a la joie d’être dix fois grand-mère et dix fois arrière-grand-mère. Entourée de l’affection de ses enfants, Maria Nuzzo a découvert une nouvelle passion : les voyages en compagnie des membres de sa famille.

L’Alsace présente à Maria Nuzzo tous ses vœux à l’occasion de son 90 ^e anniversaire.


( Source L'Alsace )

la Saint-Nicolas : Pour le bonheur des petits et des grands

Lors de la 4 e édition de la Saint-Nicolas à Buhl, vendredi soir, plus de 300 courageux étaient au rendez-vous, malgré le froid

  

Les lutins ont distribué mandarines et bonbons aux participants.  Photo Bernard Erhard

 

Vendredi soir, l’Office municipal des sports et de la culture de Buhl a une fois de plus conquis le cœur des enfants, mais également celui des parents et adultes, avec, au programme de la fête de Saint-Nicolas, la fanfare des « Hussards d’Altkirch », en tenue empire. La place de l’église Saint-Jean-Baptiste de Buhl était relativement bien remplie, malgré la neige et le froid, les enfants avec les lampions se tenant en première ligne.


Puis dans la pénombre, des petites formes humaines sont apparues peu à peu du fond de la place : les lutins (de la société de gymnastique), personnages de nos croyances populaires, se sont invités aux festivités. Souvent taquins, toujours travailleurs et un peu fous, ils ont dansé, chanté, sauté de joie pour partager la fête avec les enfants, distribuant les cinquante kilos de mandarines et de bonbons. Les moines de Murbach, venant de leur vallon, ont également rallié la place, comme l’an passé, avant saint Nicolas, venu saluer les enfants accompagnés du père Fouettard.

Comme l’année précédente, les hussards étaient de la fête. Photos Bernard Erhard Les Hussards étaient de la fête  Photo Bernard Erhard

Après quelques morceaux choisis par la fanfare des Hussards, tous se sont dirigés en cortège, place du Marché. La fanfare des Hussards d’Altkirch, authentique formation de prestige et de tradition, a repris son répertoire, saluant ainsi l’arrivée du saint homme. Les séances de photo avec saint Nicolas et les lutins ont été très prisées, tandis que les 35 kg de Mannalas – deux bonhommes de 3 mètres – offerts par les boulangers buhlois, ainsi que les 40 litres de chocolat chaud, 18 kg de chocolat et papillotes fondaient à vue d’œil.

Le vin chaud coulait également à flot. Une belle soirée appréciée par les participants, qui attendent désormais les prochaines manifestations pour se retrouver.

 

 

 

          ( Source L'Alsace par Bernard Erhard )             

Denis Peter, traiteur du quotidien et des jours de fête

Boucher, charcutier, traiteur, à Buhl, Denis Peter mitonne des plats du jour et des menus de fête. Toujours avec le même enthousiasme et un savoir-faire transmis par son père.

 

Denis Peter (au centre en rouge et noir) et une partie de son équipe préparent les fêtes de fin d’année. Pour un traiteur, le mois de décembre est le plus chargé de l’année. Photos Bernard Erhard

 

L’appétit vient en poussant la porte de la boucherie Peter à Buhl. De beaux morceaux de viande, des charcuteries maison et un accueil chaleureux mettent l’eau à la bouche.

Denis Peter, 45 ans, a repris, en 2006, le commerce que son père Fernand a ouvert en 1971. « J’ai grandi ici, explique Denis Peter. Continuer à y travailler était une évidence. Je suis heureux quand le carnet de commandes est plein. Mon père me donne toujours un coup de main. Il continue à me guider et à me conseiller. » En décembre, le boucher, charcutier traiteur est aux anges. Son commerce emploie douze salariés dont deux apprentis. Tous sont à pied d’œuvre pour mitonner les repas de fête.


« Rien n’est improvisé »

« Les week-ends, nous avons les repas des associations et des entreprises qui fêtent Noël. Nous venons de sortir notre carte pour les menus de fin d’année. Les commandes des particuliers ne vont pas tarder », indique Denis Peter.

Les samedis de décembre, Denis Peter et son équipe commencent à 6 h 30. Au petit matin, ils rangent le magasin et les bouchers confectionnent les commandes.
Commencent ensuite la mise en place des buffets froids et la cuisson des sauces. « Il faut préparer le foie gras, les huîtres, les crevettes, les brochetées de viande », explique Denis Peter. Mais aussi les canapés pour l’apéritif et les fromages. « Quand vous avez 400 personnes pour un repas, il faut s’organiser même si c’est un buffet. Rien n’est improvisé », souligne l’artisan.

Les véhicules sont chargés vers 16 h selon le lieu de livraison. Pour les plats chauds, Denis Peter travaille en liaison chaude avec des caissons isothermes.

Se former pour évoluer

« Les viandes et les poissons, comme tout ce que nous proposons est cuisiné dans le laboratoire à Buhl. On prépare le plat chaud en fonction de l’heure à laquelle il doit être servi et une équipe va le livrer dans la foulée », glisse Denis Peter. « Traiteur, c’est à la fois au quotidien et pour les jours de fête, sourit le patron. En semaine, nous livrons environ 150 repas par jour pour le périscolaire, des entreprises et des particuliers », détaille Denis Peter.

Pour ces derniers, le boucher charcutier, traiteur travaille en liaison chaude, mais réfléchit à développer la liaison froide. Explications : « Quand on livre chaud, soit c’est trop tôt, soit c’est trop tard. Aujourd’hui, il y a du matériel et des modes de cuisson qui permettent de proposer des plats de bonne qualité que l’on peut réchauffer sans dénaturer la viande et ses garnitures. »


Un chèque cadeau plutôt qu’un stylo


Apprendre et se former encore et toujours, c’est essentiel pour Denis Peter : « Mon équipe et moi-même allons régulièrement en stage au Centre européen des professions culinaires (Ceproc), à Paris, pour apprendre de nouvelles techniques et créer des recettes. Le pôle innovation et technologie permet de faire évoluer notre profession. »

La nage de petits poissons au beurre vert accompagnée d’un risotto crémeux aux herbes fraîches est un des plats que Denis Peter propose dans sa carte de fête et qui est issu de techniques apprises au Ceproc. Comme le tournedos de saumon aux noix de Saint-Jacques.

« Cette année, nous avons élaboré six menus différents avec entrée et plat dans une fourchette de prix allant de 21,80 € à 27 €», indique Denis Peter.

Au quotidien, le traiteur ressent que les gens font plus attention à ce qu’ils achètent, mais pour les fêtes, ils regardent moins à la dépense. « Ils veulent se faire plaisir autour d’une bonne table. Les habitudes ont changé. Aujourd’hui, la maîtresse de maison qui reçoit n’a pas forcément envie de cuisiner pour une quinzaine de personnes. Alors souvent chacun paie son repas, c’est moins de travail et plus de convivialité », observe l’artisan.



Tournedos de saumon aux noix de Saint-jacques, un plat de fête proposé par le traiteur Peter.

En guise de cadeau de Noël, Denis Peter offre à ses clients un chèque cadeau de 10 € à déduire de leurs achats d’une valeur minimum de 30 € du 3 janvier au 2 février : « J’ai choisi cette formule en tant de crise plutôt que le stylo ou le gadget ».

Y ALLER Peter Traiteur, 2 rue de la Gare à Buhl. Tél. 03.89.76.91.95.

         ( Source L'Alsace par Stéphanie Freedman )
        
 

En course pour le Téléthon dans le Florival

Après les courses des scolaires, hier, à Guebwiller, la mobilisation en faveur du Téléthon se poursuivra, dimanche, à Buhl.

 

Les élèves se sont élancés, hier matin, pour 35 minutes de course d’endurance en soutien au Téléthon. Photo Bernard Erhard Départ des contrats pour 35 minutes.  Photo Bernard Erhard

 

 

Vendredi matin, dans le cadre du Téléthon, les élèves des classes primaires de Guebwiller se sont élancés parc de l’IUFM pour remplir leur contrat : une course d’endurance variant de 35 à 15 minutes, avec départs échelonnés toutes les 5 minutes. Dans un parc enneigé et verglacé, ils ont bravé le froid pour réussir leur engagement en faveur du Téléthon. Rappelons que les élèves des écoles du Haut-Florival, de Buhl et d’Issenheim ont également été solidaires pour cette course d’endurance organisée par la MJC de Buhl.

11 ^e corrida du Téléthon

La mobilisation se poursuivra dimanche 9 décembre à Buhl, avec la 11 ^e corrida du Téléthon, une course de 10 km ouverte à tous, avec départ à 10 h après inscription au Cercle. Les jeunes s’élanceront plus tôt : à 9 h 30 pour les minimes et à 9 h 31 pour les poussins et benjamins.

Parallèlement, une promenade à pied est proposée à la découverte de Saint Gangolph avec départ au Cercle à 9 h 30. L’après-midi, de 14 h à 17 h, on pourra découvrir une expo de maquettes et d’œuvres d’artistes locaux au Cercle. Le final aura lieu à 17 h à l’église Saint-Jean-Baptiste avec des chants de Noël d’ici et d’ailleurs par la chorale La Cigale. Sur place, on trouvera aussi une vente de pâtisseries et une buvette où l’on pourra déguster vin chaud et casse-croûte.


( Source L'Alsace )

Sainte-Barbe : Une nomination et deux médaillés chez les pompiers

Les trois récipiendaires (avec les casques) en présence des officiels et des élus .
Photo Bernard Biehler

 

 

Les sapeurs-pompiers du corps de première intervention de Buhl, ont fêté samedi après-midi la Sainte-Barbe, par une cérémonie de distinctions rehaussée par la batterie fanfare.

Le chef de corps Hubert Reich, entouré des lieutenants Maurice Paal et Emmanuel Gross du centre de secours de Guebwiller, du maire Fernand Doll et du conseiller général Alain Grappe, a procédé à la remise de deux médailles et d’une nomination.

La médaille de vermeil pour 25 années de service a été agrafée à l’adjudant Sébastien Flory et celle en argent, pour un investissement de 20 années, a été remise au sergent-chef Michel Koch.

C’est ensuite par la nomination et l’élévation au grade de caporal du sapeur-pompier Jonathan Bodein, que cette cérémonie officielle de la Sainte-Barbe a été clôturée, suivie du pot de l’amitié.

( Source L'Alsace )

Les Hussards accueillent saint Nicolas en musique

Pour la 4 e année consécutive, l’Office municipal des sports et de la culture de Buhl propose un spectacle éblouissant avec saint Nicolas dans la cité Saint-Jean.

 

La fanfare des Hussards d’Altkirch ouvrira le défilé vers la place du marché.
Photo Bernard Erhard

 

Vendredi 7 décembre, à 19 h, place de l’église Saint Jean-Baptiste, les lutins accueilleront leur patron saint Nicolas et son lieutenant Hans Trapp, les moines et surtout la fanfare des « Hussards d’Altkirch » en tenue Empire.
Ce spectacle unique dans le Florival sera suivi d’une descente aux flambeaux vers la place du Marché où la fanfare proposera le répertoire traditionnel de la cavalerie française. Les enfants ne seront pas oubliés car deux Mannalas gigantesques et un chocolat chaud récompenseront leur présence au spectacle.
Garder l’âme d’une tradition, tel est le fil conducteur du comité directeur de l’OMSC. Aussi, vendredi prochain, après la tombée de la nuit, les enfants seront-ils au rendez-vous avec saint Nicolas et Hans Trapp.

Deux Mannalas géants

« Un beau spectacle les attendra, spectacle rehaussé comme l’an passé par la fanfare des Hussards d’Altkirch, comme ce fut le cas les années précédentes avec les Grognards de Haute Alsace. Après le spectacle, sur la place de l’église Saint Jean-Baptiste somptueusement illuminée, c’est en cortège, ouvert par deux sapeurs-pompiers locaux en tenue d’époque, que tous se dirigeront vers la place du Marché pour le concert de la fanfare des Hussards d’Altkirch. Le moment tant attendu par les petits et les grands couronnera cette soirée en l’honneur des enfants, avec distribution de chocolat chaud, de mandarines et de portions des deux Mannalas hauts de trois mètres découpés sur place », résume le président Yves Coquelle. Cette manifestation est entièrement financée par l’OMSC. Aussi les économies, grâce au bénévolat, permettront-elles d’autres dépenses au profit des différentes associations.

Une formation de prestige

La fanfare des Hussards d’Altkirch est une authentique formation de prestige et de tradition. Elle est une des toutes dernières fanfares de cavalerie traditionnelle de la France, descendante directe du 8e régiment des Hussards. Ce prestigieux régiment, créé en 1793, a servi les Deux Empires et toutes les Républiques. Stationné en Alsace, à Altkirch, les trente dernières années de son existence, le régiment et sa fanfare ont été dissous en 1993, puis la fanfare a été remontée, sous statut associatif, le 11 novembre 2000 par quelques nostalgiques et anciens musiciens appelés et engagés.
Forte aujourd’hui d’une vingtaine de musiciens venant des quatre coins du département, elle cultive, entretient et sauvegarde le répertoire traditionnel de la cavalerie française ainsi que l’esprit des Hussards.


( Source l'Alsace )